En ce moment, Dany Boon brille dans les salles obscures au générique du Dindon, une nouvelle comédie adaptée de la célèbre pièce de Georges Feydeau et mise en scène par Jalil Lespert, avec aussi Guillaume Gallienne (que le réalisateur retrouve après son Yves Saint Laurent), la pétillante Alice Pol et le grand Holt McCallany (Mindhunter sur Netflix).

A l'occasion de la promotion de ce long métrage, Dany Boon s'est longuement entretenu dans les pages du magazine Paris-Match, et ce fut pour le célèbre ch'ti l'opportunité de revenir notamment sur sa mauvaise expérience américaine. Et il n'est pas question ici de Welcome to the Sticks (le projet de remake avorté de sa triomphale comédie Bienvenue chez les Ch'tis), mais bien de sa récente aventure hollywoodienne aux côtés de la séduisante Jennifer Aniston (Friends) et de l'excellent Adam Sandler (Punch Drunk Love) pour la comédie Murder Mystery.

Sortie directement sur Netflix en juin, cette comédie policière enlevée dans laquelle il incarne un inspecteur français (sorte d'Hercule Poirot décalé) enquêtant sur le meurtre d'un milliardaire, a été un véritable triomphe sur la fameuse plateforme, devenant le long métrage le plus vu de l'histoire de Netflix (avec plus de 30 millions de visionnages en trois jours). Mais, malgré cet énième succès pour Dany, son expérience a été loin de le satisfaire, comme il l'a confié dans les pages de l'hebdomadaire.

Il a beau être parti s'installer à Los Angeles il y a dix ans (après le succès de Bienvenue chez les Ch'tis et ses plus de 20 millions de spectateurs en France) et vivre aujourd'hui à Londres, le réalisateur et comédien de 53 ans (divorcé trois fois et père de cinq enfants) n'en demeure pas moins très français, et ce qu'il aime par-dessus tout, c'est le cinéma français ! Que ce soit dit ! Et pour cause, quand il évoque sa récente expérience hollywoodienne, Dany ne mâche pas ses mots : "Je trouve le monde hollywoodien très violent, dur et misogyne." En cause, le "paraître" qui règne à Hollywood, où une femme dont l'âge dépasse la vingtaine est bonne à jeter, ce qui a choqué notre célèbre ch'ti : "C'est là que je me dis qu'on a beaucoup de chance en France. Ici, une femme peut continuer à grandir en vieillissant, alors qu'aux Etats-Unis, à 30 ans, c'est mort pour elle !"

Des mots durs et choquants, mais tellement sincères qu'on ne peut que croire à son objectivité. Mais au-delà du traitement des femmes en général et des actrices en particulier, autre chose a perturbé Dany Boon lors de son passage à Hollywood : le peu de créativité et d'ingéniosité des décideurs. Il livre ainsi son opinion sur l'usine à rêves : "Dans les projets américains que je reçois, on sent l'influence de ce qui a marché juste avant... On a l'impression que plus il y a d'argent, moins il y a de création." Une remarque pertinente certes, mais qui peut aussi... se vérifier chez nous (il suddit de voir ces deux denrières années les sorties de Qu'est-ce qu'on a encore fait au bon Dieu ?, Alad'2, ou encore La ch'tite famille, pour ne pas la citer ; trois suites de comédies à succès qui surfent elle aussi sur ce qui a marché avant en privilégiant les recettes à la créativité...). Mais comme souvent, encore plus dans ce business, chacun voit midi à sa porte.

Selon le mari de Felicity Huffman, sa femme irait mal. L’actrice de Desperate Housewives a été condamnée à 14 jours de prison dans l’affaire du  scandale des admissions à l'université et selon une source de People, son mari, William H. Macy, elle aurait du mal à supporter cette épreuve.

Selon cette source, William H. Macy a « vu de près la difficulté de cette épreuve pour elle. Il la soutient extrêmement bien et est très protecteur depuis le début ».

Outre sa peine de prison, Felicity Huffman, qui a plaidé coupable, a reçu deux autres sentences. Pour avoir acheté l’entrée de sa fille aînée à l’université, l’actrice a aussi été condamnée à 30.000 dollars d’amende et 250 heures de travaux d’intérêt général.

Dire que l’année 2018 fut rude pour Selena Gomez est un euphémisme. La chanteuse a en effet passé du temps en thérapie pour travailler sur sa santé mentale. Elle s’est ouverte sur le sujet lors de la remise du McLean Award, qu’elle a reçu lors du dîner de gala annuel de l’hôpital McLean.

Durant son discours, elle a évoqué le moment le plus « terrifiant » de sa vie, comme le relaie USA Today.

« Je pense que nous sommes meilleurs quand nous disons la vérité, donc voilà ma vérité. L’an dernier, je souffrais mentalement et émotionnellement, et je n’arrivais pas à tenir le coup. Je ne pouvais pas sourire ou rester normale. On aurait dit que toute ma douleur et mon anxiété me tombaient dessus d’un seul coup, et c’était l’un des moments les plus effrayants de ma vie », a-t-elle confié.

Aujourd’hui, la productrice de 13 Reasons Why va mieux, même si cela lui a pris du temps. « J’étais terrifiée, évidemment, parce que le voile était levé, mais aussi soulagée de savoir pourquoi j’avais souffert pendant tant d’années de dépression et d’anxiété. Après un an de travail acharné, je suis plus heureuse, plus en forme, je contrôle mes émotions et mes pensées, plus que jamais. Donc j’en suis très heureuse », a-t-elle ajouté.

Alors que Joker n’en est qu’à sa tournée des festivals à travers le monde et qu’on l’attend encore pour début octobre dans les salles, une polémique a commencé à prendre de l’ampleur : le film inciterait à la violence. Une crainte née de l’attentat d’un cinéma à Aurora aux États-Unis, dans le Colorado. Durant une première de The Dark Knight Rises en 2012, un homme ouvrait le feu, tuant douze spectateurs. Aujourd’hui, la sortie d’un film tournant lui aussi autour du personnage du Joker ravive visiblement des souvenirs de ce drame. Si à l’époque les médias s’étaient emparé de l’affaire en affirmant que James Holmes, le tireur, s’était inspiré du Joker (celui portraituré par Heath Ledger dans The Dark Knight, en l’occurrence), la police avait par la suite démenti l’information en insistant sur l’absence de preuves.

Joaquin Phoenix a déjà été la cible de la polémique, décidant de mettre fin à une interview alors que la question était abordée. Et récemment, une lettre ouverte à la Warner Bros. a été publiée sur les réseaux, révélant les craintes des expéditeurs - des proches des victimes de la tuerie de 2012 - de voir un méchant présenté comme un héros. Et exigeant des studios qu’ils assument leur "responsabilité sociale" en prenant des mesures de précaution concernant les projections.

La société de production a finalement répondu, défendant fermement le film tout en rappelant que le studio est déjà impliqué dans des campagnes de sensibilisation face aux violences. "Warner Bros. croit que l'une des fonctions du récit est de poser des questions difficiles autour de sujets complexes," affirment les producteurs dans une déclaration relayée par Deadline. "Mais ne vous méprenez pas : ni ce Joker fictif, ni le film, ne sont une approbation de la violence dans le monde réel, quelle qu’elle soit. Ce n’est pas l’intention de l’œuvre, des cinéastes ou du studio de faire de ce personnage un héros."

De son côté, Todd Phillips a lui aussi été interrogé sur la probabilité que son film engendre de la haine ou des tueries. Mais contrairement à l’interprète du super-vilain de DC Comics, le réalisateur ne s’est pas défilé et a donné son propre avis auprès d’AP Entertainment. "Évidemment, Aurora a été un événement horrible, vraiment horrible…" affirme Phillips. "Mais même ça, on ne peut pas le reprocher à The Dark Knight Rises. D’autant plus que si vous faites attention aux déclarations, le tueur n’a jamais revendiqué son inspiration du Joker. Il souffrait d’une dépression nerveuse, mais toute cette histoire n’a rien à voir avec le long-métrage, si ce n’est que c’est arrivé dans une salle de cinéma."

Et le cinéaste n’hésite pas à comparer Joker à d’autres blockbusters récents, qu’il juge bien plus brutaux et pourtant plus facilement acceptés : "Ce qui m’énerve, c’est qu’on tolère les violences toxiques d’autres films. Je sors de John Wick 3. C’est un homme blanc qui tue 300 personnes et tout le monde rit, hurle dans la salle. À quel moment décide-t-on que ces deux films répondent à des normes différentes ?" Pour réellement comparer les deux œuvres, il faudra attendre leur sortie en salles pour se faire un avis personnel sur la controverse. Rendez-vous le 9 octobre.

Ça, chapitre 2 attaque sa troisième semaine de projection en France, flirtant déjà avec le million d’entrées. Vingt-sept ans après les événements du premier épisode, les membres du Club des Ratés devenus adultes reprennent le chemin de Derry, pour affronter Grippe-sou alors que l’entité maléfique sort de son hibernation. Si tout un nouveau casting a été constitué pour interpréter les héros plus âgés, incluant Jessica Chastain et James McAvoy, les jeunes acteurs ont eux aussi retrouvé les caméras, revenant sur le plateau pour tourner quelques scènes sur l’enfance des personnages.

Mais problème : à cet âge-là, on grandit vite. Et les deux années qui se sont écoulées entre les tournages ont suffi pour que certains changements ne puissent passer inaperçus. Finn Wolfhard, star de Stranger Things et interprète pour l’occasion du jeune Richie Tozier, en sait quelque chose : il fait partie de ceux qui ont dû passer par le rajeunissement numérique pour que l’illusion soit parfaite. Le comédien a justement décrit le processus auprès de The Hollywood Reporter.

"C’est déjà fou qu’ils nous aient rajeuni," estime Finn Wolfhard, "mais en plus je n’ai pas eu à jouer avec les petits points sur le visage. Ils ont su faire sans. Barbara Muschietti, la sœur d’Andy (Muschietti), m’a expliqué comment font les techniciens : ils adoucissent nos traits jusqu’à ce qu’on retrouve notre apparence d’il y a deux ans. J’ai trouvé ça vraiment intéressant et ça fonctionne plutôt bien. Avec Stranger Things, on est plus dans l’effet Harry Potter : ça recommence tous les ans et nos personnages grandissent naturellement. Cette fois, c’était vraiment différent parce que l’action se passe dans des flash-back, à une époque qu’on a déjà vue. Andy, qui travaille beaucoup au visuel, avait déjà tout imaginé dans sa tête : du coup ça le rendait fou de nous voir trop grands."

Finn Wolfhard n’est pas le seul à avoir changé en deux années : Jack Dylan Grazer, l’interprète d’Eddie, jeune hypocondriaque lui aussi figurant parmi les membres du Club des Ratés a grandi et mué. Jeremy Ray Taylor, acteur du petit Ben, a lui aussi pris en taille et en voix. Encore quelques années à cette allure et ils auraient pu jouer le rôle des adultes… Pour juger de la réussite de ce rajeunissement, il n’y a plus qu’à se rendre en salles pour voir Ça, chapitre 2.

Nouveau rebondissement dans l'affaire Steven Avery qui a inspiré la série documentaire de Netflix Making a Murderer. Un détenu du Wisconsin du nom de Joseph W. Evans Jr. s'est en effet accusé du meurtre de Teresa Halbach, pour lequel Steven Avery et Brendan Dassey, qui continuent de clamer leur innocence, ont été condamné à la prison à perpétuité.

C'est le réalisateur de la série Making a Murderer, Shawn Rech, qui a recueilli les révélations d'Evans alors qu'il préparait une nouvelle série documentaire intutlée Convicting a Murderer. Ce dernier, en contact depuis dix-huit mois avec l'équipe de tournage, a d'abord cherché à enfoncer Steven Avery, avant de revenir sur ses déclarations et d'avouer avoir lui-même participé au meurtre. En parallèle, le détenu a envoyé des aveux écrits à l'avocate d'Avery, Kathleen Zellner. 

"Nous avons bien reçu les aveux manuscrits ce samedi", a confirmé Zellner sur Twitter. "Ils ne valent rien à moins qu'ils ne soient corroborés. Le détenu nous a contacté il y a une semaine. Il nous a envoyé ses aveux manuscrits avant de contacter la société de production (pour être interviewé)." 

Une récompense de 100 000 dollars a été promise à tout citoyen qui pourrait aider dans l'arrestation et la condamnation du véritable assassin de Teresa Halbach ; les aveux de Joseph Evans, qui a déjà prouvé qu'il pouvait mentir à plusieurs reprises, sont donc à prendre avec des pincettes : "Nous n’avons pas confirmé la légitimité des aveux, mais puisqu'ils proviennent d'un meurtrier reconnu du Wisconsin, nous avons senti qu'il était de notre responsabilité de livrer toute preuve possible aux forces de l'ordre et aux équipes juridiques", a confié Rech à USA Today. "Nous sommes en production depuis 20 mois, et nous avons découvert une quantité insondable d'informations et de preuves qui nous guident vers la vérité. Notre enquête ne s'arrête pas là."

A l'occasion de la sortie prochaine de Spider-Man : Far From Home en DVD et Bu-Ray, une scène inédite se dévoile avec son principal persécuteur, J. Jonah Jameson (J.K. Simmons). Le personnage qui apparaissait dans la scène post-générique du film s'offre ainsi quelques minutes supplémentaires qui ont été mises en ligne sur un vrai-faux site ouvert spécialement pour l'occasion, TheDailyBugle.net.

Spider-Man : Far From Home sortira en DVD / Blu-ray en France le 13 novembre prochain.

Cardi B a dévoilé avoir été agressée sexuellement durant une séance photo. La rappeuse a fait cette révélation lors d’une nouvelle émission, Untold Stories of Hip Hop.

« Je n’oublierai jamais. Je suis allée à cette séance photo pour un magazine, et le photographe se rapprochait de plus en plus de moi, genre « Tu veux être dans le magazine ? », puis il a sorti sa bite. J’étais tellement en colère, c’est dingue », a-t-elle expliqué, sans nommer le photographe ni le magazine.

Interrogée sur sa réaction, l’interprète de Bodack Yellow a expliqué qu’elle avait eu un temps de latence avant de prendre une décision. « A ce moment-là, c’est comme un bug. Vous savez quoi ? Je me tire », a-t-elle expliqué.

En outre, elle affirme avoir prévenu le directeur de publication du magazine, qui lui aurait juste répondu « Et alors ? ».

En mai dernier, Variety rapportait que le personnage Ghost Rider allait avoir sa propre série développée pour la plateforme Hulu, sous la houlette de la scénariste et showrunneuse Ingrid Escajeda. Quatre mois plus tard, le projet est finalement débranché. Le site Deadline rapporte en effet l'annulation de cette future série pour cause de différent créatif entre l'équipe chargée de mettre sur pied la série du côté de Marvel Television, et Hulu. Il n'est pas précisé si Marvel TV envisage de vendre sa série ailleurs. Gabriel Luna, qui incarnait le personnage, apparu dans la saison 4 de Agents du S.H.I.E.L.D, devait logiquement rempiler sous le costume de l'ex motard ayant vendu son âme à Méphisto. Il va donc falloir s'armer de patience pour espérer voir s'effacer les deux tristes incarnations du personnage par Nicolas Cage en 2007 et 2012, dans Ghost Rider et Ghost Rider... L'esprit de vengeance. Quoi qu'il en soit, le divorce entre Hulu et Marvel TV n'est pas totalement consommé, puisque la plateforme diffusera en décembre la 3e saison de Marvel’s Runaways.

Au centre des intrigues de Demain nous appartient depuis quelques mois, Solène Hébert, dont le personnage Victoire fait partie des préférés des fans, va faire des infidélités au feuilleton quotidien de TF1. Pour jouer en tant que guest dans une autre série à succès de la chaîne. La comédienne de 28 ans figurera en effet au générique des épisodes 3 et 4 de la saison 7 de Léo Mattei, toujours portée par Jean-Luc Reichman, dont le tournage a débuté lundi à Marseille.

Face à Sagamore Stevenin (Falco) dans le rôle de son mari, Solène Hébert incarnea Alice, la mère d'un jeune autiste témoin d'un meurtre. Florence Pernel (Le Bazar de la charité) et le chanteur Lenni Kim apparaîtront quant à eux dans les deux premiers épisodes de la saison. En tout, ce sont donc quatre nouveaux épisodes de 52 minutes chacun (contre six la saison dernière) qui seront mis en boîte jusqu'au 15 novembre par le réalisateur Hervé Renoh. L'intégralité des récurrents de la série, à savoir Mathilde Lebréquier (Olivier Lambert), Maïra Schmitt (Eloïse Mattéi), Alexandre Achdjian (Jonathan), Xavier Mathieu (Alain Cabelle), et Linda Bouhenni (Fred) seront évidemment de retour aux côtés de Jean-Luc Reichmann pour cette septième fournée qui devrait arriver à l'antenne de TF1 au premier semestre 2020.