Le 27ème Festival du film britannique de Dinard commence demain, et se déroule du 28 septembre au 2 octobre. Le jury du Festival, présidé par Claude Lelouch, comporte les acteurs James d'Arcy, Florence Thomassin, Phil Davis, Anne Parillaud, Victoria Bedos, Julie Ferrier, Jalil Lespert, Phil Davis, plus les producteurs Eric Lagesse (boss de Pyramide Films) et Colin Vaines.

En compétition, on pourra voir : Away de David Blair avec Timothy Spall et Juno Temple (l'maitié entre une vieil homme et une jeune fille), Funny Chubby de et avec Harry Michell (les déboires d'un apprenti comique à Londres), Moon Dogs de Philip John (road trip de jeunes musiciens écossais), Prevenge d'Alice Lowe avec Jo Hartley (le fœtus d'une femme enceinte lui intime de tuer) ; le très attendu Sing Street de John Carney (comédie musicale à Dublin dans les années 80) ; et enfin This Beautiful Fantastic de Simon Aboud et Christine Alderson avec Jessica Brown Findlay en jeune femme phobique de la nature qui est obligée de débroussailler son jardin.

Le film d'ouverture sera Whisky Galore de Gillies Mackinnon (un bateau rempli de whisky s'échoue sur une île des Hébrides pendant la Seconde guerre mondiale). En clôture, on verra Finding Altamira de Hugh Hudson avec Antonio Banderas en archéologue parti explorer le site d'Altamira en 1879. Et côté séances spéciales, on note Bridget Jones Baby avec Renée Zellweger et Colin Firth, Moi, Daniel Blake, la Palme d'or de Ken Loach (plus le documentaire Versus sur Loach), War On Everyone de John Michael McDonagh avec Michael Peña et Alexander Skarsgård en films cokés et ripoux... Sans oublier des hommages aux comédies Kate Dickie (The Witch, Game of Thrones) et Gary Lewis (Billy Elliott), des masterclass sur Lelouch ou le décorateur Ken Adam (Docteur Folamour, James Bond)... Bref, la vision la plus large et la plus complète possible du cinéma britannique passé, présent et à venir.

Toutes les infos sur le site officiel du Festival.

Lupita Nyong'o rappe par peoplenews

Pour fêter ses 3 millions d'abonnés sur Instagram, Lupita Nyong'o a balancé un rap.

L'actrice oscarisée pour 12 Years a Slave nous avait caché ce talent. Sur un beat cool, la comédienne de 33 ans actuellement en promo du biopic Queen of Katwe présente son alter ego Troublemaker ("fauteuse de troubles" en VF). "Née au Mexique, le Kenya dans les veines. Chocolat noir et je garde une crinière bien taillée", balance l'actrice en désignant son afro iconique.

Lupita Nyong'o cite son contrat d'égérie Lancôme, son statut de Disney Star (Star Wars : Le Réveil de la Force, Le Livre de la Jungle) et même son engagement dans une association pour la protection des éléphants.

Le divorce d’Angelina Jolie et Brad Pitt a fait couler beaucoup d’encre tant leur couple était mythique. Depuis, les réactions s’enchaînent notamment après que les accusations de violences dont Brad Pitt fait l’objet. Alors que l’entourage du couple s’est exprimé à maintes reprises sur les différentes raisons qui auraient poussé Angelina Jolie à remplir les papiers du divorce, les explications fournies ne convainquent pas. A tel point que Marion Cotillard, accusée d’être à l’origine de ce divorce, a dû mettre les choses au clair sur Instagram. Alors que la compagne de Guillaume Canet ne s’exprime que très peu et ne réagit jamais aux rumeurs la concernant, celle qui attend son deuxième bébé a rapidement démenti l’information. Une mise au point appuyée par celle de Guillaume Canet qui a également pris la parole sur le sujet sur Instagram. Pourtant, les proches d’Angelina Jolie et Brad Pitt n’ont jamais affirmé que Marion Cotillard était la cause de ce divorce. Bien au contraire… Selon l’entourage du couple, les problèmes d’alcool et de drogue de Brad Pitt ont motivé Angelina Jolie à prendre cette décision.

Alors que le divorce d’Angelina Jolie et Brad Pitt fait beaucoup parler à travers le monde, une starlette de télé-réalité vient de faire une révélation surprenante. Il s’agit de Khloé Kardashian qui, sur son site personnel, a avoué avoir un petit faible pour l’acteur ! En revanche, la sœur de Kim Kardashian admet qu’elle trouvait Brad Pitt beaucoup plus sexy avant. "Il était beau dans les années 90 et aujourd’hui, mais je le préfère plus jeune. Je l’adore dans 'Rencontre avec Joe Black', mais je ne le trouve pas super beau quand il était super jeune, comme dans Thelma & Louise", a-t-elle écrit. Pas sûr que son petit-ami appréciera...

Est-ce parce qu'elle a peur de perdre la garde de ses enfants ? Ou simple­ment car elle voit sa famille se déli­ter depuis l'annonce du divorce ? Ange­lina Jolie serait "en pleine agonie" selon une source du maga­zine People, à cause de "sa famille brisée". L'actrice suppor­te­rait mal la sépa­ra­tion qu'elle a elle-même récla­mée, mais ne le montre­rait appa­rem­ment pas à ses enfants. « Elle se concentre sur la santé et le bien-être émotion­nel des enfants », explique la source de People. Brad Pitt comme Ange­lina Jolie ont tous les deux assuré que leur tribu de six bambins était en effet une prio­rité dans ce divorce, même s'ils pour­raient aussi en être la cause.

En effet, main­te­nant que l'orage de l'annonce de la sépa­ra­tion est passé, les langues se délient. Et il se murmure que le petit Maddox pour­rait être le cata­ly­seur ayant poussé ses parents à divor­cer. Ange­lina Jolie ne suppor­te­rait pas la façon dont Brad Pitt entend élever leurs enfants – sans comp­ter le fait qu'il aurait même été violent avec eux, à cause de sa consom­ma­tion parfois exces­sive d'alcool.

L’ac­­teur de 41 ans est soupçonné d’avoir touché des dizaines – voire des centaines – de milliers de dollars détour­­nés du fonds souve­­rain malai­­sien, 1MDB. De l’“argent sale”, donc, selon ses détrac­­teurs, qui aurait été soutiré au peuple malai­­sien, puis blan­­chi, par des inter­­­mé­­diaires mal inten­­tion­­nés. Si DiCa­­prio n’est pas encore tenu respon­sable du scan­dale, il a déjà été inter­­­rogé par le FBI, et pour­­rait être amené à rembour­­ser certaines sommes.

Fin Août, Leonardo DiCa­prio s’était déjà fait discret au moment de l’écla­te­ment de l'affaire. Alors qu’il devait orga­ni­ser une levée de fonds pour la campagne d’Hillary Clin­ton, il avait fina­le­ment demandé au dernier moment à ses amis Justin Timber­lake et Jessica Biel de le rempla­cer, offi­ciel­le­ment pour cause d’obli­ga­tions profes­sion­nelles le rete­nant à New York.

La vente de sa villa de Malibu, qu’il louait jusqu’ici à envi­ron 50 000 dollars par mois selon le Los Angeles Times, laisse penser que l’ac­teur se prépare à mettre de côté quelques dizaines de millions d’eu­ros. La villa est en effet en vente pour 11 millions de dollars, soit 9,8 millions d’eu­ros. Une somme confor­table pour assu­rer son avenir si la justice déci­dait de l’avoir dans son colli­ma­teur.

Actuel­le­ment mis en examen pour “corrup­tion de mineurs aggra­vée“, Jean-Marc Moran­dini se voit peu à peu éjecté des nombreux médias où il offi­ciait ou était censé offi­cier prochai­ne­ment. 

Ce lundi 26 septembre, la direc­tion de la chaîne NRJ12 a indiqué à nos confrères du Pari­sien que l’ani­ma­teur de 51 ans ne serait désor­mais plus visible à l'écran. Cela ayant pour consé­quence un remon­tage inté­gral des émis­sions Crimes dont Jean-Marc Moran­dini restera pour les numé­ros tour­nés, la voix off et le produc­teur.

Rebe­lote dans la même jour­née, une autre évic­tion vient de lui être signi­fiée. En effet, d'après nos confrères du site LesJours.fr, le jour­na­liste et produc­teur n'arri­vera pas non plus sur itélé. “A la suite de la mise en examen de Jean-Marc Moran­dini et compte tenu de la gravité des faits qui lui sont repro­chés, (…) la ques­tion de l'arri­vée de Jean-Marc Moran­dini sur iTélé ne se pose plus, sauf contre-ordre“, explique le site.  

Cette déci­sion inter­vient alors que l'ex-anima­teur du Grand Direct sur Europe 1 a été mis en examen vendredi  23 septembre pour “corrup­tion aggra­vée de mineur“ dans deux affaires d'échanges de SMS et de séance photo à son domi­cile.

L'autre affaire, celle des castings pour sa web-série Les Faucons et les plaintes pour harcè­le­ment sexuel et travail dissi­mulé, est toujours en cours et pour­rait donner lieu prochai­ne­ment à une nouvelle garde à vue de l'anima­teur.

Elle s'appelle April Florio. Connais­sance de George Cloo­ney, elle avait raconté à US Weekly qu'en 2003, sur une plage grecque, Brad Pitt avait essayé de l'embras­ser. A l'époque, Brad était marié avec Jenni­fer Anis­ton, et elle l'avait écon­duit.

Tandis que l'acteur traverse une période orageuse depuis l'annonce de son divorce avec Ange­lina Jolie, April Florio (à droite sur la photo) sort du bois. Dans une autre inter­view accordé au même Mirror, elle met les choses au point, revient sur ses propos : non, elle n'a jamais été la maîtresse de Brad Pitt et elle est étran­gère à cette récente rupture qui, par ailleurs, l'attriste au plus haut point. En même temps, le Mirror n'était pas obligé de lui deman­der son avis…

Autre reve­nante, la chan­teuse Sinitta Renay Malone (à gauche sur la photo). Compagne de Brad Pitt dans les années 80, elle aussi a tenu à faire savoir qu'elle était étran­gère au divorce. Au Sun, elle a déclaré : « Je n'ai rien à voir là-dedans, je ne lui en ai même pas parlé. » C'est dit.

Qui d'autre de ses ex n'a rien à dire sur le sujet ? La comé­dienne Juliette Lewis, la chan­teuse Robin Givens, Shalane McCall de la série Dallas, le mannequin polo­nais Jitka Polho­dek, l'actrice anglaise Claire Forlani ? Et pourquoi pas Gwyneth Paltrow et Jenni­fer Anis­ton, pendant qu'on y est… Bref, Brad Pitt n'a pas fini d'en voir des vertes et des pas mûres.

Clara Morgane et Enora Mala­gré ne parti­ront pas en vacances ensemble. Les deux femmes ne semblent pas s’ap­pré­cier si l’on en croit l’échange qu’elles ont eu par médias inter­po­sés. Tout a commencé vendredi, dans l’émis­sion Touche pas à mon poste, lorsque l’équipe de chro­niqueurs a donné son avis sur le dernier calen­drier sexy de l’an­cienne actrice porno.

Enora Mala­gré n’a visi­ble­ment pas aimé la dernière édition dont Clara Morgane assure actuel­le­ment la promo­tion. «Elle fait encore une fois du cul-cul» s’est empor­tée la chro­niqueuse de TPMP qui a ensuite ajouté, pleine d’iro­nie: «Elle a raison, qu’est-ce que tu veux qu’elle fasse d’autre?». Puis Enora Mala­gré a conclu d’une dernière perfi­die: «Elle est meilleure actrice que chan­teuse si je puis me permettre».

Si elle n’était devant sa télé­vi­sion vendredi, Clara Morgane a eu vent des gentillesses pronon­cées par la complice de Cyril Hanouna. En faisant quelques recherches sur le net, elle a décou­vert que vendredi soir, l’émis­sion Touche pas à mon poste a réalisé l’une de ses plus mauvaises audiences depuis long­temps, avec seule­ment 759 000 télé­spec­ta­teurs et 3,8% de parts de marché. Il n’en a pas fallu davan­tage à la toute jeune maman pour saisir son télé­phone et envoyé un message bien senti sur Twit­ter pour répondre à sa nouvelle enne­mie. «Et oui Enora Mala­gré ; la malveillance et la méchan­ceté n’ont jamais payé…» a-t-elle écrit, suivi du hash­tag «la plus mauvaise perfor­mance de la rentrée». Reste désor­mais à savoir si Enora Mala­gré lui répon­dra ce soir dans Touche pas à mon poste ou si elle enter­rera le dossier.

Tran­spor­tée, boule­ver­sée, attaquée. Du tour­billon amou­reux qui s’est emparé d’elle ces derniers mois, Coeur de Pirate n’est pas ressor­tie tout à fait indemne. Ne pouvant plus garder le secret, l’in­ter­prète de Comme des enfants a fait, en juin dernier, son coming-out “pour ne plus vivre dans la peur” et elle annonçait dans la foulée s’être sépa­rée de son mari Alex Peyrat, le père de sa fille Romy. Une fois libé­rée au sujet de sa sexua­lité qu’elle estime “queer” Coeur de Pirate a offi­cia­lisé son idylle avec la chan­teuse trans­genre Laura Jane Grace. Mais la belle histoire entre les deux artistes n’aura duré qu’un temps et, à la fin de l’été, la jolie blonde annonçait être “seule à nouveau”.

Si cette période fut pleine de hauts et de bas pour Coeur de Pirate, un homme a su l’épau­ler et la soute­nir alors même qu’il était lui aussi pris dans ce tour­billon. En effet, Alex Peyrat, le mari de la chan­teuse et père de sa fille, Romy, a accepté la sépa­ra­tion deman­dée par sa compagne mais il ne l’a pas aban­donné pour autant. Et fina­le­ment, depuis qu’il ne vivent plus offi­ciel­le­ment ensemble, les ex-amou­reux semblent avoir retrouvé leur compli­cité d’an­tan. Pour le bien de leur fille avant tout, Beatrice Martin (de son vrai nom) et le tatoueur gardent des liens très serrés.

À l’oc­ca­sion de sa tour­née aux États-Unis, Coeur de Pirate a ainsi pu comp­ter sur le soutien d’Alex Peyrat et de leur adorable Romy. La Cana­dienne a posté sur son compte Insta­gram plusieurs photos de son ex-époux qui tient toujours une place très impor­tante dans son coeur. Le Français ne cache pas non plus son admi­ra­tion et son affec­tion pour celle qu’il a épou­sée un beau jour de juillet 2012. Jeudi dernier, quand Coeur de Pirate a fêté son anni­ver­saire sur scène, Alex Peyrat semblait très ému de vivre ce moment depuis les coulisses en compa­gnie de Romy. L’ado­rable fillette est, elle, allée embrasser sa mère, à qui elle ressemble tant, sous le regard complice de son papa. Un joli portrait de famille que composent à leur manière les deux artistes et parents respon­sables.

Le film avait élec­trisé le dernier festi­val de Cannes et emballé les spec­ta­teurs qui avaient eu le bonheur de le décou­vrir en avant-première. Elle de Paul Verhoe­ven était reparti bredouille de la Croi­sette, mais il vient de décro­cher une chance supplé­men­taire de rece­voir un prix puisqu’il a été dési­gné pour repré­sen­ter la France aux prochains Oscars dans la caté­go­rie Meilleur film étran­ger.

Le Centre Natio­nal du Cinéma et de l’image animée (CNC) vient en effet de choi­sir ce polar sulfu­reux plutôt que Frantz, Les inno­centes ou encore Cézanne et moi. C’est une commis­sion compo­sée de Thierry Frémaux, Sandrine Bonnaire, Léa Seydoux, Jean-Paul Salomé, Eric Tolé­dano, Terasa Cremisi et Alain Terzian qui a fait ce choix plutôt éton­nant. La cote de Paul Verhoe­ven n’est pas au plus haut aux Etats-Unis et puis Elle, adapté d’un roman de Philippe Djian, est plutôt dérangeant.

Choisi par la France, le film n’est pas pour autant assuré de figu­rer dans la liste des films nommés lors de la céré­mo­nie des Oscars le 26 février prochain. Plusieurs pays sont encore en course, le Canada avec Juste la fin du monde, l’Al­le­magne avec Toni Erdmann, la Suisse avec Ma vie de cour­gette, et il n’en restera que cinq pour prétendre à la précieuse statuette. Le choix sera connu entre décembre et janvier prochain.