• Sydney Sweeney répond à une critique de cinéma  qui ne la trouve « pas jolie » et mauvaise actrice

    La It girl du moment, Sydney Sweeney, ne semble pas faire l’unanimité. La productrice Carol Baum, notamment connue pour le film The Good Girl et la série Buffy contre les vampires, n’a en effet pas été convaincue par la star montante de Hollywood. Elle a exprimé sa confusion face au succès de la star de Tout sauf toi pendant un panel de discussion sur son film de 1988, Faux-semblants, avec une critique de films du New York Times, Janet Maslin.

    « Il y a une actrice que tout le monde aime maintenant : Sydney Sweeney. Je ne comprends pas Sydney Sweeney. J’ai vu dans l’avion le film (Tout sauf toi) parce que je voulais le regarder », a-t-elle raconté, comme le relaye le Daily Mail. « Je voulais savoir qui elle était et pourquoi tout le monde parlait d’elle. J’ai regardé ce film impossible à regarder, désolée pour ceux qui aiment ce genre de comédie romantique où ils se détestent. »

    Loin de se contenter de critiquer le jeu de l’actrice et fondatrice de la société de production Fifty-Fifty Films, Carol Baum, qui est aussi professeure associée à l’université de Californie du Sud, s’en est prise à son physique. « J’ai dit à ma classe : "Expliquez-moi cette fille. Elle n’est pas jolie, elle ne sait pas jouer la comédie. En quoi est-elle si sexy ?" Personne n’avait de réponse. »

    Et d’ajouter : « Mais ensuite, on m’a posé la question suivante : "Si vous pouviez produire votre film parce qu’elle joue dedans, le feriez-vous ?" Il est très difficile de répondre à cette question parce que nous voulons tous que le film soit produit et qui peut renoncer à un feu vert ? Personne que je connaisse. Votre travail consiste à faire en sorte que le film soit réalisé. »

    Ses propos n’ont évidemment pas plus à la star d’Euphoria et ses équipes de communication qui ont envoyé un communiqué au magazine Variety en guise de réponse.

    « Comme c’est triste qu’une femme en position de partager son expertise et son expérience choisisse plutôt d’attaquer une autre femme », ont-ils relevé. « Si c’est ce qu’elle a appris au cours de ses années dans l’industrie et qu’elle pense qu’il est approprié d’enseigner cela à ses étudiants, c’est honteux. Le fait de dénigrer injustement une autre productrice en dit long sur le caractère de Mme Baum. »

    Les commentaires de la productrice n’ont pas fait l’unanimité, puisque cette dernière a confié à TMZ avoir reçu « des tonnes de courriels haineux » à ce sujet. Elle a aussi avoué « regretter » ses propos et affirmé que « dénigrer » une actrice en public de la sorte n’était « pas dans ses habitudes ».

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  • Véronique Sanson se confie sur ce mal qui l'handicape au quotidien

    Tout au long de sa carrière, Véronique Sanson a toujours choisi la transparence. La chanteuse, qui célèbrera ses 75 ans le 24 avril prochain, s'est souvent racontée en interview, mais surtout en musique. Au début des années 70, alors très amoureuse de son compagnon Michel Berger, Véronique Sanson avait écrit le titre Amoureuse, dans lequel elle chantait : "Quand je suis loin de lui/Je n'ai plus vraiment toute ma tête/Et je ne suis plus d'ici/Oh! je ne suis plus d'ici/Je ressens la pluie d'une autre planète".

    Une passion qui s'était finalement arrêtée brutalement puisque Véronique Sanson avait quitté Michel Berger pour rejoindre Stephen Stills, dont elle était tombée amoureuse, aux Etats-Unis. "J'ai ressenti un appel du large et même si ce que j'ai fait n'a pas été fait avec la plus grande élégance, il fallait que je le fasse vraiment. Il fallait que j'y aille. Voilà. J'avais envie de connaître un autre continent, un autre monde, une autre manière de travailler et d'approcher la musique aussi", avait-elle avoué dans En Aparté, en février dernier.

    A presque 75 ans, Véronique Sanson est désormais une femme apaisée et une artiste accomplie, qui continue à se produire sur scène, pour le plus grand bonheur de ses fans. Celle qui sera présente sur la scène du Grand Rex à Paris, le jour de son anniversaire, a réussi à conserver sa passion intacte. Et ce malgré les aléas de l'âge, qui l'handicapent sur certains aspects de sa vie. Dans un long entretien accordé à Paris Match et paru ce jeudi 18 avril 2024, la mère de Christopher Stills s'est confiée sur le temps qui passe, sans filtre. "Il y a des trucs que je ne peux plus faire, j'ai de l'arthrose dans les mains. Mais quand même, je trouve que ça va, j'ai plein d'énergie. Bien évidemment, quand on est bien dans son corps, normalement, on est bien dans sa tête", a-t-elle expliqué. Une réponse sans détour ni tabou, à l'image de l'artiste.

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  • Véronique Jannot fait de touchantes confidences sur sa fille adoptive Migmar

    Véronique Jannot a connu un tournant décisif à l'âge de 22 ans lorsqu'elle est diagnostiquée d'un cancer du col de l'utérus. Une maladie qui a provoqué sa stérilité. Cette épreuve a cependant transformé sa perspective de vie, la poussant à apprécier chaque moment. "Je pense que les épreuves sont nécessaires dans une vie. Quand on a cru que celle-ci pouvait s’arrêter, on ne gâche plus son temps; on s’applique à mieux vivre. Avoir été malade du cancer a, paradoxalement, donné un sens à mon existence. Et cela m’a donné une force incroyable. J’ai vécu tellement de choses après, de manière pleine et joyeuse…", avait-elle confié, en 2023, dans les colonnes de Télé-Loisirs.

    Cette expérience profonde ne l'a pas seulement changée sur le plan personnel mais lui a aussi ouvert de nouvelles voies pour trouver le bonheur et la satisfaction dans des aspects inattendus de la vie.

    Alors qu'elle ne pensait jamais devenir mère, Véronique Jannot a croisé le chemin de celle qui deviendra sa fille, Migmar. C'est lors d'un voyage en Inde qu'elle rencontre l'orpheline tibétaine. Echappée du Tibet à seulement 8 ans, cette dernière a survécu à un périple éprouvant à travers l'Himalaya avant de trouver refuge dans un camp où l'actrice est engagée via son association "Graines d'Avenir". Leur lien est immédiat, transcendant les barrières de la langue et les défis bureaucratiques liés à l'adoption internationale. "J’avais fait le deuil de la maternité, mais sans souffrance. Migmar n’est pas la compensation d’un manque, d’une frustration. Elle et moi, c’est une magnifique histoire d’amour. Une rencontre extraordinaire", avait expliqué la comédienne à Gala, en 2015, évoquant leur relation mère-fille qui a débuté après l'adoption de Migmar, un an plus tôt.

    Dans les colonnes de Gala, Véronique Jannot a fait de nouvelles confidences sur sa fille Migmar, qui vient de fêter ses 25 ans. Elle a ainsi exprimé son amour inconditionnel pour la jeune femme, notant une évolution de leur relation de protectrice à égales. "Pour elle, je ressens de l’amour absolu. Nous parlons désormais de femme à femme", a-t-elle révélé, tout en se réjouissant des progrès de Migmar, qui n'est plus cette "petite fille qu'(elle) protège". "Au début, je me suis beaucoup fait marcher sur les pieds mais ce n’est plus le cas, a-t-elle assuré. Désormais, je lui donne des conseils et elle en fait ce qu’elle veut. Et j’ai confiance en ce que je vois en elle. Elle grandit en beauté, belle dedans et belle dehors. Elle a tout pour faire un joli chemin". La fierté de Véronique transparaît alors qu'elle mentionne les aspirations professionnelles de sa fille : "En ce moment, elle travaille comme assistante sur un film d’Olivier Marchal. Son rêve est de devenir réalisatrice et je souhaite bien sûr qu’elle l’atteigne". Véronique Jannot est une mère comblée.

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  • Sylvester Stallone n'en a pas fini avec les films de boxe

    Le comédien de 77 ans n'en n'a pas terminé avec les films de boxe. L'interprète de Rocky Balboa va produire Giant, un drame sportif basé sur l'histoire vraie du boxeur britannique d'origine yéménite Prince Naseem "Naz" Hamed, devenu champion du monde des poids plumes.

    De ses débuts difficiles dans les quartiers de la classe ouvrière de Sheffield à sa découverte par son futur coach Brendan Ingle et son ascension, le film retracera la vie du boxeur aujourd'hui âgé de 50 ans. Ce dernier est devenu célèbre grâce à son style de combat particulier, son arrogance, ses nombreuses victoires par K.O., et ses entrées spectaculaires sur le ring.

    Le comédien Amir El-Masry déjà vu dans Star Wars: L'Ascension de Skywalker, Mystère à Venise, Limbo, et les séries The One et Rogue Heroes, tiendra le rôle de Naseem Hamed, tandis que l'ex-James Bond Pierce Brosnan incarnera l'entraîneur de boxe irlandais Brendan Ingle.

    Giant sera écrit et mis en scène par Rowan Athale (The Rise), Sylvester Stallone en sera l'un des producteurs exécutifs. Le tournage aura lieu prochainement au Royaume-Uni.

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  • Park Chan-wook va adapter Old Boy en série

    Vingt ans après sa sortie au cinéma, le film culte des années 2000, Old Boy, s’apprête à devenir une série. Park Chan-wook s’est associé à Lionsgate Television pour développer une série en langue anglaise qu’il va produire avec Syd Lim, avec qui il avait déjà travaillé sur le film original.

    Sorti en 2003, Old Boy est une adaptation du manga japonais éponyme écrit par Garon Tsuchiya. Le comédien Choi Min-sik y incarnait Oh Dae-Soo, un père de famille sans histoire, enlevé devant chez lui et séquestré pendant plusieurs années sans raison apparente.

    Ce dernier est cependant libéré après 15 ans de captivité et dispose alors de cinq jours pour retrouver son ravisseur. Plus gros succès de l'année 2003 en Corée, Old Boy est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands thrillers du cinéma.

    Sélectionné en Compétition au festival de Cannes de 2004, Old Boy a reçu le Grand Prix des mains du Président du Jury Quentin Tarantino, une première pour un film sud-coréen.

    C’est donc sous la forme d’une série que Old Boy va connaître une seconde vie. “Lionsgate Television partage ma vision créative pour transposer Oldboy à la télévision", a ainsi déclaré Park Chan-wook. "Je me réjouis de travailler avec un studio qui fait preuve d’audace, d’originalité et qui n’hésite pas à prendre des risques dans la narration.”

    “Park Chan-Wook est l'un des conteurs d’histoire les plus visionnaires de notre génération, et nous sommes ravis de nous associer à lui pour porter son chef-d'œuvre cinématographique sur le petit écran", a confié Scott Herbst, vice-président exécutif et responsable du développement des scénarios chez Lionsgate Television.

    "Cette adaptation en série de Old Boy combinera la puissance émotionnelle brute, les scènes de combat emblématiques et le style visionnaire qui ont fait du film un classique.”

    En 2013, Spike Lee avait déjà fait un remake américain du film avec Josh Brolin dans le rôle principal, mais le film n’ a jamais rencontré le succès de la version originale. Espérons que cette nouvelle itération en série, chapeautée par Park Chan-wook, fasse mieux que le film américain. Pour le moment, aucune chaîne ou plateforme n’est rattachée au projet.

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  • Netflix a-t-elle utilisé de l'IA dans le documentaire Les vérités de Jennifer

    Si vous êtes abonné à Netflix et amateur de true crimes, alors vous vous êtes très probablement jeté sur le dernier documentaire en date du géant du streaming : Les vérités de Jennifer. Cette production américaine revient sur une affaire qui a secoué le Canada en 2010.

    Elle commence par un appel au 911 : au bout du fil se trouve Jennifer Pan, une jeune femme de 28 ans qui hurle au téléphone que l’on vient de tirer sur ses parents. Sa mère meurt sur le coup au domicile familial mais son père est emmené aux urgences puis mis sous coma artificiel.

    Quant à Jennifer, elle devient rapidement le point de mire d'une affaire criminelle captivante. Cette femme si timide et si frêle semble ne pas tout dire à la police...

    Pour illustrer son documentaire et montrer toute l'ambivalence du personnage, la réalisatrice Jenny Popplewell utilise des images d’archive et des témoignages. Et il y a une illustration qui a fait réagir de nombreux abonnés.

    Nous sommes à environ 30 minutes du documentaire. L’un des anciens camarades de classe de Jennifer décrit son amie comme une adolescente “pétillante, heureuse, sûre d’elle et sincère”.

    Le documentaire utilise alors une photo de la jeune fille pour illustrer son propos. On la voit, sourire aux lèvres, les deux bras levés, prenant la pose pour le cliché. Le hic ? Si on regarde de plus près l’image, on se rend compte que quelque chose ne va pas, comme l’explique très bien cet article.

    Déformation des mains (Jennifer ne semble avoir que deux doigts à la gauche), décor qui n’est pas droit, lumières étranges… aucun doute : cette image a été éditée par une IA.

    Une manipulation de l’image qui semble plausible si Netflix n’a eu accès qu’à une seule photo d’illustration et que toutes les autres ont été retouchées. Sur un second cliché en effet, Jennifer apparait sur un fond noir, avec une seule oreille. Ce qui expliquerait pourquoi elle porte la même robe rouge à chaque fois…

    Mais dans le cas d’un documentaire, qui doit mettre en avant la vérité et non pas la travestir ou la manipuler, ce recours à une intelligence artificielle a de quoi questionner. D’autant plus que l’affaire Jennifer Pan est toujours en cours de l’autre côté de l’Atlantique puisqu’elle a connu un rebondissement en 2023.

    Contacté par plusieurs médias américains, Netflix n’a pas souhaité répondre aux sollicitations…

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  • Steven Spielberg prépare un nouveau film sur les Ovnis

    Deux ans après son quasi autobiopic, The Fabelmans, Steven Spielberg travaillerait sur un nouveau long métrage. Et visiblement, il reviendrait à ses premières amours, à savoir les extraterrestres...

    Selon Variety, le réalisateur de E.T. et Rencontres du troisième type serait sur le point de diriger un film sur les Ovnis basé sur une idée originale à lui. Steven Spielberg s'associerait avec son scénariste de Jurassic Park, David Koepp, qui aurait en charge le scénario de ce film Ovni encore sans titre.

    Pour l’instant, on ne sait rien d’autre sur ce projet mystère.

    Steven Spielberg a récemment plutôt tourné son regard vers la télévision, produisant Masters of the Air pour Apple. Il travaille actuellement sur une série adaptée des films Cape Fear alias Les Nerfs à vifs (le remake de 1991 de Scorsese et l'original de 1962).

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  • Quentin Tarantino abandonne The Movie Critic

    Grosse surprise chez Deadline ce matin : le site américain de référence en matière de cinéma révèle que Quentin Tarantino ne tournera plus The Movie Critic, qu'il avait annoncé comme devant être son dixième et dernier film. "Il a tout simplement changé d'avis", précise d'emblée l'article.

    On ne sait pas encore vers quel autre projet le cinéaste compte se tourner, mais il travaillait sur The Movie Critic depuis déjà plus d'un an Après avoir sorti Once Upon a Time...in Hollywood, en 2019, il avait évoqué son envie de s'éloigner du cinéma pour écrire des livres, des pièces de théâtre et/ou des épisodes de séries. Il a depuis publié la novélisation de son dernier film, développant sa relecture de Hollywood en 1969. Il a également écrit un récit cinéphile, composé entre autres de critiques et analyses, intitulé Cinema Speculations.

    Le créateur de Pulp Fiction et Inglourious Basterds n'a en revanche jamais abandonné l'idée de tourner un 10e et ultime film. Il a un temps été question d'un Star Trek, puis il a officiellement annoncé vouloir filmer The Movie Critic comme une sorte de suite spirituelle de Once Upon a Time...in Hollywood. Ce projet devait raconter comme son titre l'indique la vie d'un critique de cinéma. Se déroulant précisément en 1977, il aurait suivi cet homme passionné et doté d'une plume acerbe, mais peinant à connaître le succès en écrivant non pas pour une revue de cinéma, mais... pornographique.

    S'il n'a pas détaillé trop d'éléments à son propos, il a tout de même tenu à démentir une rumeur, en mars 2023 :

    "Je serais très content de voir un film sur la vie de Pauline Kael. Il pourrait même être meilleur que mon film, mais mon film à moi n’a rien à voir avec ça."

    Deux mois plus tard, alors que QT était présent à Cannes pour présenter une réédition de Rolling Thunder (Légitime violence, de John Flynn), Paul Scharder, qui était au scénario de ce film violent, révélait que The Movie Critic revisiterait plusieurs oeuvres cultes du cinéma américain des années 1970 :

    "Il est possible qu'il ait changé d'idée depuis, explique-t-il, mais il y a un mois et demi environ, il préparait un film qui se passait dans le milieu du cinéma des années 1970. Et pour ce projet, il avait besoin d'extraits de films de cette décennie, et il voulait aussi en remaker certains. Il m'a demandé : 'Est-ce que je peux refaire la fin de Rolling Thunder ?' Alors j'ai dit : 'Oui, vas-y. J'adorerais voir ta version de la dernière scène de Rolling Thunder.' Qui sait s'il le fera finalement ou pas ? Mais c'est quelque chose qui titille son imagination, d'une façon parfaitement tarantinesque."

    Le nom de Paul Walter Hauser (Le Cas Richard Jewell, BlacKKKlansman) a tourné pour le rôle principal, sans que cela ne soit confirmé. Il a aussi été question pour QT de retrouver plusieurs comédiens avec qui il a collaboré au cours de sa carrière, notamment Brad Pitt, mais aussi une partie du casting de Pulp Fiction. Le cinéaste aurait même aimé engager à nouveau Bruce Willis sur cet ultime film, si sa santé le permettait. Tom Cruise aurait enfin été intéressé par une collaboration avec Tarantino, mais là non plus, rien n'a été officialisé.

    The Movie Critic aurait initialement dû entrer en tournage l'été dernier, sauf que la grève des scénaristes et des acteurs a bouleversé les plans. Ses prises de vue étaient depuis annoncées dans le courant de l'année 2024, sans que rien de plus ne soit précisé.

    Quel sera finalement le 10e et dernier film de Quentin Tarantino ? C'est encore trop tôt pour le dire, mais Deadline rappelle que tout espoir n'est pas perdu quant à The Movie Critic, puisque Les 8 Salopards avait lui aussi été abandonné en cours de route par son réalisateur, avant qu'il ne rechange d'avis et décide de le tourner. La situation était différente : c'est la fuite de son scénario sur le web qui avait découragé le cinéaste, mais après une lecture en public qui avait bien marché, il avait contre toute attente repris ce western en mains et l'avait mené à terme.

    L'abandon de The Movie Critic a en tout cas relancé une arlésienne vieille de 20 ans : et si QT avait lâché ce projet pour tourner enfin Kill Bill 3 ? 

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  • Les Studios Ghibli vont recevoir la Palme d’or d’honneur à Cannes

    Depuis sa création en 1985, les studios Ghibli ont réalisé plus d’une vingtaine de films – tous devenus des classiques d’animation. De Nausicaä de la Vallée du Vent à Porco Rosso, en passant par Le Château dans le ciel et et Mon Voisin Totoro, les films de Hayao Miyazaki et d’Isao Takahata – décédé en 2018 – sont emblématiques et rassemblent les générations.

    Le dernier en date, Le Garçon et le Héron, sorti fin 2023 a battu tous les records. En France, notamment, il a enregistré un million et demi d'entrées. Le film remporte également le Golden Globes ainsi que l’Oscar du meilleur film d’animation. Une deuxième statuette pour les studios Ghibli qui était déjà reparti vainqueur en 2003 pour Le Voyage de Chihiro.

    Comme la conclusion de quarante ans de passion et de loyaux services rendus au septième art, le Festival de Cannes a annoncé que pour la première fois de son histoire, la Palme d’Or d’honneur récompenserait non pas un individu, mais une institution : les studios Ghibli.

    Dans son communiqué de presse, le festival a souligné son intérêt constant depuis sa création pour l’animation en projetant notamment des long-métrages Disney et a rappelé sa collaboration avec les studios japonais en 2016 pour La Tortue Rouge projeté dans la sélection Un Certain Regard.

    "Venu se placer aux côtés des grands d’Hollywood, incarné par deux merveilleux conteurs, Hayao Miyazaki et Isao Takahata, et une multitude de personnages cultes, le studio japonais fait souffler un vent sur le cinéma d’animation depuis quatre décennies."

    De son côté, Toshio Suzuki, le co-fondateur des studios Ghibli a tenu à remercier le festival :

    "Je suis vraiment honoré et heureux que le studio reçoive la Palme d’or d’honneur. […] Nous avons fait du chemin pour que le Studio Ghibli devienne aussi important. Bien que Miyazaki et moi ayons pris de l’âge, je suis certains que le Studio Ghibli continuera à relever de nouveaux défis, sous la houlette d’équipes qui perpétueront l’esprit de l’entreprise."

    Véritables odes à la vie et à la nature, les films de Miyazaki transportent le public dans un univers semi réel semi imaginaire aux couleurs aquarelles, accompagné d’une musique que tous fredonnent. Poétique, la légèreté du dessin ne fait que renforcer les messages essentiels véhiculés notamment autour de l’environnement. Ainsi, dans Ponyo sur la falaise, on peut y voir une critique de la pollution marine dans un décors pourtant sublimé. Dans la Princesse Mononoké, c’est l’équilibre entre l’Homme et la Nature qui est évoqué.

    Inspirés et surtout inspirants, les Studios Ghibli ont suscité l’admiration de nombreux artistes. Au cinéma, le réalisateur d’Elementaire, Peter Sohn parle de son admiration pour Miyazaki.

    Etrange coïncidence, le jour même de l’annonce de la Palme d’or d’honneur, le magazine américain TIME a fait de Miyazaki l’une des cent personnalités les plus influentes de 2024. En son honneur, le réalisateur Guillermo Del Toro (Le Labyrinthe de Pan, La Forme de l’eau) a écrit un article dans lequel il évoque ses souvenirs d’enfance mêlés aux films des studios Ghibli et explique son émerveillement :

    "Le travail de Miyazaki provoque cette émotion rare – le frisson lorsqu’on reconnaît un genre de beauté impossible à imaginer dans le monde réel et qui n’existe donc que dans ses films. Pourtant, il est aussi un implacable réaliste en ce qui concerne l’avidité, la guerre et la rage humaine. Il sait que nous façonnons et détruisons notre planète et que les humains sont aussi bien ce qu’il y a de meilleur et de pire dans notre monde."

    Cette année, pour la 77ème édition du festival cannois, les Studios Ghibli recevront la Palme d’or d’honneur aux côtés de George Lucas (Star Wars, Indiana Jones) pour l’ensemble de sa carrière. Ces prix seront remis à la clôture du festival, qui se tiendra du 14 au 25 mai. La sélection officielle est par ailleurs déjà annoncée.

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  • Aurélie Preston fait de terribles révélations sur les violences médicales de son ex

    La vie d'Aurélie Preston ressemble à un long, très long calvaire. La jeune marseillaise se révèle en 2015 grâce à ses apparitions dans Les Marseillais en Thaïlande puis dans Les Anges de la télé-réalité. Mais cette seconde aventure tourne au cauchemar : la candidate est victime de harcèlement de la part de ses camarades, qui la détruisent psychologiquement. "C'est triste, je trouve ça inhumain de faire vivre ça à quelqu'un" confiait-elle à Cyril Hanouna en novembre 2022 à l'occasion de son passage dans TPMP. À l'époque, la jeune femme se livre également pour la première fois sur sa tentative de suicide, qu'elle avait annoncé quelques heures plus tôt à ses abonnés sur les réseaux. "Je voulais me tuer en voiture. Ça ne se décide pas, ce sont des pulsions. J'écoutais de la musique, [je roulais] à 200km/h sur une route à Montpellier avec des platanes et je me disais 'pourquoi je vis ?'" confiait-elle.

    Aujourd'hui, Aurélie Preston est bien décidée à passer autre chose, surtout afin de sensibiliser les autres personnes victimes de harcèlement, au point de s'adresser directement à Emmanuel Macron pour faire bouger les choses. Pour cela, elle sort son premier livre, Brisée, qui revient sur son histoire. Invitée du blogueur Sam Zirah, elle en a profité pour dévoiler cette relation avec un dentiste qui lui a coûté très cher : lorsqu'il lui pose des facettes avant sa tentative de suicide, les choses tournent mal. "J'avais déjà eu mal de manière anormale. Sur le trajet du retour, j'ai cru que j'allais mourir. (...) Ma tête allait exploser, j'ai eu des douleurs que je ne comprenais pas, sachant que toutes mes dents étaient saines" explique-t-elle. En réalité, des caries se sont développées sur toutes ses dents.

    Après sa sortie de l'hôpital quelques mois plus tard, ce dentiste de Genève avec qui elle entretenait une relation revient à la charge, mais son travail est une nouvelle fois bâclé. "Il m'a laissé trop longtemps sous facettes provisoires, ce qui fait que les infections se sont déplacées. Il y a donc eu une infection généralisée de plusieurs dents" ajoute-t-elle, précisant avoir dû subir plusieurs interventions chirurgicales pour rattraper les dégâts, qui lui ont finalement fait mourir presque toutes ses dents. Non seulement Aurélie Preston demande 150.000 € de dommages et intérêts, mais elle a également porté plainte pour violences conjugales : "Il était horrible avec moi au fauteuil. ‘Ah bah alors si tu bouges, je ne te touche plus.’ À s’énerver. À me faire vivre un enfer ! Maintenant dès que j’entends une fraise, un truc… J’ai une appréhension d’aller au fauteuil me faire soigner" conclue-t-elle, précisant au passage que d'autres victimes du dentiste se sont manifestées.

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