• Brad Pitt et Ange­lina Jolie ont trouvé un accord à l'amiable tempo­raire

    La guerre des avocats n’aura fina­le­ment peut-être pas lieu. Alors que Lance Spie­gel, conseil de Brad Pitt, et Laura Wasser, repré­sen­tante d’An­ge­lina Jolie, four­bis­saient déjà leurs armes, les deux acteurs viennent de signer un accord à l’amiable tempo­raire. Jusqu’au 20 octobre, date à laquelle les termes de l’ac­cord seront revi­si­tés, Ange­lina aura ainsi la garde des six enfants du couple, mais Brad pourra leur rendre visite, en atten­dant mieux. A certaines condi­tions…

    Pour la première visite, Brad devra être accom­pa­gné d’un obser­va­teur des services fami­liaux, qui décrè­tera si les prochains rendez-vous néces­sitent encore sa présence. Accusé par la partie adverse de consom­mer drogues et alcool, l’ac­teur devra par ailleurs se soumettre à des contrôles inopi­nés. Un premier test n’a relevé aucune trace suspecte dans son sang. Le futur ex-époux a donné son accord pour rester sous surveillance.

    Enfin, les parents de Maddox, Pax, Sahara, Shiloh, Knox et Vivienne se sont enga­gés à enta­mer une théra­pie fami­liale. Le but de tout ceci: préser­ver les enfants, mais aussi parve­nir à une sépa­ra­tion rapide et discrète qui n’en­tache pas davan­tage la répu­ta­tion des deux acteurs accu­sés pour l’une de priver ses enfants de leur père, pour l’autre d’être une menace pour sa progé­ni­ture.

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  • Arielle Dombasle nue pour la campagne de la PETA

    Végé­ta­rienne depuis l’âge de 20 ans (le secret certai­ne­ment de sa taille de guêpe), l’épouse de Bernard-Henry Lévy vient de poser en tenue d’Eve pour l’as­so­cia­tion PeTA (Pour une Ethique dans le Trai­te­ment des Animaux). Cette photo rappe­lant sous certains aspects celle qu'elle avait faite avec le duo d'artistes Pierre et Gilles en 2002. “Il n'y a pas de fruit défendu, deve­nez végé­ta­rien“, proclame la nouvelle affiche de la PeTA, propo­sant une Arielle Dombasle prête à croquer dans la pomme et non dans dans une viande saignante.

    L’ico­nique actrice et chan­teuse de 63 ans explique dans une vidéo postée sur la chaîne YoutubePetaF­rance : “Pour la plupart des gens, manger de la viande est quelque chose d'abstrait. Or, élever un animal, le tuer, le vider, le sacri­fier pour le manger, ça n'a aucune raison d'être, c'est abso­lu­ment barbare. Deve­nir végé­ta­rien est la meilleure chose qui puisse vous arri­ver.“

    La vidéo est entre­cou­pée de scènes filmées dans des abat­toirs qui ont récem­ment provoqué de nouvelles mani­fes­ta­tions ravi­vant le débat sur la mise en place de camé­ras de vidéo­sur­veillance dans les abat­toirs. (atten­tion, âmes sensibles d’abs­te­nir).

    La nouvelle icône de l’as­so­cia­tion mondiale y cite l’aca­dé­mi­cienne Margue­rite Your­ce­nar pour expliquer son inca­pa­cité à manger de la viande : “Je ne digère pas les agonies“.

    Elle rejoint ainsi une liste de plus en plus longue de person­na­li­tés, comme Kim Basin­ger, Paul McCart­ney, Pamela Ander­son, Joaquin Phoe­nix, Tom Hardy et bien d'autres, qui se sont alliées aux affi­liées de PETA, dont la devise dit en partie que “les animaux ne nous appar­tiennent pas et ne sont pas fait pour que nous les mangions“.

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  • Cons­tance Jablonski, nue pour Lui

    Elle devient incon­tour­nable. La belle Cons­tance Jablonski, 25 ans, origi­naire de Lille, se dévoile cette semaine en couver­ture du maga­zine Lui. Après avoir fait tour­ner la tête des plus grands créa­teurs (Dolce Gabbana, Hermès, Paul Smith etc.) et s’être expo­sée en une de Vogue, de Vanity Fair ou de Harper’s Bazaar, le top model revient à la conquête du public français.

    Crinière blonde, regard trans­lu­cide, peau hâlée, abdos saillants et poitrine géné­reuse : le mannequin Victo­ria’s Secret exhibe fière­ment ses innom­brables atouts sur papier glacé.

    Sur la photo de une, son corps de liane d’1m80 est négli­gem­ment adossé contre la carros­se­rie d’une voiture, topless, presque entiè­re­ment dénudé. Mais c’est dans les pages inté­rieures que Cons­tance Jablonski s’ex­hibe en inté­gra­lité. Sur un autre des clichés du célèbre photo­graphe David Belle­mere, la belle n’est vêtue que… d’une paire de baskets blanches.

    Un shoo­ting torride qui devrait enchan­ter les lecteurs de Lui, et révé­ler au grand public la beauté natu­relle et sauvage de la jeune femme. Cons­tance Jablonski, elle, espère un jour se recon­ver­tir dans le design. En atten­dant, elle conti­nue de bala­der sa silhouette athlé­tique sur les podiums… et de faire rêver à chacune de ses appa­ri­tions.

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  • Ales­san­dra Sublet, adorable sur son permis de conduire

    Il y a quelques semaines, Ales­san­dra Sublet a fait sa rentrée sur Europe 1 et a pris les commandes d’une nouvelle émis­sion bapti­sée La cour des grands. Ce jeudi 29 septembre, l’ani­ma­trice et son équipe de chro­niqueurs ont débattu sur l’inter­dic­tion de sourire sur les photos de nos papiers d’iden­tité. La belle brune a alors eu l’ex­cel­lente idée de publier les photos des permis de conduire de toute l’équipe sur les réseaux sociaux. Les audi­teurs ont ensuite été invi­tés à se rendre sur la page Face­book et le compte Twit­ter de l'émis­sion et ont décou­vert avec surprise le visage d’Ales­san­dra Sublet jeune: "Collec­­tor : voici la photo d’Ales­­san­­dra Sublet sur son permis de conduire !", peut-on lire en légende. 

    À l’in­verse du commun des mortels, Ales­san­dra Sublet a de quoi être fière de la photo de son permis de conduire et pour cause, la jeune femme y est tout simple­ment canon. À l’époque, la jour­na­liste avait de beaux cheveux longs et avait déjà beau­coup de charme. En décou­vrant ce cliché, les inter­nautes n’ont pas manqué de la compli­men­ter et certains d’entre eux lui ont même trouvé des airs de ressem­blance avec la chan­teuse Louane. Quoiqu'il en soit, le visage d'Ales­san­dra Sublet n'a pas beau­coup changé depuis une ving­taine d'années. Au contraire, la belle brune ne fait que s'embel­lir avec l'âge.

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  • Char­lotte Gains­bourg confie sa diffi­culté à vivre loin d'Yvan Attal à New York

    Cette semaine, Char­lotte Gains­bourg s’est confiée sur son exil au maga­zine Elle. Si la fille de Gains­barre et de Jane Birkin a quitté l’Hexa­gone par néces­sité, sa famille a vécu cet éloi­gne­ment comme « un écla­te­ment ». En arri­vant à New York, l’actrice a rapi­de­ment pris goût à sa nouvelle vie et a décou­vert  "ce que c’est de n’être la fille de personne« :  »Ici je me sens moi-même. A Paris, je ne savais plus qui j’étais ». Installé dans le quar­tier très prisé de Tribeca, la belle brune mène désormais un quoti­dien "très simple, centré sur la famille et l’école«  et ce, malgré l’ab­sence de son mari :  »Comme Yvan fait beau­coup d’al­lers-retours je suis souvent seule avec les enfants".

    Côté profes­sion­nel, Char­lotte Gains­bourg a revu l’ordre de ses prio­ri­tés : « C'est devenu un peu compliqué de tour­ner. J'ai une fille de 13 ans qui ne peut pas rater l'école comme ça. Pour peu qu'Yvan soit occupé à Paris, ça devient très diffi­cile à gérer. En même temps, ça tombe bien, parce que mes prio­ri­tés sont en train de chan­ger. J'ai eu une certaine bouli­mie de tour­nages à une époque, mais j'en ai moins envie en ce moment. » Profi­tant de son temps libre, Char­lotte a alors conçu un cinquième album, qui sortira dans les mois à venir et s’est égale­ment essayée à la mode en colla­bo­rant avec Gérard Darel.

    Epanouie, Char­lotte Gains­bourg profite plei­ne­ment de sa nouvelle vie aux Etats-Unis, mais n’est pas tentée par la vie mondaine new-yorkaise pour autant et supporte très bien la soli­tude : « Je crois qu’il n’est pas dans ma nature d’être festive. Je ne suis pas quelqu’un de facile. Je ne pense pas être très ouverte, je ne parle pas aisé­ment. Je ne peux pas dire que j’en souffre ».

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  • Kate Moss à Paris : sa tenue en hommage à Elvis Presley

    Que serait la Fashion Week sans la présence de Kate Moss ? Comme chaque année, celle que l’on surnomme « la Brin­dille » a quitté sa Grande-Bretagne natale et s’est prépa­rée à inves­tir les premiers rangs des défi­lés pari­siens. Aperçue ce vendredi 30 septembre, à la sortie de son hôtel, la belle blonde, qui a osé le pari risqué d’ou­vrir sa propre agence de mannequins, a attiré tous les regards en raison de sa tenue.

    Photo­gra­phiée sous tous les angles, le top model n’a pas hésité à rendre hommage à Elvis Pres­ley en portant une large chemise en jean à son effi­gie. Un look chic et décon­tracté que Kate Moss a décidé de porter pour assis­ter au défilé Dior prin­temps-été 2017, qui a eu lieu dans l'après-midi. A 42 ans, celle qui est soupçon­née d'avoir renoué avec son ex, Johnny Depp, depuis l'annonce de son divorce avec Amber Heard, est toujours aussi stylée et n'a clai­re­ment rien à envier à ses cadettes.

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  • Philippe Cande­loro raconte comment il a perdu sa virgi­nité à 11 ans

    A 44 ans, Philippe Cande­loro ne semble toujours pas saisir le concept de timi­dité. Très sûr de lui, d'une fran­chise à toute épreuve, le spor­tif se trouve actuel­le­ment en Suisse pour la promo­tion de son nouveau spec­tacle. Pour l'occa­sion, Candel, comme le surnomment ses amis, a accepté de répondre aux ques­tions du jour­nal Le Matin. L'athlète est même allé jusqu'à racon­ter sa première expé­rience sexuelle à nos confrères suisses. « C'était avec une copine d’en­traî­ne­ment, à 11 ans, se souvient-il. Sans notice d’ins­truc­tion, mais avec des sensa­tions ! ».

    Devenu maître dans les petites phrases et les contre­pè­te­ries, celui qui surnomme sa consœur Natha­lie Pécha­lat « Nata­cha pêche-au-lit », explique au Matin avoir été poussé par le rythme effréné de ses entraî­ne­ments à trou­ver l'amour chez ses parte­naires. "J’ai plus 'offi­cia­lisé' dès 13 ans. Avec les filles du pati­nage, on s’est 'formés' mutuel­le­ment, admet-il. On n’avait pas le temps d’al­ler cher­cher ailleurs. C’était plus du quan­ti­ta­tif que du quali­ta­tif.«  L'anec­dote en dit long sur Philippe Cande­loro et explique peut-être pourquoi pati­nage et sexe sont si souvent asso­ciés dans l'esprit du spor­tif.  »C'est mon ADN, je suis comme ça, je ne chan­ge­rai pas", assu­rait-il à l'Equipe il y a deux ans. En atten­dant sa nouvelle sortie média­tique, Philippe Cande­loro présen­tera son spec­tacle Le Lac des Cygnes sur Glace du 26 octobre au 20 novembre à venir à travers la France ainsi qu'à Genève, en Suisse, le 15 novembre prochain. A quand le one man show ?

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  •  Michelle Obama se moque de Barack, inca­pable de toucher ses orteils

    Avec 121 médailles dont 46 en or (quatre plus que le nombre total de médailles françaises), l'équipe améri­caine a survolé les Jeux Olym­piques orga­ni­sés cet été à Rio. L'heure était hier à la recon­nais­sance pour les spor­tifs du pays à la bannière étoilée. Simone Biles (la star du moment), ses coéqui­pières de l'équipe de gymnas­tique et de nombreux autres athlètes étaient en effet invi­tés à la Maison Blanche, ce jeudi, pour rencon­trer le couple prési­den­tiel. Une soirée média­ti­sée au cours de laquelle Michelle Obama n'a pas hésité à critiquer (genti­ment) l'état de forme physique de son mari.

    Alors que l'équipe de gymnas­tique démon­trait son agilité face au président améri­cain lors d'une séance d'étire­ment, Barack Obama a espéré esqui­ver l'acti­vité physique en prononçant une boutade. « Je voulais vous faire savoir que j'allais faire une petite figure au sol avec Simone mais on a fina­le­ment décidé qu'il y avait un peu trop de monde par ici ». Un stra­ta­gème qui aurait pu fonc­tion­ner si la First Lady n'avait pas été dans les parages. « C'est surtout qu'il ne peut pas toucher ses orteils… », a-t-elle rétorqué du tac au tac pour le plus grand plai­sir de l'assem­blée. Pris au dépourvu, Barack Obama n'a pu qu’ac­quies­cer.

    Peu rancu­nier, le Président améri­cain a tenu à saluer tout parti­cu­liè­re­ment le travail des athlètes fémi­nines durant ces Jeux Olym­piques."En tant que père de deux jeunes femmes, avoir pour elles cet exemple de santé, de ligne de conduite, de compé­ti­tion, de persé­vé­rance et de force me rend fier." Moqué en début de soirée, Barack Obama a fina­le­ment eu la chance de na pas repar­tir les mains vides. L'époux de Michelle s'est vu offrir une planche de surf sur mesure par les athlètes réunis pour l'occa­sion. L'outil parfait pour se refaire une santé sur les plages hawaïennes après huit ans passés à la Maison Blanche. Au tour de Michelle de dire merci à l'équipe olym­pique.

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  • Ange­lina Jolie refuse de rendre sa bague de fiançailles à 220 000 euros

    Ange­lina Jolie ne réclame pas que la garde des enfants dans son divorce avec Brad Pitt. Selon The Holly­wood Repor­ter, l'actrice souhai­te­rait notam­ment conser­ver sa bague de fiançailles, offerte par son futur ex-époux. Un bijou de 16 carats estimé à 250 000 dollars (220 000 euros), dessiné par Brad Pitt et le créa­teur Robert Procop : il est composé de plusieurs diamants blancs, symboles de l'amour désor­mais éteint entre les deux comé­diens.

    Si Ange­lina Jolie veut conser­ver cette bague, ce n'est certai­ne­ment pas une ques­tion d'argent. De toute évidence l'actrice tient à garder des objets qui ont compté dans sa vie avec Brad Pitt, avec qui elle a vécu heureuse pendant douze ans : contrai­re­ment à ce que laisse parfois penser son compor­te­ment depuis l'annonce du divorce (elle a par exemple bloqué le numéro de l'acteur), elle pour­rait ne pas vouloir s'éloi­gner défi­ni­ti­ve­ment de son futur ex-mari.

    La vraie bataille qui aura lieu entre Brad Pitt et Ange­lina Jolie concer­nera quoiqu'il en soit leurs six enfants. Ils veulent l'un comme l'autre leur bonheur – ce qu'ils ne cessent de répé­ter – mais ont appa­rem­ment des visions oppo­sées de l'éduca­tion que leur tribu est censée rece­voir. Reste à voir ce que déci­de­ront les juges face aux demandes respec­tives des deux stars d'Holly­wood.

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  • Ange­lina Jolie et Brad Pitt : leurs enfants très affec­tés par le divorce

    Pour justi­fier sa demande de divorce et de garde exclu­sive de ses enfants,  elle a argué du « bien-être de la famille ». Bien vague notion jusqu’à ce que Laura Wasser, sa redou­table avocate, ébruite une colère de Brad Pitt à bord d’un avion privé. Alors que l’ac­teur nie la violence qu’on lui a prêtée, refuse d’être limité à un simple droit de visite et réclame la garde parta­gée de Maddox, Pax, Zahara, Shiloh, Knox et Vivienne, Ange­lina Jolie ne compte pas calmer sa campagne de désta­bi­li­sa­tion.

    Judy Smith, spécia­liste de la gestion de crise qui a servi d’ins­pi­ra­tion pour le person­nage de Kerry Washing­ton dans la série Scan­dal, vient d’être appe­lée en renfort à ses côtés. Sa mission : renfor­cer l’image de mère courage d’An­ge­lina, quitte à acca­bler un peu plus son futur ex-époux avec lequel tout contact a été coupé.

    Elevée par sa mère Marche­line Bertrand, divor­cée de son second époux Billy Bob Thorn­ton au motif qu’il ne voulait pas adop­ter son aîné Maddox et à peine récon­ci­liée avec son géni­teur Jon Voight, qu’elle tient toujours à distance, l’ac­trice a mani­fes­te­ment peu de consi­dé­ra­tion pour le rôle de père.

    Et les enfants, dans tout ça ?

    Alors que Lance Spie­gel, l’avo­cat de Brad, s’ap­prête à dénon­cer la présence de ses six gamins sur des zones de conflit, selon le souhait de leur pasio­nara de mère, les petits Jolie-Pitt vivent retran­chés à Malibu, depuis mi-septembre. Ange­lina y loue une villa au loyer mensuel de 85 000 euros. Si Julia Roberts et Matthew McCo­nau­ghey, chacun parent de trois enfants, comptent parmi leurs voisins, inutile d’es­pé­rer un signe amical. Une luxu­rieuse végé­ta­tion étouffe le bunker où l’ac­trice a préci­pité sa progé­ni­ture.

    Instruits à domi­cile depuis des années, dans l’im­pos­si­bi­lité de se faire des amis en raison de leurs inces­sants déménagements, les enfants vivent plus que jamais en meute, même si la hiérar­chie de celle-ci a été chahu­tée : aîné en charge des plus jeunes, Maddox, 15 ans, a clai­re­ment été iden­ti­fié comme la source du conflit entre ses parents. Si ses frères et sœurs n’ont actuel­le­ment pas accès aux médias, il devra un jour s’ex­pliquer…

    Petites filles menant leur père par le bout du nez, Zahara, 11 ans, et Vivienne, 8 ans, seraient les plus touchées par l’ab­sence de Brad, dont elles ne comprennent pas le soudain silence. Les deux fillettes se conso­le­raient auprès d’un cadeau de leur papa : des gerbilles dont elles trim­bal­la­raient la cage un peu partout.

    Un peu plus conscients de ce qui se trame, Pax, 12 ans, et sa soeur Shiloh, 10 ans, auraient pris sous leur aile leur petit frère Knox, 8 ans, l’in­té­grant à leurs jeux intré­pides.

    Le cœur n’y est pas forcé­ment. Dans le couple Jolie-Pitt, Brad était le parent le plus joueur. Balades en squad, parties de pisto­lets à eaux, imita­tions et jeux de mime… L’ac­teur avait décou­vert la pater­nité sur le tard, en adop­tant simul­ta­né­ment Maddox et Zahara, à l’âge de quarante-deux ans, en 2006. Il n’en restait pas moins un grand gamin au milieu des siens.

    Aux dernières nouvelles, les époux Jolie-Pitt auraient chacun mani­festé le souhait de régler leur divorce au plus vite. Reste à s’en­tendre sur l’es­sen­tiel : le « bien-être de la famille »…

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