C’est dans la peau de Brid­get Jones, le person­nage culte imaginé par Helen Fiel­ding, à la fin des années 1990, et mis en scène par Sharon Maguire en 2001, que Renée Zellweger a vu sa carrière décol­ler. Cette vieille fille paumée et maladroite, elle la retrouve cette année pour le troi­sième volet de la saga, cette fois, Brid­get est enceinte.

On pouvait croire que des mois de tour­nage avec une orthèse évolu­tive pour mimer la gros­sesse aurait donné quelques envies de mater­nité à la comé­dienne qui crie à qui veut l’en­tendre combien sa vie privée l’épa­nouit, mais il n’en est rien. A en croire les propos qu’elle a tenus hier lors du talk show Enter­tain­ment Tonight, cette expé­rience aurait même plutôt anéan­tit toute velléité de mater­nité.

Lorsque la ques­tion lui est posée de savoir si l’en­vie de suivre l’exemple de son person­nage la réponse est on ne peut plus claire: “Oh mon dieu, non!” En revanche, cela l’a davan­tage moti­vée à se remettre au sport: “Ces petits êtres sont lourds, j’ai compris qu’il était temps que je retourne à la salle de gym soule­ver quelques haltères.” plai­sante-elle pour expliquer son admi­ra­tion gran­dis­sante pour celles qui deviennent mères. “Je ne savais pas, bravo aux mamans.”

Si elle refuse l’idée d’en porter un, Renée Zellweger n’est pas pour autant réfrac­taire à s’en­tou­rer d’en­fants. Elle recon­naît avoir pris du plai­sir avec ceux qui tour­naient avec elle: “Les enfants me faisaient rire, ils étaient doux, vrai­ment adorables.” Qui a dit que la mater­nité était un passage obligé à l’épa­nouis­se­ment ?

Passe pour cette fois, mais que cela ne se repro­duise surtout pas. Voilà comment l'on pour­rait résu­mer ce que pense Miranda Kerr des clichés de son ex-mari, et père de son fils, Orlando Bloom. Il faut dire que l'acteur de Pirates des caraïbes n'a pas été pris en photo sur un tapis rouge, comme à l'accou­tu­mée, ni même en smoking, comme de nombreux acteurs d'Holly­wood.

Non, le nouveau compa­gnon de la chan­teuse Katy Perry a été pris en photo avec elle dans son plus simple appa­reil, en train de pagayer sur un paddle, aux larges des côtes de la Sardaigne. Si cette esca­pade « sauvage » pour­rait lui coûter cher, la nudité étant inter­dite dans cette partie de la Sardaigne, elle pour­rait avoir des consé­quences trau­ma­ti­santes pour son fils Flynn, âgé de seule­ment 5 ans, s'il devait tomber sur un jour­nal évoquant ces éton­nantes vacances.

C'est pour cela que le père qu'il est a souhaité préve­nir son ex-femme Miranda Kerr. C'est l'actrice qui raconte cette conver­sa­tion sur une radio améri­caine. L'acteur l'a préve­nue par texto.

« Oh mon dieu, il m'a envoyé un SMS et il m'a dit: « Je suis vrai­ment gêné. Certaines photos sont sorties dans la presse. J'ai pensé que je devais te préve­nir » » Ce à quoi la belle brune, sépa­rée de lui depuis main­te­nant trois ans, et désor­mais fian­cée avec le créa­teur de Snap­chat, Evan Spie­gel, a répondu, après avoir été regardé ce qu'il en était de plus près: « Mais à quoi pensais-tu? Sérieu­se­ment, à quoi pensais-tu? »

Ce n'est pas la nudité qui l'obnu­bile, elle qui a déjà posée nue en Une de plusieurs maga­zines outre-Atlan­tique, mais bien son envie de préser­ver l'inno­cence de son enfant. On peut la comprendre. Loin des photos de mode, la vision de son père en Robin­son Crusoé, en char­mante compa­gnie, pour­rait désarçon­ner le garçon, à l'approche de la rentrée.

Tôt hier matin, alors qu’il venait tout juste de prendre l’an­tenne de Europe 1 Bonjour, Samuel Etienne a planté là ses audi­teurs “pour une raison un peu excep­tion­nelle”. Et non des moindres. Le jour­na­liste filait rejoindre son épouse, Helen, sur le point de donner nais­sance à leur premier enfant. Hier soir, dans C à vous, le chro­niqueur Maxime Switek a souhaité adres­ser ses féli­ci­ta­tions en direct au jeune papa, qui en a profité pour racon­ter cette incroyable épopée.

S’il a d’abord refusé de donner le prénom du bébé, “je le préserve un petit peu de cette agita­tion, le prénom, il le garde pour lui”, l’iné­pui­sable anima­teur était encore tout fébrile d’an­non­cer le sexe et les mensu­ra­tions du nour­ris­son: “C’est un petit garçon, un petit bonhomme” de 2,970 kilos pour 50 centi­mètres. Et toujours soucieux des autres, Samuel Etienne, bien qu’il garde le secret de sa vie intime a tenu à préci­ser que “la maman [allait] très très bien”.

A la fois sidéré et excité de cette folle jour­née, il a expliqué le timing parfait de l’évè­ne­ment, ravi de ne pas l’avoir raté, même si cela s’est joué à une poignée de minutes. “L’his­toire est un peu folle parce que je quitte l’an­tenne à 5h05 ce matin, un peu en urgence, et le petit garçon a crié à 5h35. Donc je suis arrivé vrai­ment au bon moment, juste 10 minutes avant, juste le temps d’en­fi­ler la petite blouse et les petites pantoufles et puis d’en­cou­ra­ger la maman.” raconte-il à peine remis de ses émotions.

En bon hyper­ac­tif qu’il est, Samuel Etienne a toute­fois refusé de lais­ser le micro de son émis­sion à un remplaçant et assuré dès hier soir la prépa­ra­tion de sa mati­nale d’aujourd’­hui. Un papa absent en deve­nir? Certai­ne­ment pas! “Je vais passer la nuit à la clinique aux côté de mon épouse et de mon petit bonhomme.” lâche-t-il dans un mélange de fierté et de bonheur non feint.

Lorsque l’on connaît le passé de Chris Brown, on comprend pourquoi les forces de police n’ont pas tardé à inter­ve­nir à son domi­cile de Los Angeles dans la nuit de lundi à mardi. Plusieurs fois passé en justice pour violences conju­gales en 2009 puis en 2011, il aussi dû répondre d'agres­sions diverses. Alors quand Baylee Curran, une ancienne reine de beauté a appelé au secours, la maison du rappeur s’est vite retrou­vée encer­clée sans que la police ne puisse y péné­trer.

Comme le montrent les diffé­rentes vidéos postées ici et là par les chaînes d’in­for­ma­tion locales, il est d’abord sorti sur le perron de son domi­cile pour s’en­tre­te­nir de façon très animée avec les auto­ri­tés. Un sac plein d’armes et de drogue aurait aussi été jeté à la police, avant que le chan­teur ne retourne chez lui tour­ner quelques vidéos coup de gueule immé­dia­te­ment publiées sur Insta­gram. Le jeune homme de 27 ans exigeait un mandat de perqui­si­tion.

Selon la victime présu­mée inter­viewée par le site TMZ, tout aurait commencé à cause d’un bijou en diamant exposé chez Chris Brown et qu’elle obser­vait tranquille­ment. Sans préve­nir, le chan­teur aurait braqué une arme dans sa direc­tion en lui inti­mant l’ordre de “déga­ger”.

Après plus de dix heures d’at­tente, face aux docu­ments offi­ciels qui lui ont été présen­tés, Chris Brown a fina­le­ment été contraint de coopé­rer. Le chan­teur a donc été embarqué par la police et amené au service homi­cide en atten­dant un juge­ment, qui vu ses anté­cé­dents a peu de chances d’être clément.

« Se battre comme une fille. » Dans la bouche de Shan­nen Doherty, c’est un vrai compli­ment. L’ac­trice, plus coura­geuse que jamais, conti­nue de lutter avec déter­mi­na­tion contre le cancer qui la ronge. La mala­die avait d’abord touché sa poitrine, pour s’étendre fina­le­ment aux ganglions lympha­tiques. Mais pas ques­tion pour autant de bais­ser les bras. Entou­rée par les siens, et soute­nue par ses fans, la star de la série Char­med reste forte et partage chaque jour, ou presque, les étapes de son combat.

Mardi 30 août, elle a publié sur son compte Insta­gram une photo prise lors de sa séance de chimio­thé­ra­pie. On l’y voit allon­gée sur un lit d’ho­pi­tal, tandis qu’une infir­mière lui injecte le produit chimique censé détruire ses cellules cancé­reuses. Un trai­te­ment très doulou­reux, et qui vide géné­ra­le­ment le patient de toute son éner­gie. « L’un des multiples visages du cancer, a écrit la comé­dienne en légende du cliché. Jour­née chimio. Ce médi­ca­ment que l’on surnomme ‘le Diable Rouge’ m’est injecté dans la poitrine. Mon infir­mière Dawn prend bien soin de moi. »

Parta­ger toutes ses épreuves, Shan­nen Doherty l’a choisi. C’est pour elle une façon de garder le pouvoir. « Je ne voulais pas que quelqu’un me photo­gra­phie en sortant du super­mar­ché et dise : ‘Oh mon dieu, regar­dez-la !’ » a-t-elle expliqué. En montrant sa bravoure, c’est aussi un message d’es­poir qu’elle envoie à toutes les femmes atteintes de cancer. Sur son compte Insta­gram, on trouve des mots pleins de sympa­thie, et des remer­cie­ments émanent du monde entier.

Qui l’eut cru ? Il y a 15 ans, on décou­vrait Steevy Boulay, premier enfermé volon­taire pour les camé­ras de télé-réalité. Sorti parmi les derniers, le jeune homme qui ne brillait pas pour sa maîtrise de la langue française, était devenu la coque­luche de Loft Story. Son bagout à toute épreuve, son franc-parler, sa simpli­cité, sa fraî­cheur avaient fait flasher Laurent Ruquier qui l’avait propulsé chro­niqueur de son access prime-time. Gaffeur, adepte des grands yeux écarquillés sur une incom­pré­hen­sion, le jeune homme n’en était que plus atta­chant. Le public séduit, il a réussi à gravir les éche­lons en se faisant une place aux Grosses Têtes et à s'offrir une crédi­bi­lité au théâtre .

N’en déplaise à ses détrac­teurs, Steevy Boulay est encore plein de ressources. Preuve en est : il sortira demain son premier roman. Une énième auto­bio­gra­phie de candi­dat de télé-réalité? Pas du tout, Steevy signe là une première fiction, fidèle à sa passion pour la monar­chie. Sur fond d’in­sur­rec­tion française, le jeune roman­cier se lance dans le récit d’une course au pouvoir entre les deux héri­tiers du trône de France, après la démis­sion forcée de la prési­dente.

Les plus dubi­ta­tifs pour­ront se faire leur propre idée dès demain, pour l’heure, les quelques chan­ceux qui ont déjà pu lire « Le devoir avant tout » se répandent en féli­ci­ta­tions.

Pratiques les réseaux sociaux pour faire la promo­tion d’oeuvres et d’ar­tistes, surtout lorsqu’il s’agit de celles auxquelles on parti­cipe. Outre ses délires en Dubs­mash, ses plai­sirs adoles­cents en skate­board avec ses amis, ou encore ses sessions spor­tives esti­vales, Guillaume Canet se sert aussi de sa page Face­book pour promou­voir ses acti­vi­tés et celles de ses proches. Depuis quelques semaines en effet, il diffuse régu­liè­re­ment des vidéos du film Cézanne et moi  de Danièle Thomp­son —en salles le 21 septem­bre— dans lequel il jouera le rôle d’Emile Zola. Entre deux, quelques annonces de ventes d’ipho­ne…

Et c’est là que se trouve le problème. Evidem­ment, Guillaume Canet n’y est pour rien dans la publi­ca­tion de ces annonces douteuses, il a simple­ment été victime, comme beau­coup d’in­ter­nautes, d’usur­pa­teurs, et ça le met en rogne. Mardi soir, il a préféré prendre les choses à la rigo­lade pour remettre les choses à leur place, en publiant un selfie façon grizzly mal réveillé. “Appa­rem­ment mon compte Face­book a été piraté et un p’tit connard vend des iphones en mon nom! Donc ce message pour vous signa­ler qu'il y a escroque­rie !”

De quoi dissua­der les malfrats… ou les faire rire.

Daniel Craig a repris le chemin des tournages.

L'acteur qui a juré qu'il ne ferait pas de cinquième James Bond après 007 Spectre renoue avec la caméra chez Steven Soderbergh, qui tourne son nouveau film Logan Lucky à Atlanta.

L'occasion pour lui de dire adieu au smoking ajusté et à l'allure élégante de l'Agent 007. Sur les photos prises sur le tournage de Logan Lucky, on découvre un Daniel Craig blond platine aux sourcils également décolorés, les bras couverts de tatouages. Aux côtés du désormais incontournable Adam Driver (Girls, Star Wars : Le Réveil de la Force, Midnight Special) qui porte ici un faux moignon, l'acteur de 48 ans déambule en pyjama de bagnard.

Pour Logan Lucky, Steven Soderbergh a réuni un super cast : Channing Tatum (avec qui il a déjà travaillé sur Magic Mike), Daniel Craig, Adam Driver, Riley Keough, Hilary Swank, Katherine Waterston, Seth MacFarlane et Katherine Heigl font partie du projet.

Gene Wilder est décédé ce lundi 29 août, à l'âge de 83 ans. Né Jerome Silberman en 1933 de parents juifs russes émigrés dans le Wisconsin, il trouve sa vocation dans le théâtre et la comédie et se jure de devenir acteur à l'âge de 11 ans. Il étudie le théâtre à la fac et suit les cours du prestigieux Old Vic à Bristol puis de l'Actor's Studio de Lee Strasberg au début des années 60. En 1963, l'actrice Anne Bancroft avec qui il joue Mère courage et ses enfants de Brecht lui présente son petit ami, un certain Mel Brooks. Mais il faudra attendre cinq ans avant que Brooks ne le contacte pour jouer avec lui : ce sera la comédie musicale Les Producteurs en 1968. Wilder sera nommé à l'Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle pour ce film où des arnaqueurs montent une comédie musicale sur Hitler pour faire un flop et se retrouvent dépassés par le succès. Avant Les Producteurs, il avait tenu un petit rôle dans Bonnie & Clyde (1967) d'Arthur Penn.

Le carton des Producteurs le transforme en vedette comique, grâce à son jeu précis et classique, sa rêverie paradoxalement terre-à-terre, et le lie à jamais à Mel Brooks : il sera dans Le Shérif est en prison (1974) -qu'il tourne juste après avoir incarné le Renard dans la version de Bob Fosse- et le chef-d'oeuvre du tandem, Frankenstein Junior (1974), initié et co-écrit par Wilder. Un script qui vaudra aux deux compères une nomination à l'Oscar du Meilleur scénario adapté (mais ce fut Le Parrain 2 qui gagna le trophée). Il a été Willy Wonka dans la version de 1971 de Charlie et la chocolaterie, échec en salles devenu culte en vidéo, suivi d'une apparition chez Woody Allen dans Tout ce que vous avez jamais voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander (1972), qui fut lui un énorme hit surprise.

Il réalise son premier film en 1975, Le Frère le plus futé de Sherlock Holmes avec Marty Feldman et Madeline Kahn (tous deux de la bande à Mel Brooks). Il retrouve Richard Pryor du Shérif est en prison dans Transamerica Express (1976), buddy movie avant l'heure qui connaît un énorme succès. Sa réalisation Drôle de séducteur (1977) et le western Le Rabbin au Far West (1979, avec Harrison Ford) sont par contre des échecs. Pryor et Wilder remettront le couvert dans Faut s'faire la malle en 1980, réalisé par Sidney Poitier, qui devint le troisième plus gros succès de l'année aux Etats-unis, loin devant Y a-t-il un pilote dans l'avion ? Pryor et Wilder connaîtront encore le succès avec Pas nous, pas nous en 1989 malgré de mauvaises critiques et leur dernier duo sera Another You (1991), lourd échec en salles. Ce sera son dernier rôle au cinéma. Epoux de Gilda Radner, une des stars du Saturday Night Live de la grande époque, jusqu'au décès de cette dernière en 1989. Il s'est remarié en 1991 et se contentera après Another You de courtes apparitions à la télévision, en se consacrant à des activités caritatives et à l'écriture de romans et de mémoires. Gene est mort de la suite de la maladie d'Alzheimer.

Pamela Anderson est passée de la plage de Malibu au Parc du Mercantour.

L'actrice de 49 ans est la star du nouveau clip de Julien Doré, "Le lac", un petit bijou qu'il a co-réalisé. L'artiste chevelu - qui sortira son quatrième album intitulé & le 14 octobre prochain - a invité le sex-symbol des années 90 à lui accorder une danse au bord de l'eau.

Perdu dans la nature pendant la première partie de la vidéo, le gagnant de la Nouvelle Star 2007 voit sa solitude troublée par la présence de l'actrice, apparition surnaturelle dans ce cadre sauvage.

Vêtue d'une robe vaporeuse, Pamela Anderson esquisse quelques pas de danse avec Julien Doré, qui se concluent par un baiser furtif.

Le chanteur, qu'on a pu voir au cinéma dans Pop Rédemption, confirme son amour pour les icônes féminines puisqu'il a avait invité Catherine Deneuve dans le clip des "Figures imposées" en 2008.