• Mad Max : bientôt un nouveau film avec Tom Hardy ?

    ATTENTION - Cet article contient des spoilers sur l'intrigue de Mad Max : Furiosa.

    La promotion de Mad Max : Furiosa vient de débuter avec un impressionnant happening sur le Sydney Harbour Bridge pour le lancement de la promotion du film de George Miller avec Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth dans la capitale australienne.

    A cette occasion, George Miller s'est entretenu avec le magazine EW et a fait le point sur l'avenir de la franchise.

    Le long métrage de science-fiction, qui sera présenté en avant-première hors-compétition lors du prochain Festival de Cannes 2024, promet de nous en mettre plein la vue avec une séquence folle de 15 minutes d'action, ayant nécessité 78 jours de tournage.

    Prequel de Fury Road sorti en 2015, le nouveau film est centré sur la jeunesse de Furiosa, incarnée par Anya Taylor-Joy (et par Charlize Theron dans le précédent volet) et débute 15 ans avant l'action du film porté par Tom Hardy.

    Mais le cinéaste a révélé que ce n'est pas parce qu'il s'agit d'un film dérivé sur Furiosa, qu'il n'y a aucun signe de Mad Max... Le réalisateur confie ainsi à EW que son personnage emblématique fait une brève apparition en guise de clin d'œil pour les fans.

    "Pour la préparation de Mad Max: Fury Road, nous avons également écrit ce qui est arrivé à Max l'année qui précède l'action de Fury Road. Et à mesure que nous avançons vers la fin de Furiosa, chronologiquement parlant, nous devions voir que Mad Max se cachait quelque part parce que nous savons ce qui s'est passé. Les scénaristes savent ce qui est arrivé à Max cette année-là, et nous avons d'ailleurs toute une histoire à ce sujet, que j'aimerais faire un jour si j'en ai l'occasion."

    En mars dernier, lors d'un panel à la CCXP23, Miller avait déjà déclaré que Mad Max "rôde quelque part dans cette histoire".

    On sait donc désormais que l'histoire de Furiosa se conclu un an avant le début de Fury Road. George Miller a également précisé que cette histoire inédite sur Mad Max n'est pas encore écrite sous forme de scénario mais plutôt sous la forme d'un roman. Si Furiosa est un succès au box-office, il est très probable que Miller se penche sur un nouveau film consacré à Max.

    La franchise Mad Max a débuté en 1979 avec Mel Gibson dans le rôle principal, deux suites sorties en 1981 et 1985 ont suivi. 30 ans se sont écoulés avant la sortie de Fury Road avec Tom Hardy dans le rôle-titre, et il a fallu patienter 9 autres années pour la sortie de Furiosa, il pourrait donc s'écouler un certain temps avant que les nouvelles aventures de Mad Max ne se concrétisent avec ou sans Tom Hardy...

    En attendant, Mad Max : Furiosa sort dans nos salles le 22 mai prochain. Le film suit la jeune Furiosa, arrachée à la Terre Verte et capturée par une horde de motards dirigée par le redoutable Dementus. Alors qu’elle tente de survivre à la Désolation, à Immortan Joe et de retrouver le chemin de chez elle, Furiosa n’a qu’une seule obsession : la vengeance.

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  • Mon petit renne sur Netflix : les internautes vont-ils trop loin ?

    Richard Gadd, le créateur de la série Mon petit renne, a-t-il dévoilé trop de détails sur son histoire personnelle ? C'est une question qui s'impose suite aux nombreuses dérives provoquées par l'engouement du programme sur les réseaux sociaux.

    Si vous êtes passés à côté du phénomène, Mon petit renne raconte l'histoire d'un humoriste dont la carrière peine à décoller. Barman à ses heures perdues, il rencontre une cliente sur son lieu de travail et devient victime d'harcèlement pendant des années.

    L'auteur et acteur de la série, Richard Gadd, raconte son propre calvaire, celui qu'il a vécu jusqu'en 2019. Il reconstitue également son viol subi au cours de sa carrière. Marquante et difficile à regarder, Mon petit renne appartient au genre de l'autofiction. L'auteur utilise sa propre vie et en tire un récit parsemés d'éléments romancés.

    Or, pour les spectateurs, la frontière entre la fiction et la réalité n'est pas claire. Richard Gadd reste, à raison, très évasif sur l'identité de son harceleuse et de son agresseur, affirmant qu'il a changé de nombreux détails pour ne pas qu'ils se reconnaissent.

    Le succès de la série a déchaîné les réseaux sociaux et de nombreux internautes jouent aux détectives pour retrouver les véritables protagonistes. Ainsi, l'identité d'une femme - présentée comme "la vraie Martha" - a été révélée et jetée en pâture sur la Toile. Quant à l'agresseur, de nombreux noms de l'entourage du créateur ont circulé, au point que l'auteur lui-même a dû poster un message d'avertissement sur son compte Instagram officiel :

    "Bonjour tout le monde, des personnes que j'aime, avec qui j'ai travaillé et que j'admire - y compris Sean Foley - sont injustement pointé du doigt. Veuillez ne pas spéculer sur l'identité des vraies personnes. Ce n'est en aucun cas l'intérêt de notre série."

    Ce procédé met en danger des personnes qui se voient associées à des faits qu'ils n'ont certainement pas commis, le tout sans aucune vérification, aucune preuve. De telles accusations faites sur la Toile relèvent de la diffamation.

    Les médias participent à leur tour à cette mécanique, à l'instar du tabloïd britannique Daily Mail qui prétend avoir retrouvé la "vraie" Martha et publie une interview pour lui donner la parole. Là encore, sans aucune preuve de sa réelle implication dans l'histoire.

    Richard Gadd a-t-il, dès lors, commis une erreur en dévoilant trop d'informations ? S'il prend un véritable risque en suscitant l'intérêt des spectateurs pour sa vie, l'auteur reste dans la légalité la plus totale. Il a modifié les noms et changé de nombreux détails pour s'assurer que les véritables personnes restent introuvables.

    Dans une interview pour GQ, il précise que les premiers concernés pourraient même ne pas se reconnaître. C'est au public que revient la responsabilité de s'arrêter à ce qu'il voit, de respecter la vie privée de chacun et de ne pas franchir la limite autorisée par l'auteur.

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  • Ce n’est un secret pour personne : les productions Disney contiennent souvent des détails cachés. Des œuvres comme Le Bossu de Notre-Dame, Le Roi Lion et bien d’autres flirtent avec des éléments de cette nature et c’est aussi le cas des Aventures de Bernard et Bianca qui, elle, est même allée un petit peu plus loin…

    Dans le film de 1977, nous suivons les deux souris éponymes, membres de la SOS Société, une organisation internationale de souris qui a élu domicile dans les sous-sols du bâtiment des Nations-Unis à New York. Leur but : venir en aide aux personnes en difficulté. Bianca, déléguée coquette, choisit Bernard tendre souriceau timide et courageux pour voler au secours d’une petite orpheline séquestrée nommée Penny.

    Classé parmi les œuvres adressées aux enfants de tout âge, on pourrait penser que rien d’inapproprié n’a lieu dans le film en question – et pourtant il contient un œuf de Pâques des plus controversés. Pendant des années, des rumeurs ont circulé selon lesquelles une femme nue pouvait être vue dans un plan du film d’animation, mais les rumeurs n’ont été confirmées que lors de sa sortie en VHS.

    À l’époque, Disney avait affirmé que l’élément avait été ajouté pendant la phase de post-production et à l’insu du studio, s’excusant puis retirant les bandes du marché. L’œuf de Pâques a été inséré au cours d’une séquence d’action intense, ce qui a certainement contribué à ce qu’il passe inaperçu pour beaucoup.

    Ainsi, les versions suivantes des bandes-vidéo arrivées sur le marché ont été corrigées, effaçant toute trace de cette femme nue que vous pouvez apercevoir dans la photo ci-dessus.

    Au fil des décennies, le studio a dû faire face à d’autres œufs de Pâques controversés, plongeant l’entreprise dans une sorte de légende urbaine, elle qui aurait, selon les théories, une tendance à insérer des images “adultes” cachées dans ses films destinés aux enfants.

    Quoi qu’il en soit, Les Aventures de Bernard et Bianca (1977) – sans femme nue, désolé – est à revoir en streaming sur Disney+.

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  • Senna, la mini-série sur le champion de Formule 1 éponyme dévoile ses premières images dans un teaser à grande vitesse qui recrée sa victoire historique – et première victoire dans sa ville natale de São Paulo – au Grand Prix du Brésil de 1991, après une course particulièrement difficile.

    Le teaser présente ainsi Gabriel Leone dans le rôle du pilote éponyme. Le jeune acteur est connu pour avoir joué dans la série brésilienne DOM de Prime Video ainsi que dans le biopic Ferrari de Michael Mann, dans lequel il a incarné le rôle d’Alfonso de Portago face à Adam Driver, Penélope Cruz et Shailene Woodley.

    Au cours de ses six épisodes, Senna mettra donc en scène, pour la première fois, le parcours d’Ayrton Senna, le célèbre pilote de Formule 1 brésilien, tué lors d’un tragique accident au cours du Grand Prix de Saint-Marin en 1994.

    Le point de départ de la série sera le début de la carrière du triple champion. Le show explorera aussi sa personnalité et ses relations personnelles, ainsi que ses hauts et ses bas professionnels.

    Avec Vicente Amorim comme showrunner et co-réalisateur, aux côtés de Julia Rezende, Senna est produite par Fabiano Gullane et Caio Gullane, avec le soutien de Senna Brands et de la famille du pilote.

    Outre Gabriel Leone, la mini-série mettra également en vedette Matt Mella, Johannes Heinrichs, Joe Hurst, Steven Mackintosh ou encore Kaya Scodelario que l’on a pu voir récemment dans la série The Gentlemen et dont la mère est brésilienne.

    Senna devrait faire ses débuts sur Netflix plus tard cette année. En attendant, découvrez Gabriel Leone dans Ferrari, à voir sur Prime Video.

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  • Emma Stone aimerait qu'on utilise son vrai prénom

    Récemment oscarisée pour son rôle dans Pauvres Créatures, partenaire de Ryan Gosling dans La La Land, petite amie du Spider-Man incarné par Andrew Garfield, méchante Disney très cruelle... Vous avez évidemment deviné que nous parlons ici de l'actrice américaine Emma Stone ! Enfin, pas tout à fait... Si, si, c'est bien elle, mais pas à 100%... Vous pensez que l'auteur de ces lignes devient fou ? Pas du tout !

    Dans un récent entretien croisé avec Nathan Fielder, à qui elle donne la réplique dans la série The Curse, Emma Stone, dont le rôle qu'elle juge le plus difficile n'est ni celui de Pauvres Créatures, ni celui de La La Land, déclare qu'elle aimerait bien qu'on l'appelle plus souvent par son vrai prénom. Car oui, Emma Stone ne s'appelle pas Emma Stone !

    "Avant de continuer cet entretien, je voudrais dire quelque chose", déclare Nathan Fielder au micro du Hollywood Reporter. "Le vrai nom d'Emma est Emily, mais dans le milieu du cinéma, elle se fait appeler Emma. Quand des gens ne la connaissent pas, je finis par dire Emma, mais à partir de maintenant, je vais dire Emily".

    "Les gens avec lesquels je travaille et avec qui je me lie m'appellent Emily", rebondit la principale intéressée. "En fait, j'ai pris le prénom Emma car il y avait déjà une autre actrice qui s'appelait Emily Stone. Ça ma fait flipper il y a quelques années."

    Emma Stone, qui sera à l'affiche en juin prochain du film à sketches Kinds of Kindness de Yórgos Lánthimos, présenté en Compétition au Festival de Cannes, aimerait-elle que les fans l'appellent par son véritable prénom ? "Ce serait tellement bien. J'aimerais être Emily", conclut la comédienne de 35 ans.

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  • Melrose Place : une suite est en préparation

    Et oui, c’est officiel, Melrose Place sera bientôt de retour sur nos petits écrans mais attention pas avec n’importe qui : Heather Locklear, Laura Leighton et Daphne Zuniga vont se réunir pour une suite du soap incontournable des années 1990. En effet, selon Deadline, un reboot de la série, avec le trio en question en tête d’affiche, serait bien en cours de développement chez CBS Studios et actuellement vendu auprès des chaînes et des plateformes de streaming.

    Écrite par Lauren Gussis (créatrice de la série Insatiable de Netflix et CBS Studios), la nouvelle version de Melrose Place reprendra son histoire des années après la série originale et nous permettra ainsi de renouer avec les personnages et de découvrir où ils en sont désormais – et l’un d’entre eux pourrait d’ailleurs ne plus être de ce monde…

    Comme annoncé par Deadline, dans la nouvelle série, lorsqu’un de leurs amis les plus chers décède subitement, les résidents originaux de Melrose Place se réunissent pour honorer le défunt. Mais ces retrouvailles ravivent bientôt d’anciens traumatismes, de vieilles romances, d’anciens ressentiments et révèlent de nouveaux secrets bien sûr, plongeant les héros dans un drame chaotique qui rappelle le passé, mais avec une perspective beaucoup plus moderne.

    Heather Locklear, Laura Leighton et Daphne Zuniga devraient être au centre de cette nouvelle version, reprenant respectivement leurs rôles culte d’Amanda Woodward, Sydney Andrews et Jo Reynolds. Laura Leighton et Daphne Zuniga, entre autres, devraient également être productrices de la série.

    Pour rappel, Melrose Place, ainsi que sa série-mère, Beverly Hills, 90210, ont été créées par Darren Star (Sex & the City, Emily in Paris), sous la coupe d’Aaron Spelling Productions pour la Fox. La série, diffusée pendant sept saisons de 1992 à 1999, suivait la vie d’un groupe de jeunes adultes vivant dans un complexe d’appartements sur Melrose Place, dans la région de West Hollywood, à Los Angeles.

    Heather Locklear a participé à l’ensemble des sept saisons, tout d’abord de façon épisodique dans la saison 1, avant de devenir membre du casting à plein temps la saison suivante. Daphne Zuniga a été, quant à elle, une habituée du show pendant ses quatre premières saisons, tandis que Laura Leighton a joué dans les cinq premières saisons du drame en tant que guest, avant de prendre de plus en plus d’importance et de devenir membre du casting à part entière.

    D’autres membres du casting original pourraient d’ailleurs être eux aussi de retour, selon Deadline. Parmi les réguliers du casting, on pouvait retrouver Marcia Cross, Thomas Calabro, Josie Bissett, Doug Savant, Grant Show, Courtney Thorne-Smith, Rob Estes, Brooke Langton, Kelly Rutherford, Kristin Davis, Alyssa Milano, David Charvet ou encore Lisa Rinna. Cette dernière, qui a eu vent de la nouvelle, a d’ailleurs exprimé son intérêt pour jouer dans cette suite.

    “Eh bien, mon Dieu, j’en ai entendu parler”, a-t-elle déclaré à People. “Je n’ai pas été approchée ou quoi que ce soit, mais j’aimerais voir ce que fait Taylor McBride 25 ans plus tard. Ne serait-ce pas quelque chose ?”

    L’actrice a également déclaré que travailler sur Melrose Place et aux côtés de “Heather [Locklear] et de toute l’équipe” a été l’une de ses “plus grandes et de ses plus amusantes expériences d’actrice” : “Je veux dire, c’était juste une super expérience. Donc, s’ils ont besoin d’une apparition de Taylor McBride, ils savent qui appeler. Je ne suis pas loin”, a-t-elle ajouté.

    D’ailleurs, un certain nombre d’acteurs originaux, dont Heather Locklear, Laura Leighton et Daphne Zuniga, ont déjà repris leurs rôles en tant que guests dans la version CW/CBS de la série qui a été produite en 2009, Melrose Place, Nouvelle Génération, qui mettait en scène un tout nouveau groupe de personnages. Le show n’a cependant duré qu’une saison. La nouvelle version en préparation, elle, devrait davantage s’inspirer de la série originale que de la suite de la CW dans laquelle le personnage de Laura Leighton a été assassiné.

    Au cours des deux dernières décennies, CBS Studios a également revisité Beverly Hills, 90210 à deux reprises : avec le reboot de 2008, 90210 Beverly Hills Nouvelle Génération, qui a été diffusé sur la CW pendant cinq saisons, ainsi qu'avec la série hybride à moitié téléréalité, à moitié scénarisée, BH90210, qui a été diffusée pendant une saison sur Fox. Les deux programmes avaient accueilli certaines des anciennes stars de la série originale donc tout laisse à penser que d’autres retours sont à prévoir dans cette nouvelle version également.

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  • Doctor Who va quitter Prime Video pour Disney+

    Doctor Who ne sera plus disponible sur Prime Video dès le 14 mai prochain. Les amateurs du programme britannique culte n’ont donc plus que deux semaines pour profiter des dix saisons proposées sur la plateforme.

    La série Doctor Who a fait ses débuts sur la BBC en 1963. Sa diffusion s’est achevée en 1989, avant que la série ne fasse son grand retour en 2005 sous la forme d’un nouveau programme modernisé. Les liens avec la précédente série ont toutefois été conservés, via notamment l'apparition de précédentes incarnations du personnage principal.

    Originaire de la planète Gallifrey, le Docteur est un extraterrestre appartenant à la race des Seigneurs du Temps. A bord de son Tardis, il voyage dans le temps et dans l’espace accompagné dans ses aventures par des compagnons, et plus généralement de compagnes. Il possède en outre le pouvoir de changer d’apparence (et donc d’interprète) chaque fois que sa vie est en danger.

    Les célébrations pour les soixante ans de Doctor Who ont permis de voir revenir David Tennant dans le rôle du Docteur. Ces épisodes spéciaux ont également marqué la première apparition du tout nouvel interprète du personnage Ncuti Gatwa (Sex Education), tête d’affiche de la prochaine saison qui marquera un tout nouveau départ de la série.

    En raison d’un partenariat de diffusion entre la BBC et Disney+, les épisodes de Doctor Who sont désormais diffusés à l’international sur la plateforme. Il a également été confirmé que les précédentes saisons du programme rejoindront ces prochains mois le catalogue du service de streaming – mais aucune date de lancement n’a pour le moment été annoncée.

    Il a toutefois été révélé que la nouvelle série Doctor Who (d’ores et déjà renouvelée pour une seconde saison) fera ses grands débuts sur Disney+ dès le 11 mai prochain, à raison d’un épisode chaque semaine. Les amateurs du show pourront donc très prochainement retrouver l’intégrale de Doctor Who – épisodes inédits compris – sur Disney+.

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  • Gerard Butler a sans doute pris la plus mauvaise décision de sa vie sur ce film

    Armé d'un budget de 120 millions de dollars, le film catastrophe Geostorm marquait la première mise en scène de Dean Devlin, le "poulain" de Roland Emmerich, qui a collaboré au scénario et à la production de Universal Soldier, Stargate, Independence Day, sa suite ou Godzilla.

    Dans cette histoire se déroulant dans un futur proche où un réseau de satellites contrôle le climat et protège les populations de la Terre jusqu'à ce que le dispositif se dérègle (évidemment... catastrophe on a dit), Gérard Butler incarne un personnage du nom de Jake Lawson, inspiré d'ailleurs d'un vrai astronaute, Mike Massimo.

    Après avoir porté une tenue de plus de 29 kilos pendant cinq semaines pour les besoins du film, l'acteur a décidé de se faire administrer un anti-douleur d'un genre un peu particulier, comme il l'a raconté sur la station de radio Kiss FM UK.

    "J'avais entendu parler de ce gars qui injecte du venin d'abeille, parce qu'apparemment cela a des composants anti-inflammatoires. Donc je lui ai dit : "Viens à la Nouvelle-Orléans où nous filmons." Donc il m'a fait une injection et j'ai dit, "Oh c'est intéressant, parce que ça pique.

    Il m'a fait dix injections, et j'ai eu alors la pire réaction. J'ai eu un choc anaphylactique ! Ce fut affreux, comme si j'avais des bestioles sur tout le corps, j'ai enflé, j'avais l'impression que mon cœur allait exploser. Mais je m'en sors et je me rends compte qu'il m'en a administré dix fois trop".

    En fait, il était censé recevoir une dose par semaine pendant dix semaines... Quatre jours plus tard après son hospitalisation, l'acteur est de retour sur le tournage. Et reçoit encore une injection : "J'ai dit : essayons, c'était peut-être trop. (...) Et j'ai encore une réaction allergique. Et je suis de nouveau en route vers l'hôpital". Comme un acharnement pas vraiment thérapeutique...

    L'investissement de Butler ne sauvera en rien le film d'un échec cinglant au box office, avec à pleine plus de 221 millions de dollars de recettes. Le point final d'une production qui fut en réalité très chaotique, entre reshootings ordonnés par Warner, changements de date de sortie, et arrivée en renfort de Jerry Bruckheimer pour retravailler de fond en comble le film.

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  • Star Wars : une série de marathons organisée à travers la France pour célébrer la journée mondiale de la saga

    Avis aux fans de Star Wars : le 4 mai approche à grands pas, et comme chaque année, c’est l’occasion pour les aficionados du monde entier de célébrer leur passion commune pour l’emblématique saga de science-fiction. Pour l’occasion, Disney met les petits plats dans les grands en vous réservant un programme étoilé : marathon, concert événement, série inédite, nouveaux produits… Voici 5 manières de participer aux festivités !

    Pour célébrer son 25ème anniversaire, le 1er épisode de l’incontournable épopée galactique revient au cinéma pour la toute première fois depuis sa sortie en 1999. Le 4 mai, le film de George Lucas sera projeté sur plus de 250 écrans à travers la France. L’occasion de voir ou revoir Star Wars : La Menace Fantôme dans des conditions exceptionnelles, et pourquoi pas de partager ce moment avec la plus jeune génération !

    Si (re)découvrir le 1er chapitre de la saga à succès en salle vous semble être une excellente idée, Disney vous propose d’aller encore plus loin… Alors que se tient ce mercredi 1er mai à Paris au Grand Rex un marathon des 9 films de l’épopée des Skywalker, d’autres sessions sont prévues le 4 mai dans plusieurs villes de France.

    Vous aussi, vivez l’expérience ultime entouré d’autres fans en réservant dans l’un des cinémas participants : le cinéma KINEPOLIS à Lomme, le CGR BLAGNAC à Toulouse, le CGR 2 LIONS à Tours, le PATHÉ BELLECOUR à Lyon, le PATHÉ PLAN-DE-CAMPAGNE à Marseille, le PATHÉ à Rennes, le cinéma UGC CINÉ CITÉ à Bordeaux et le cinéma UGC CINÉ CITÉ à Strasbourg.

    Elle a fait voyager les spectateurs jusque dans les confins d’une galaxie très lointaine : la musique de John Williams fait partie intégrante du succès de la saga Star Wars. Les 3 et 4 mai, le Sinfonia Pop Orchestra interprétera quelques-unes des mélodies les plus iconiques de cet univers si riche à l’occasion du concert événement May the 4th be with you, qui se tiendra les deux soirs dans la mythique salle du Grand Rex.

    Pour celles et ceux qui ne souhaitent pas quitter le confort de leur canapé, les festivités se dérouleront également en ligne avec la sortie de la nouvelle série Star Wars : Tales of the Empire le 4 mai en exclusivité sur la plateforme Disney+. Après Star Wars : Tales of the Jedi, ces 6 épisodes inédits s’intéressent aux parcours singuliers de deux guerriers vivant à des époques différentes au sein du redoutable Empire Galactique.

    Un très beau programme pour patienter jusqu’au lancement de Star Wars : The Acolyte, la nouvelle série Lucasfilm en prises de vues réelles, qui sera diffusée à partir du mercredi 5 juin sur Disney+ !

    Un autre anniversaire d’exception se tient cette année : celui des 25 ans de la collaboration entre Lucasfilm et le groupe LEGO®. À cette occasion, de nouveaux sets de la collection LEGO® Star Wars™ ont récemment été dévoilés pour le plus grand bonheur des passionnés, dont un set de construction édition spéciale honorant R2-D2™, personnage incontournable de la saga !

    Ce n’est pas tout, puisque la marque LEGO organise également cette année un Festival du film de 25 secondes, invitant les fans à recréer leurs meilleurs moments Star Wars à travers une vidéo mettant en scène leurs sets préférés. Les films sélectionnés, diffusés en avant-première à l’occasion du marathon Star Wars au Grand Rex, pourront être appréciés de tous à partir du 4 mai.

    Les plus jeunes pourront aussi participer aux festivités grâce à une journée spéciale dédiée à l’univers Star Wars sur la chaîne Disney Junior, qui débutera dès 8h30 le 4 mai avec la diffusion d’épisodes de la série d’animation Star Wars : Les Aventures des Petits Jedi.

    Les adeptes de jeux vidéo auront eux aussi de quoi se réjouir : le 3 mai, la saga Star Wars revient dans Fortnite avec de nouveaux contenus pour célébrer May The 4th Be With You. Une excellente nouvelle pour prendre son mal en patience en attendant la sortie du jeu vidéo Star Wars Outlaws, qui sera disponible sur PC, PS5 et Xbox Séries S/X dès le 30 août 2024.

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  • Aya Nakamura est « la plus grande artiste française de sa génération » pour Clémence Botino

    Une petite rumeur a enflammé les réseaux sociaux et embrase désormais le monde de la culture. Le 29 février dernier, le journal « L’Express » révélait qu’Aya Nakamura avait été vue à l’Élysée dix jours plus tôt et que cette réunion pouvait indiquer la volonté d’Emmanuel Macron de voir la chanteuse se produire lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris, le 26 juillet prochain, sur une chanson d’Édith Piaf.

    Il n’en fallait pas plus pour que la twittosphère (ou plus précisément, la fachosphère)s'emballe et qu'un torrent de haine s’abatte sur Aya Nakamura. Les internautes lui reprochant parfois son timbre musical, mais plus souvent ses origines maliennes. Un déferlement de racisme tel qu’il a poussé le comité d’organisation des JO à apporter son « total soutien à l’artiste française la plus écoutée dans le monde ».

    Depuis, Aya Nakamura a reçu le renfort de nombreux artistes, mais aussi d’Emmanuel Macron et de Rachida Dati, sans que personne ne vienne jamais confirmer ou infirmer la rumeur. Alors l’interprète de Djadja sera-t-elle sur la Seine le 26 juillet au soir ? Clémence Botino, Miss France 2020, dit mille fois « oui ».

    Interrogée par M6 en marge de la cérémonie des Flammes, Clémence Botino a affirmé que « l’annonce d’Aya Nakamura pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques est dingue ». « C’est un énorme pas de la part de la France et du gouvernement français. C’est montrer à tous les artistes caribéens ou afro-français que leur voix et leur travail sont reconnus », a-t-elle assuré. « Aya, c’est la plus grande artiste française de notre génération. Elle est connue à l’international et ça fait sens qu’elle soit aujourd’hui mise sous le feu des projecteurs. C’est parfaitement cohérent et ceux qui ne l’apprécient pas n’ont rien compris. »

    Questionnée sur le fait qu’Aya Nakamura représente bien la France, Clémence Botino a répondu du tac au tac par l’affirmative avant de développer sa pensée : « C’est quoi être français ? », a-t-elle lancé. « Moi, j’ai été Miss France et je suis guadeloupéenne. Alors, il y a certainement des gens qui ont dit que je ne représentais pas la France. Mais je peux vous dire que quand j’ai porté l’écharpe Miss France, que je suis allée dans des concours internationaux avec mon écharpe de la France, à aucun moment, j’ai ressenti que je n’avais 

    Clémence Botino poursuit : « Moi, je représente la France dans laquelle j’ai grandi. C’est mon identité et je suis française à ma manière. Donc Aya aussi, elle est française à sa manière. La France, c’est un pays de la diversité, il faut s’en rendre compte aujourd’hui. » Un beau message de tolérance qui mérite d’être entendu.pas ma place. »

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