X-Men : Le Commencement avait permis de découvrir à l'écran le personnage de Moira MacTaggert, incarné par l'actrice australienne Rose Byrne. Agent de la CIA et flirt de Charles Xavier, c'est aussi elle qui s'est tragiquement rendue responsable de la paralysie du professeur à la fin du film de Matthew Vaughn puisque c'est elle qui tirait le coup de pistolet dévié par Magneto dans la colonne vertébrale de Xavier.

Absente du précédent opus Days of Future Past, MacTaggert devrait bel et bien reprendre du service selon Entertainement Weekly, qui s'est entretenu avec le scénariste Simon Kinberg. Pour rappel, Apocalypse se déroulera dans les années 80, soit une vingtaine d'années après Le Commencement. MacTaggert, dont la mémoire a été partiellement effacée par le professeur Xavier, aura donc passé ces deux décennies sans garder aucun souvenir des mutants. Si le scénariste ne dévoile aucun élément concernant la manière sont son retour s'effectuera, il confirme néanmoins que le film de Bryan Singer explorera à nouveau sa relation avec le professeur X : "On a commencé à creuser cette relation très riche dans First Class, et nous aimerions l'approfondir encore davantage dans ce film".

Kinberg confirme également au passage qu'Apocalypse viendra refermer les intrigues de plusieurs personnages de l'univers X-Men : "Ce film va nous permettre de clore les premiers arcs de Charles (James McAvoy), Erik (Michael Fassbender), Raven (Jennifer Lawrence) et Hank (Nicholas Hoult), qui sont nos personnages principaux. Ce sont de jeunes acteurs et de jeunes personnages, et il y a encore tellement de chose à raconter encore avec eux. Mais la fin de ce film leur apparaîtra comma la conclusion de cette étape de leur vie".

Élément qui n'a pas non plus échappé aux fin observateurs, Kinberg est par ailleurs le scénariste du reboot des 4 Fantastiques de Josh Trank, également produit par la Fox, ce qui a très rapidement fait naître l'idée d'un cross-over entre les deux franchises. Interrogé à ce sujet, Kinberg assure qu'une telle éventualité n'est pas encore à l'heure actuelle envisagée, tout en laissant planer le doute : "Le reboot des 4 Fantastiques doit d'abord réussir de lui-même et pour lui-même. On a fait quelque chose de très radical avec le ton du film. Et si nous voulions trouver un moyen de les connecter aux X-Men, nous aurions pu. Il y a déjà eu tellement d'exemples dans les comics...".

X-Men : Apocalypse est encore en pré-production à Montréal et devrait sortir le 18 mai 2016. En attendant, Simon Kinberg sera au scénario du reboot des 4 Fantastiques, dont voici la bande-annonce :

La maison Cointreau vient de dévoiler sa nouvelle directrice artistique : Laetitia Casta saluant l'"esprit libre et affranchi" de la top model devenue actrice.

La nomination de deux ans de l'actrice de 36 ans à la tête de la direction artistique de la maison a été marquée par une prestigieuse fête au Musée de l'Orangerie il y a quelques jours lors de la Fashion Week parisienne. 
Décrivant les valeurs fondamentales de Cointreau communes à celles de Casta ("l'authenticité", "l'élégance" et "l'avant-gardisme"), la maison de spiritueux loue le partenariat créatif à venir avec Laetitia Casta et insiste "ce n'est pas juste une relation avec une célébrité et quelques photos, c'est beaucoup plus profond" rappelle le PDG de la marque.

Ainsi, pendant la durée dudit contrat, Laetitia Casta sera aux côtés de la marque de liqueur à l'orange pour lancer un programme d'activités qui verra le jour au Printemps 2015. L'objectif de Casta ? "Engager les femmes à oser être elle-même". Comment ? "En explorant leur propre créativité, en créant des expériences nouvelles, inattendues permettant de s'accomplir" nous décrit le communiqué de presse.

Laetitia Casta succède à la diva burlesque Dita Von Teese, figure emblématique et égérie historique de Cointreau.

En attendant de découvrir la collaboration entre l'alcoolier et l'actrice, retrouvez Laetitia Casta au cinéma le 17 juin prochain dans le film de Nassim Amaouche, Des Apaches au côté d'André Dussollier sur fond d'indépendance et de communauté kabyle en plein cœur de Belleville.

Le 29 janvier s'est tenue la quatrième cérémonie des AACTA Awards (Australian Academy of Cinema and Television Arts Awards), la principale cérémonie de récompenses du pays. Une cérémonie principalement dominée par le film d'horreur Mister Babadook de Jennifer Kent, reparti entre autres avec l'Award du meilleur film et du meilleur réalisateur. Au cours de la soirée, les téléspectateurs australiens ont eu la joie de voir l'un de leurs plus célèbres représentants, Russell Crowe, venir remettre une récompense.

Actuellement sur le tournage du film The Nice Guys de Shane Black à Los Angeles, c'est donc par duplex que Russell Crowe a accompli sa tâche. C'était sans compter sur son partenaire à l'écran, Ryan Gosling, qui a profité de l'occasion pour venir mettre son grain de sel. Les deux hommes se lancent alors dans un concours de piques trollesques, la palme revenant à l'aîné des deux : "Mesdames et messieurs, vous ne le reconnaissez peut-être pas vu qu'il porte des vêtements, Ryan Gosling".

Tout en autodérision, Gosling s'essaie laborieusement à l'accent australien tout en se moquant du mépris que peuvent avoir les Américains (au sens large, lui-même étant canadien) pour les Océaniens : "Je suis un Australien d'honneur, tu sais, j'ai vécu deux ans en Nouvelle-Zélande".

Une chose est sûre, on connaît pas mal d'Australiennes qui seraient ravies de l'adopter...

Pour rappel, le synopsis de The Nice Guys, dont la sortie est prévue pour le mois de juin 2016 : Dans les années 70, à Los Angeles, Holland March, détective privé en perte de vitesse, et Jackson Healy, tueur à gages, doivent faire équipe pour résoudre deux affaires criminelles sans lien apparent : retrouver une fille qui a disparu et éclaircir les circonstances de la mort d'une star du porno. Au cours de l'enquête, ils découvrent un complot stupéfiant qui met en cause des hommes d'influence au plus haut sommet du pouvoir…

En attendant le 11 février 2015, date de la sortie en salles du mommy porn movie - adaptation des romans érotiques extrêmement populaires d'E.L. James -, 50 Nuances de Grey, Jamie Dornan et Dakota Johnson sont revenus en détails et sans pudeur sur le tournage des tant attendues scènes sexuelles du film.
Posant pour la première fois ensemble, enlacés en couverture du prochain numéro de l'édition britannique Glamour, les deux amants ont détaillé la préparation de leurs rôles peu orthodoxes, le processus de passage à l'acte face caméra et les réactions de leurs familles.

Si certains craignent que le film ne soit pas à la hauteur des scènes hot du livre, Jamie Dornan, qui interprète le business man scabreux et fan de sadomasochisme Christian Grey, n'est pas de cet avis. Il admet même avoir du "faire des choses" qu'il n'aurait jamais imaginé faire un jour à une femme : "Il y avait des fois où Dakota ne portait pas grand chose et je devais lui faire des choses que je n’aurais jamais choisi de faire à une femme. Je me suis senti très protecteur et j’étais conscient que ce n'était probablement pas facile pour elle d'être dans une telle situation."

Mal à l'aise, sa costar, Dakoa Johnson l'a aussi été pendant le tournage de ces scènes dites osées : "C'est déjà assez stressant d’être attachée à un lit, nue, dans une scène. Mais en plus ils disent – coupez – et vous êtes toujours là, attachée au lit, nue. Jamie était le premier à mettre une couverture sur moi. Il a aussi beaucoup étudié le sujet pour être sûr que je sois le plus en sécurité possible, mais il y a eu quelques moments douloureux."

Et même si aucun d'eux n'a "honte" de ces scènes sans pudeur sur fond d'initiation sexuelle au sadomasochisme et autre tantrisme, ni l'acteur irlandais ni Dakota ne souhaitent que leurs familles et amis proches soient spectateurs du film : "Je n'encouragerai pas ma fille" explique Jamie Dornan alors que Dakota n'a jamais caché avoir interdit à sa mère, Melanie Griffith, de voir 50 Nuances de Grey.

En décernant son Grand Prix de la ville d'Angoulême à Katsuhiro Otomo, le jury du Festival de la bande dessinée a enfin reconnu la place prépondérante qu'a pris le manga dans la culture BD en France, réparant les injustices Osamu Tezuka et Akira Toriyama. Il a surtout consacré l'art d'un des mangakas les plus brillants et acclamés de sa génération, dont les œuvres ont aussi bien pris vie sur papier que sur grand écran. Celui dont le nom sera à jamais accolé à celui d'Akira, jalon de l'histoire des mangas et animes, a depuis près de trois décennies développé son imaginaire foisonnant au cinéma avec un succès indéniable.

Samy Naceri s'est une nouvelle fois indigné quant à la publication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. Interviewé aujourd'hui par France Dimanche, l'acteur a réitéré ses derniers propos et sa position à l'encontre les dessins satiriques : "Ces dessins ne doivent pas exister. C’est blasphématoire ! Je vous le répète, on ne touche pas aux religions".

En promotion de la nouvelle pièce de théâtre dont il est la vedette, L'Indien cherche le Bronx du dramaturge Israël Horowitz dans laquelle il dénonce le racisme et la peur de l'autre, l'acteur de 53 ans a été invité à s'exprimer à  nouveau à propos du massacre de Charlie Hebdo, des récents événements qui ont mis la France en émoi et de la dernière une du journal satirique.
"Pourquoi représenter Jésus-Christ ou Moïse dans des positions dégradantes et sales ? Je dis qu'on n'a pas le droit d'attaquer la religion. C'est blasphématoire ! D'accord, il y a la liberté d'expression en France, et tout le monde peut dire ce qu'il veut. Mais quand des vieux ou des enfants musulmans vont prier le vendredi et passent devant ces affiches, que se passe-t-il dans leurs têtes ?" s'agace l'acteur.

Rappelant qu'il ne cautionnait pas les attentats terroristes de janvier ("Je ne cautionne pas ces assassinats, je dis juste qu'on a tué dix-sept personnes à cause de quatre dessins qui n'auraient jamais dû exister. Et pourtant on remet le couvert quelques jours après !"), Samy Naceri tient néanmoins à prévenir la France : "C'est choquant, il faut arrêter, sinon un grand malheur arrivera".

Alors que son American Sniper est un carton absolu au box-office américain (plus de 250 millions de dollars en deux semaines) et qu'il s'apprête à débarquer sur nos écrans le 18 février, le grand Clint Eastwood s'offre la couverture de la nouvelle édition française du magazine Vanity Fair.

A travers un portrait très détaillé et une interview sans langue de bois, le mythique cinéaste aux multiples Oscars, notamment pour Impitoyable et Million Dollar Baby, se confie quant au cinéma et ses films, mais aussi à propos de la politique américaine et de la société en générale.

Si dans son dernier long métrage - l'histoire de Chris Kyle, un tireur d'élite américain incarné par Bradley Cooper qui a abattu plus de 150 hommes -, Clint Eastwood évoque le pire de la guerre, il précise cependant ne pas adhérer à la vision de son "héros" : "Mon point de vue sur la guerre n'est pas du tout celui de Chris Kyle. Lui pense qu'il a eu raison sur toute la ligne. Il refuse de s'excuser. Il pense que c'est juste d'aller là-bas et de se battre pour un pays qui, de toute façon, ne croit sans doute pas à la démocratie. Moi, je préfèrerais qu'on reste ici et qu'on essaie de s'améliorer, d'améliorer notre situation plutôt que d'intervenir chez les autres."

Ancien maire de Carmel, Clint Eastwood a toujours été présent en politique, même si après ses deux échecs à l'échelle nationale - il a soutenu John McCain en 2008 et Mitt Romney en 2012, tous les deux face à Barack Obama -, il a aujourd'hui pris du recul. Mais sait rester percutant : "Je n'ai jamais caché mes doutes quant à la capacité de Barack Obama à être un grand chef d’État. Il me semblait qu'il manquait d'expérience et je pense qu'on a vu que c'est le cas."

Loin de l'image de lui qui ressurgit aujourd'hui avec la lettre ouverte de Michael Moore l'accusant d'avoir menacé de le tuer, Clint Eastwood semble porter au contraire un regard bienveillant sur l'humanité et la société actuelle, affirmant qu'il n'aime pas les armes à feu, lui, le Républicain qui incarna Dirty Harry : "Notre Constitution protège la liberté de culte et celle de porter une arme. Pour ma part, je ne suis pas vraiment actif sur le plan religieux, même si je respecte ceux qui croient. Et je n'aime pas les armes, même si je comprends qu'on veuille en avoir une avec soi."

Avant de finir sur la passion qui l'anime depuis toujours, le cinéma, et son unique souhait avant de tirer sa révérence : "J'aimerais tourner un dernier film, un vieux film. Un film d'autrefois."

Retrouvez l'interview de Clint Eastwood en intégralité dans le magazine Vanity Fair, actuellement en kiosques.

C'est en 1996 que nous découvrions la charmante comédienne Rose McGowan. Elle avait alors 22 ans, s'époumonait dans un petit pull moulant et trop petit pour elle, et se faisait tuer, sa pulpeuse poitrine étant restée bloquée dans la chatière au moment où elle tentait de fuir le tueur de Scream. Une délicieuse vision qui s'imprima aussitôt dans l'inconscient collectif.

Depuis cette époque, l'actrice de 39 ans n'a cessé de nous séduire à travers ses rôles dans Boulevard de la Mort ou Planète Terreur, et à la télévision dans la série Charmed. Actuellement à Paris à l'occasion de la Fashion Week Haute-Couture, la jolie brune à la désormais coupe garçonne a couru les défilés et a débordé d'allure à chacune de ses sorties lors de cette Semaine de la Mode.

Hier, c'est pour la présentation de la nouvelle collection Zuhair Murad que la jeune femme était de sortie, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle a débordé d'allure pour l'un des derniers défilés de cette saison.
Arborant une magnifique combinaison immaculée au décolleté plongeant créé par le styliste, Rose a irradié cette présentation et n'a pas regretté d'avoir braver le froid et la pluie parisienne.

On l'avait quitté petit chanteur à la voix d'ange dans Les Choristes de Christophe Barratier, on le retrouve dix ans plus tard en chanteur electro et le moins qu'on puisse dire c'est que Jean-Baptiste Mauniera bien changé !

Dès le collège, Jean-Baptiste Maunier intègre la chorale des Petits Chanteurs de Saint-Marc. En 2004, il est a révélation du film Les Choristes mais un an plus tard, et malgré une voix d'ange, il quitte les bancs de sa chorale pour se consacrer au cinéma.
Malgré quelques petits rôles (Le Grand Meaulnes,  Hellphone , L'Auberge Rouge), la carrière cinématographique de Jean-Baptiste ne décolle pas.
Aussi, décide-t-il aujourd'hui de revenir à ses premières amours et signe son grand retour musical avec un single inattendu aux teintes pop-electro, Je Reviens.

Signé chez Mercury, Jean-Baptiste Maunier, 24 ans, s'émancipe avec un style bien différent de celui des Choristes et sur fond de style très années 80 sortira son premier opus au mois de juin prochain. Epaulé par Marc Lavoine, qui signe une de ses chansons, Jean-Baptiste Maunier est très investi dans son nouveau projet puisqu'en plus de chanter il produit également son album.

Découvrez le nouveau single de Jean-Baptiste Maunier, Je Reviens, ici.