La grand-messe des Oscars approche.

En attendant la plus prisée des cérémonies de récompenses cinématographiques, qui aura lieu le dimanche 22 février, les petits-déjeuners, déjeuners, dîners et soirées pré-Oscars se multiplient à Los Angeles.

Lundi, tous les nommés étaient invités à déjeuner par l'Académie dans l'enceinte de l'incontournable Beverly Hilton Hotel, avant de festoyer au Spago aux frais du magazine The Hollywood Reporter. La talentueuse et charismatique Patricia Arquette, nommée dans la catégorie Meilleure Actrice dans un Second Rôle grâce à son personnage de mère célibataire puis remariée dans le magnifique Boyhood, est revenue sur sa nomination, qu'elle n'osait même pas espérer.

Au micro d'un journaliste de People, la vedette de la série Medium a assuré qu'elle n'en revenait pas : "C'était tellement surréaliste... J'avais vraiment l'impression d'être dans un rêve étrange. Je ne sais pas comment que je vais me sentir aux Oscars, j'espère que je ne vais pas m'évanouir !"

L'actrice de 46 ans raconte qu'elle était au restaurant avec son compagnon Eric White quand elle a appris sa nomination : "Il était parti aux toilettes à ce moment-là. Alors j'ai attrapé un gamin à côté de moi et j'ai hurlé 'J'ai été nommée ! Aux Oscars ! Il m'a fixée et a répondu 'Non, c'est pas vrai !' alors je lui ai dit 'Je sais, je n'y crois pas non plus ! Googlons ça, vérifions ensemble !"

Quand Eric White est revenu à table, Patrica Arquette et le fameux gamin étaient en train de sauter et de crier dans le restaurant.

La bimbo révélée par son duo avec Christian Slater dans True Romance est particulièrement fière d'être dans la course aux Oscars grâce à Boyhood, un projet hors-normes filmé par Richard Linklater sur douze ans. "Nous nous sommes totalement investis dans ce travail et nous y avons cru. C'était tellement douloureux de finir ce tournage et de savoir qu'on ne travaillerait plus jamais dessus", révèle l'actrice.

Après de nombreux abandons de stars (Natalie Portman, Christian Bale, Leonardo DiCaprio...) qui ont reporté ses prises de vue, le film dédié à Steve Jobs de Danny Boyle (Trainspotting, 127 Heures) écrit par Aaron Sorkin (The Social Network) est enfin en tournage. Quelques jours après l'annonce du casting officiel, Splash dévoile déjà une première image du plateau, où l'on voit Michael Fassbender et Seth Rogen dans les costumes respectifs de Steve Jobs et de Steve Wozniak, les deux fondateurs d'Apple. On peut situer la séquence au début du film, puisque l'acteur de Shame et X-Menporte un costume qui rappelle fortement celui-ci, porté par Steve Jobs en 1984.

On sait que cette adaptation sera construite autour de trois discours mémorables de Steve Jobs, qui ont marqué l'histoire d'Apple :  "Se déroulant backstage lors du lancement de trois produits iconiques et se terminant en 1998 avec le dévoilement de l'iMac, le film nous emmène dans les coulisses de la révolution numérique et peint un portrait intime du brillant homme à son épicentre". Selon son scénariste, Steve Jobs est un projet particulièrement ambitieux, qui demande à ses acteurs principaux d'apprendre par coeur énormément de dialogues. On ne sait pas encore quand on pourra découvrir le résultat sur grand écran.

Hier soir, dans la prestigieuse enceinte du Graumann's Chinese Theatre de Los Angeles, s'est tenue la grande avant-première californienne de Jupiter, le destin de l'univers, le nouveau film des Wachowski, cinéastes visionnaires à qui l'on doit notamment Bound, la trilogie Matrix, Speed Racer, ou encore Cloud Atlas (voir les scènes les plus dingues de leur filmographie).

A cette occasion, tout le prestigieux casting de ce nouveau film de science-fiction était présent aux côtés des deux réalisateurs, et l'on a notamment pu croiser Sean Bean, Mila Kunis et Eddie Redmayne, alors que la star du film - Channing Tatum - n'a pas décollé sa séduisante épouse, l'actrice Jenna Dewan.

L'acteur que nous retrouverons également bientôt dans Magic Mike XXL et Hail, Caesar s'impose sans conteste comme l'un des acteurs les plus chauds du moment et il est de tous les plus gros projets des studios.
A ses côtés, sa sublime femme, qui a donné naissance à une charmante fillette qui fêtera ses 2 ans en mai, a irradié cette avant-première hollywoodienne dans une robe orange élégante et moulante, soulignant sa magnifique silhouette.

La grand-messe des Oscars approche.

En attendant la plus prisée des cérémonies de récompenses cinématographiques, qui aura lieu le dimanche 22 février, tous les nommés étaient invités à déjeuner par l'Académie.

Dans l'enceinte de l'incontournable Beverly Hilton Hotel, acteurs et réalisateurs en course pour une statuette dorée ont fait crépiter les flashes des photographes. Parmi tout le gratin du cinéma US, une Française brillait : Marion Cotillard, alias la Frenchie préférée d'Hollywood.

L'actrice de 39 ans, qui brigue un nouvel Oscar de la Meilleure Actrice grâce au drame belge des frères Dardenne Deux Jours, une Nuit, représentait comme toujours la maison Dior dont elle est l'égérie. Très court-vêtue, la star d'Inception exhibait ses jambes et accrochait le regard grâce à sa mini-robe agrémentée d'un empiècement vert gazon presque fluo.

Hier soir, dans la prestigieuse enceinte du Graumann's Chinese Theatre de Los Angeles, s'est tenue la grande avant-première californienne de Jupiter, le destin de l'univers, le nouveau film des Wachowski, cinéastes visionnaires à qui l'on doit notamment Bound, la trilogie Matrix, Speed Racer, ou encore Cloud Atlas (voir les scènes les plus dingues de leur filmographie).

A cette occasion, tout le prestigieux casting de ce nouveau film de science-fiction était présent aux côtés des deux réalisateurs, et l'on a notamment pu croiser Channing Tatum, Sean Bean et Eddie Redmayne, alors que la sublime Mila Kunis, 31 ans, a particulièrement brillé lors de cet événement glamour.

Dans une robe-bustier noire soulignant sa superbe silhouette retrouvée, la jeune maman (elle a donné naissance à la petite Wyatt, eue avec Ashton Kutcher, en octobre) a irradié cette soirée hollywoodienne de toute sa beauté et de toute sa grâce, s'imposant sans conteste comme l'une des attractions les plus sexy de cette soirée qui ne manquait pourtant pas de charmantes créatures.

La grand-messe des Oscars approche.

En attendant la plus prisée des cérémonies de récompenses cinématographiques, qui aura lieu le dimanche 22 février, tous les nommés étaient invités à déjeuner par l'Académie.

Dans l'enceinte de l'incontournable Beverly Hilton Hotel, acteurs et réalisateurs en course pour une statuette dorée ont fait crépiter les flashes des photographes. Un duo semblait particulièrement à l'aise dans l'antichambre des Oscars : Clint Eastwood et Bradley Cooper.

Le cinéaste de 84 ans a dirigé l'acteur de 40 ans dans son dernier film, American Sniper, qui fait un carton au box-office américain mais qui ne sortira en France que le 18 février prochain. Nommé aux Oscars dans les catégories Meilleur Film, Meilleur acteur (Bradley Cooper), Meilleur montage, Meilleur son (montage), Meilleur son (mixage) et Meilleur scénario adapté, le film de guerre devrait repartir avec quelques statuettes. C'est en tout cas ce que semblent penser Clint et Bradley, qui étaient totalement détendus au déjeuner des Oscars. Blagueurs et complices, le réalisateur et l'interprète du tireur d'élite le plus meurtrier de l'histoire des États-Unis ont amusé la galerie.

En compétition officielle à Berlin, le prochain film de Benoît Jacquot sera une adaptation libre d'un roman subversif écrit par Octave Mirbeau. Paru en 1900, Le Journal d'une femme de chambre est un vaudeville dramatique mais surtout un pamphlet politique qui démasque l'hypocrisie bourgeoise à travers le regard d'une femme de chambre exploitée, Célestine.

C'est Léa Seydoux qui incarnera cette héroïne fin de siècle alors qu'on la découvre en costume sur cette affiche du film, sobre et mystérieuse. Elle dissimule son visage et adopte une posture humble, soumise mais peut être aussi rusée et machiavélique. Le mystère reste entier. La typo qu'on croirait tracée à l'encre, qui fait référence au journal du titre, évoque étrangement celle de La Vie d'Adèle, avec lequel le film de Jacquot partage une actrice, mais aussi le principe du récit intime.

Le film est attendu pour le 1^er avril et aucun trailer n'a encore été dévoilé, mais on peut avancer qu'il sera plus austère que la version légère et drôle qu'avait réalisée Jean Renoir en 1946. A l'époque, le cinéaste s'était intéressé au côté séducteur de Célestine et aux secrets qui entouraient la famille pour laquelle elle travaillait dans un climat politique étrange. On retrouve bien cet état d'esprit sur le poster d'époque, très vaudevillesque.

Dimanche soir se déroulait la mythique finale du Super Bowl. Pendant douze minutes, Katy Perry a enflammé la traditionnelle et très attendue quarante-neuvième mi-temps du match de football américain, avec ses plus grands succès dont "I Kissed a Girl", "Roar" et "Fireworks".

La chanteuse californienne, qui s'est produite en compagnie de Lenny Kravitz et de Missy Elliot vêtue de quatre tenues sexy et funky différentes, succède à des stars comme Beyonce, Madonna, The Who, Bruce Springsteen, Prince, The Rolling Stones, Paul McCartney, Sting ou encore Michael Jackson.

Pour fêter son entrée dans le club select des performers choisis par la NFL, Katy Perry - dont le show a été vu par 65 000 spectateurs dans le stade et 115 millions devant leur téléviseur - a décidé de se faire tatouer. Sur son compte Instagram, la bombe de 30 ans a dévoilé le lettrage romain XLIX sur sa phalange, en référence à la quarante-neuvième édition du Super Bowl.

Ce n'est pas le premier tatouage de la chanteuse au look excentrique, dont la superbe silhouette est parsemée de petits motifs souvent girly. Katy Perry possède notamment un tattoo d'Hello Kitty sur un autre doigt, le nom Jesus et une fleur de lotus sur les poignets, une inscription en sanskrit à l'intérieur du bras ainsi qu'une fraise et un smiley régressifs qui se font face à l'intérieur de ses chevilles.