Il n’y a pas si long­temps Cait­lyn Jenner était Bruce Jenner, l’an­cien cham­pion olym­pique au physique massif et impo­sant, bien loin de la fashio­nista assu­mée qui arpente les front row des défi­lés. Tout semble si natu­rel que l’on imagine mal Cait­lyn fran­chir les étapes de son parcours du combat­tant autre­ment que la tête haute. Pour­tant, pour arri­ver à la pléni­tude qu’elle savoure aujourd’­hui n’a pas été si simple.

Si Cait­lyn avait depuis long­temps admis ne pas se sentir en phase avec son corps d’homme, la démarche du chan­ge­ment de sexe n’a pas tout de suite été évidente. “A 34 ans, je me disais que je fran­chi­rai le cap pour mes 40 ans. Mais à 39 ans, je n’en ai tout simple­ment pas été capable.” Malgré tout, Cait s’est accro­chée et a fini par subir une abla­tion de la pomme d’Adam. Comme il fallait s’en douter, les papa­raz­zis l’ont appris et shoo­tée tandis qu’elle sortait de la clinique. Une épreuve qu’elle pensait insur­mon­table, persua­dée alors que tout serait révélé dès le lende­main matin.

“Je n’ai pas pu fermer l’oeil de la nuit. A trois heures du matin, je faisais les cent pas en réflé­chis­sant.” se souvient-elle. Soudain, elle trouve ce qui lui parait être la solu­tion: le suicide. “Je me suis dit: ‘Allez, c’est facile, vas dans l’autre pièce, tu prends le flingue, et tout s’ar­rête main­te­nant (…) Plus de souf­france, plus rien. Plus besoin de s’inquié­ter des tabloïds, plus besoin de s’oc­cu­per de tout ça.” Le drame n’était pas loin.

Heureu­se­ment, dans un sursaut de luci­dité, un instinct de survie, Cait­lyn réalise que ce qu’elle est en train de fomen­ter est la chose la plus stupide à faire. “Quelle façon terrible de finir sa vie!” songe-t-elle. “Je ne veux pas que ma vie se termine ainsi, sur une note néga­tive.” Cette nuit de cauche­mar, ce regain de comba­ti­vité, a été le déclic pour la star. “C’est là que j’ai commencé à penser: ‘tu peux le faire !’”

Glory. C'est le nom du prochain album de Brit­ney Spears, qui sort trois ans après Brit­ney Jean, opus boudé par la critique et par les fans. Autant dire que ceux-ci sont très impa­tients de décou­vrir les nouveaux morceaux de la chan­teuse – qui a déjà révélé Make Me, son single de l'été. Alors qu'approchent ses vingt ans de carrière Brit­ney Spears sait qu'elle joue gros avec ce neuvième album, et mise sur un retour en force. Elle ne s'en cache d'ailleurs pas sur Twit­ter, où elle a annoncé la date de sortie et présenté la pochette de Glory.

« Mon nouvel album, et le début d'une nouvelle ère », a-t-elle ainsi écrit en préci­sant que Glory serait dispo­nible dès le vendredi 5 août via Apple Music, le service de strea­ming d'Apple. Il faudra proba­ble­ment attendre deux semaines avant que l'album ne soit proposé sur les autres plate­formes de strea­ming, ainsi qu'à la vente et au télé­char­ge­ment. On pourra alors voir si l'objec­tif de Brit­ney Spears est atteint : se réin­ven­ter, et reprendre une place impor­tante dans le monde de la pop. La chan­teuse a confié avoir laissé de côté les excès de son passé pour se concen­trer sur sa musique – ainsi que sur sa famille. « Je suis maman, j’ai 34 ans, je ne suis plus une fêtarde, décla­rait-elle début août. J’aime faire du sport, c’est plutôt ça ma routine. Je suis quelqu’un de simple. »

Clint Eastwood et son fils Scott sont réunis dans le numéro de rentrée d’Esquire.

Et si le magazine titre "Double trouble", c’est clairement le paternel qui pose problème. Parfaite incarnation de l’Américain ultra-libéral et libertaire, grande gueule, attaché à son Second Amendement et à sa liberté d’expression, l’acteur ressemble de plus en plus à Walt Kowalski, le vétéran raciste de son film Gran Torino.

A 86 ans, Clint Eastwood n’a plus de filtre. Alors quand le journaliste l’entraîne sur le terrain de la politique en lui demandant si Donald Trump lui a emprunté sa moue renfrognée, il y va de bon cœur : "Peut-être. Mais il tient quelque chose. Car au fond, tout le monde en a marre du politiquement correct, des lèches-culs. On vit dans la génération des lèches-culs. C’est vraiment une génération de mauviettes (pussy en VO). Tout le monde marche sur des œufs. On voit des gens qui accusent d’autres gens d’être racistes, ce genre de choses. A mon époque, ces choses-là n’étaient pas considérées comme racistes. Quand j’ai fait Gran Torino, même mon associé m’a dit ‘C’est un très bon script, mais c’est politiquement incorrect’. Et j’ai dit ‘Très bien, laisse-moi le lire ce soir’. Le lendemain matin, je suis arrivé au bureau, j’ai balancé le script dessus et j’ai dit ‘On commence tout de suite’".

S’il n’est pas fan de Donald Trump et s’est bien gardé de participer à la Convention Républicaine, contrairement à 2012, Clint Eastwood admire sa franchise et aimerait qu’on lui pardonne ses dérapages, racistes inclus.

"Son truc, c’est de dire ce qu’il a en tête. Et parfois, ce n’est pas si bon. Et parfois, c’est… Ce que je veux dire, c’est que je peux comprendre d’où il vient, mais je ne suis pas toujours d’accord. Je ne soutiens personne. Je n’ai pas parlé à Trump. Je n’ai parlé à personne (…) Il a dit plein de choses stupides. Comme tous les autres. Dans les deux camps. Mais tout le monde, la presse et les gens, vont dire ‘Oh, c’est raciste’, et ils font un gros boucan de ça. Mais merde, laissez tomber ça. On vit dans une triste époque", se désole-t-il.

S’il n’est pas pro-Trump, il est clairement anti-Clinton : "C’est un choix difficile, n’est-ce pas ? Je serai obligé de voter Trump… Parce que, vous savez, elle a déclaré qu’elle marcherait sur les traces d’Obama".

Daisy Ridley était très active sur les réseaux sociaux, où elle ne se contentait pas de poster des selfies, n'hésitant pas s'exprimer sur des sujets personnels qui lui tiennent à coeur.
Mais ça, c'était avant.

La nouvelle héroïne de Star Wars vient de supprimer son compte Instagram, après avoir reçu une pluie de critiques suite à un post sur les armes à feu.

Le message était pourtant très sobre et en apparence anodin, mais de l'autre côté de l'Atlantique, on ne badine pas avec le Second Amendement. Après l'émouvant hommage aux victimes des armes à feu mené par Jessica Alba lors de la cérémonie des Teen Choice Awards, l'actrice de 24 ans avait posté cette réflexion sur Facebook et Instagram : "En train de penser à quel point j'ai de la chance... Un peu de sérieux : alors que j'étais assise dans le public des Teen Choice Awards hier, les larmes ont coulé sur mon visage lors de l'hommage à ceux qui sont morts à cause des armes à  feu. Je n'ai pas de belle photo de ce groupe incroyable qui est monté sur scène mais ils étaient si courageux. C'était un grand moment de rassemblement. Nous devons #CesserLaViolence".

L'actrice anglaise a alors reçu un déferlement de critiques pour sa prise de position : "Daisy, tu viens de perdre une fan. Avec ton manque de recherche évident et une absence totale de connaissance du sujet, c'est peut-être le genre de chose dont tu ne devrais pas parler" ; "S'il te plaît, ne commence pas à adopter des discours ou des positions libérales. Nous sommes tous contre la violence. Les gens tuent des gens, pas les flingues. Ne gâche pas Star Wars" ; "Ah pardon, on ne te voit pas utiliser un blaster dans Star Wars 7 ? Allez, casse-toi, tu ne vaux pas mieux que Matt Damon. Je vais devoir me désabonner de ta page" ; ou encore "Dit la femme qui tue des gens avec des armes à feu dans ses films. Ferme-la Ridley, et fais-nous un autre Star Wars".

Sur une photo de vacances postée sur Insta­gram mardi 2 août, M. Pokora semble hési­ter avant de plon­ger dans une piscine. L'eau serait-elle trop froide au goût du chan­teur ? Non, c'est juste qu'il semble inter­loqué par… ses initiales.

En effet, face à ses pieds, les lettres MP sont incrus­tées en carre­lage couleur marine au fond de la piscine bleu­tée. C'était l'occa­sion rêvé de faire saillir ses belles plaquettes de choco­lat et d'expo­ser son immense tatouage – il a en effet choisi le bon côté pour réali­ser le cliché. A noter toute­fois, un 7 à côté des initiales. Un indice pour devi­ner où se trouve la piscine ? Inter­net nous apprend seule­ment que le MP7 est un pisto­let mitrailleur… Peu concluant, donc. En tout cas, le chan­teur a jugé utile d'en faire profi­ter ses fans en publiant une photo sur Insta­gram.

Si l'atti­tude est un brin mégalo, on ne lui jettera pas la pierre. Il est loin d'être la seule star à profi­ter de l'été pour expo­ser ses formes sur les réseaux sociaux, pour le plus grand plai­sir des fans d'ailleurs.

La majo­rité de ses follo­wers a acclamé sa beauté sur Insta­gram, mais certains n'ont pas hésité à souli­gner le léger ridi­cule de la situa­tion, en notant par exemple les toutes petites jambes que lui faisait le reflet de l'eau…Quoi qu'il en soit, à en croire les commen­taires, il semble qu'ils auraient préféré trou­ver son adresse de desti­na­tion plutôt que ses initiales.

Plus de 830 femmes meurent chaque jour en raison de causes liées à la gros­sesse. Des décès dont la plupart, seraient évitables, si les condi­tions d’ac­cès à des soins avant, pendant et après l’ac­cou­che­ment, étaient faci­li­tées. C’est le message fort qu’a voulu faire passer, Olivia Wilde, hier, en postant une photo d’elle, en bikini, à l’oc­ca­sion du Bump Day.

Radieuse, l’hé­roïne de Dr House, très active sur les réseaux sociaux où elle partage les aléas de sa gros­sesse, a invité ses abon­nés à la rejoindre pour “deman­der au Congrès de passer le ReachAct afin que toutes les mamans aient des gros­sesses saines“.

Déjà maman d’un petit Otis Alexan­der né le 20 avril 2014, Olivia Wilde avait annoncé, en avril dernier, attendre un heureux événe­ment avec son mari, l’ac­teur Jason Sudei­kis. Depuis, au fur et à mesure que son ventre s’ar­ron­dit, Olivia Wilde ne cesse de se moquer d’elle-même en se réjouis­sant, notam­ment, de porter des vête­ments larges ou de ne plus rien porter du tout.

Mais, pour celle qui a fait savoir qu’elle vote­rait Hillary Clin­ton, à la prési­den­tielle améri­caine de novembre prochain, l’au­to­dé­ri­sion est facile. Son corps est parfait.

Enorme frayeur et peut-être même un poignet cassé pour Kris Jenner. Au volant de sa Rolls-Royce acquise il y a dix jours à peine, la mère de Kim Karda­shian a été, hier, victime d'un acci­dent de la route qui, si la voiture n’avait pas eu cette robus­tesse et ses options, aurait peut-être pu lui être fatal. Alors qu'elle roulait sur la 101 free­way non loin de chez elle, une voiture lui a coupé la route à un feu. 

Selon la chaîne TMZ, l'ex de Bruce Jenner aurait même le poignet cassé à cause de la violence du choc. Appe­lés sur les lieux, les secours ont été obli­gés de prendre en charge Kris Jenner alors qu'elle se trou­vait encore dans sa voiture. Les secou­ristes avaient, en effet, peur d'aggra­ver ses bles­sures en la sortant du véhi­cule. 

Selon les forces de l'ordre, l'airbag de la Rolls-Royce, qui n'avait qu'une semaine, s'est bien déclen­ché, évitant à la brune de 60 ans de subir de plus graves bles­sures. Touchée à l'avant droit par une Toyota Prius, l'avant de la Rolls-Royce blanche est litté­ra­le­ment détruit. On ne sait pas quel est l'état de santé du conduc­teur de la Prius. 

La toile s’est rapi­de­ment inquié­tée et nombreux ont été les inter­nautes à penser que Kylie Jenner était avec sa mère, dans la voiture, au moment du crash. Quelques heures avant, fille et mère avaient aménagé, ensemble, dans le dres­sing de Kris Jenner, un coin destiné à accueillir sa collec­tion de sac Hermès. Sur Twit­ter, la jeune femme de 18 ans a rassuré ses abon­nés en affir­mant qu’elle n’était pas à bord et que sa mère allait bien.

Duo de charme.Jessica Chas­tain a rejoint ce mercredi 3 août le réali­sa­teur cana­dien Xavier Dolan sur le tour­nage de son prochain film, The Death ans Life of John F. Dono­van. Le jeune cinéaste, nouvelle coque­luche d’Hol­ly­wood, s’est offert pour son premier film en langue anglaise un casting impres­sion­nant : aux côtés de Jessica Chas­tain, on verra notam­ment Kit Harring­ton, star de la série Game of Thrones, Nata­lie Port­man ou encore Susan Saran­don. Une ribam­belle d’ac­teurs talen­tueux, qui pour­rait une fois encore éblouir la Croi­sette, puisque le film devrait être prêt pour le festi­val de Cannes 2017. Cette année, le jeune Québé­cois de 27 ans avait remporté le Grand Prix du jury pour Juste la fin du monde.

Jessica Chas­tain a partagé sur Twit­ter une photo d’elle en compa­gnie de Xavier Dolan. Tous les deux très élégants, elle dans une robe à sequins, lui en costume et nœud papillon, ils regardent dans la même direc­tion. « My on set crush » a-t-elle écrit en légende de la photo, litté­ra­le­ment « mon coup de cœur sur le tour­nage ». Suivi de la mention : « The Death and Life of John F. Dono­van, premier jour terminé ! » Quelques mots qui montrent toute l’af­fec­tion et l’ad­mi­ra­tion que porte l’ac­trice à son réali­sa­teur, et qui prouve que les débuts de cette colla­bo­ra­tion se déroulent très bien. La comé­dienne de 39 ans doit être d’au­tant plus ravie de faire partie de l’aven­ture, qu’elle est aussi une grande fan de la série Game of Thrones… En côtoyant de près Kit Harring­ton, qui incarne Jon Snow à l’écran, la belle essaiera peut être de lui souti­rer des infor­ma­tions sur les deux ultimes saisons à venir.

The Death ans Life of John F. Dono­van racon­tera l’his­toire d’amour secrète d’une star holly­woo­dienne avec un jeune Britan­nique, alors que la rédac­trice en chef d’un tabloïd tente de détruire sa vie. Des rumeurs annoncent déjà la présence de la chan­teuse Adele au géné­rique du film, et peut-être pas pour la bande origi­nale. Elle avait déjà colla­boré avec le jeune cinéaste pour le clip de son tube inter­na­tio­nal Hello, et il avait expliqué avoir été séduit par ses talents de comé­dien­ne… Comme d’ha­bi­tude, Xavier Dolan fait les choses en grand.

Après une promo énorme et interminable, Suicide Squad s'apprête à débarquer sur nos écrans.

Lundi soir, l'équipe de super-méchants DC Comics dirigée par David Ayer a fait le show à New York, qui accueillait la grande avant-première du film. S'ils avaient laissé tomber les perruques et les maquillages trash pour des toilettes plus glamour, les acteurs étaient encore dans la peau de leurs personnages délurés.

Will Smith, Margot Robbie, Cara Delevingne, Jared Leto, Jai Courtney, Karen Fukuhara, Scott Eastwood, Viola Davis, Joel Kinnaman, Adam Beach et Adewale Akinnuoye-Agbaje étaient déchaînés sur le tapis rouge. Mais le plus survolté était probablement David Ayer, qui a lâché un "Fuck Marvel" dans le feu de l'action.

De nombreux guests ont assisté à la première de Suicide Squad, comme le dessinateur et réalisateur Franck Miller, mais aussi le cinéaste Kevin Smith, vraiment fan de l'univers de DC Comics puisqu'il a poussé le vice jusqu'à appeler sa fille Harley Quinn.

Atteinte d'un cancer du sein, diagnostiqué sur le tard en 2015, Shannen Doherty a entamé une chimiothérapie.

Et l'actrice connue grâce aux séries La Petite Maison dans la prairie, Beverly Hills et Charmed a décidé de communiquer sur sa terrible maladie afin de sensibiliser l'opinion publique et d'inviter les femmes à se faire dépister. Quelques jours après s'être rasé le crâne en direct sur Instagram, l'actrice de 45 ans a accordé une interview à Entertainment Tonight.

"C’est dur. J’ai commencé à penser que je n’allais pas survivre… Je ne regarde pas plus loin qu’aujourd’hui... Je ne sais pas si je retrouverai mon apparence normale un jour", a confié l'actrice, en larmes, coiffée d'un foulard.