• Sweet Girl : Jason Momoa se lance dans un nouveau film d’action chez Netflix

    Sweet Girl n’aura rien de doux : ce film d’action suivra les mésaventures de Cooper, un père de famille dévasté par la mort de sa femme, ne vivant que pour sa quête de justice. Lancé à la poursuite des responsables pour se venger, il devra également protéger la seule personne qu’il lui reste : sa fille.

    Collider nous apprend que la star d’Aquaman sera au casting, mais aussi à la production pour ce long-métrage Netflix. À ses côtés, Jeff Fierson et Brad Peyton, producteurs de Frontier, série Netflix dans laquelle Jason Momoa tient le rôle-clé. Brian Andrew Mendoza, lui aussi membre de l’équipe pour Frontier, passera cette fois derrière la caméra pour réaliser son premier long-métrage.

    Lors d’une déclaration officielle, Jason Momoa a fait part de son enthousiasme à propos du projet et du soutien de la plateforme de streaming : "Je suis excité à l’idée de refaire équipe avec Netflix. J’ai réuni une véritable dream team en associant Brad et Jeff avec mon meilleur ami Brian, mon collaborateur depuis dix ans. C’est un rêve devenu réalité de travailler avec lui et l’aider à transmettre sa vision des choses."

    Jeff Fierson s’est lui aussi exprimé sur la question : "Brad et moi sommes enchantés de coopérer à nouveau avec Netflix, qui nous a vraiment donné le sentiment d’être libres de créer des œuvres novatrices. Jason et Brian sont comme une famille pour moi, alors refaire équipe avec eux après trois saisons de Frontier, c’était inespéré. Quand on a lu pour la première fois le scénario, on a su qu’il ne pouvait y avoir qu’un seul acteur capable de mettre en valeur la gravité et la profondeur pour le rôle de Cooper : Jason Momoa. Et c’est la parfaite occasion pour Brian de faire ses début en tant que réalisateur."

    Le tournage de Sweet Girl n’a pas encore commencé, mais nul doute que les premières images seront musclées.

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  • Bagarre, coups de feu, cris et champagne : la première bande-annonce de The Hunt vient de tomber et révèle des images sanglantes. Plusieurs personnes sont envoyées dans un terrain de chasse, pour être traquées sous le regard satisfait de riches spectateurs.

    La chasse à l’homme grandeur nature de The Hunt promet des scènes haletantes et violentes. Derrière l’écran, on trouve une solide équipe technique : écrit par Damon Lindelof, scénariste de Lost et The Leftovers ou encore de la prochaine série Watchmen, ce thriller sera réalisé par Craig Zobel (Les Survivants, Westworld). Le projet est produit par Blumhouse Productions, déjà à l’origine de plusieurs films d’horreur (Us, Halloween).

    Et pour l’occasion, Emma Roberts (American Horror Story, Nerve), Betty Gilpin (G.L.O.W.), Justin Hartley (This Is Us), Ike Barinholtz (Suicide Squad) et Hilary Swank (Logan Lucky) participeront au jeu sanglant.

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  • Ça y est, après deux photos divulguées au public en marge du New York Film Festival, The Irishman dévoile (enfin !) sa bande-annonce officielle. Pour la première fois, Martin Scorsese tournera avec Al Pacino dans ce nouveau film de gangsters. Les spectateurs pourront assister également à la réunion de la Sainte Trinité de Casino avec les monstres sacrés Robert De Niro et Joe Pesci. Un long-métrage qui aura coûté une petite fortune à Netflix, ces derniers ayant racheté pour la modique somme de 105 millions de dollars à laquelle s’est ajouté un budget de 125 millions de dollars. Un investissement qui en dit long sur les attentes de la plateforme de streaming.

    Comme le réalisateur l’avait indiqué en 2017 auprès de The Independant : "Le film parlera davantage de la nostalgie, du fait de faire le bilan de sa vie, de remettre en question tous les choix qu’on a dû faire par le passé." Un retour dans le passé qui se fera notamment par le rajeunissement des personnages, comme on peut le voir dans certaines images léchées de ce premier trailer.

    Le film n’a pas encore de date de sortie en France, appartenant à Netflix. Mais les gangsters de Scorsese débarqueront nos écrans cette année.

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  • PETA demande à Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio de sauver le chimpanzé du Loup de Wall Street

    "Chers M. Scorsese et M. DiCaprio…" Un début de lettre qui pourrait paraître anodin, si ce n’était pas l’association PETA (Pour une Ethique dans le Traitement des Animaux) qui avait pris la plume. "Notre équipe a récemment obtenu ces images de Chance, le chimpanzé jouant dans Le Loup de Wall Street. Comme vous pourrez le constater, il est toujours utilisé dans un cirque, attaché et forcé de jouer devant des foules effrayantes. Il est encore temps de le sauver. Pourriez-vous nous aider ?"

    IndieWire nous rapporte que PETA avait déjà informé le public de la situation de l’animal, à la sortie du film en 2013, avant d’appeler à l’aide les stars en 2017. L’association indique que les conditions n’ont pas changé, Chance étant toujours "obligé de se produire dans un zoo en bord de route." Un zoo qui appartient à la famille Rosaire, "un conglomérat d’exposants d’animaux qui ont été cités à de nombreuses reprises par le ministère américain de l’agriculture pour avoir enfreint la loi fédérale sur la protection des animaux. Notamment pour ne pas avoir fourni aux chimpanzés un espace nécessaire et les avoir retenus grâce à des cordes passées autour du cou… parmi bien d’autres choses."

    Demande avait ainsi été faite en 2017 à Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio d’utiliser leur influence pour sauver le singe, en s’engageant dans des plaidoyers personnels. La demande a été renouvelée ce mardi 29 juillet, sans réponse pour le moment des intéressés.

    Mais l’association ne s’est pas arrêtée à Martin Scorsese cette semaine : Quentin Tarantino a lui aussi été apostrophé pour le tournage de son prochain film Once upon a time… In Hollywood. En cause cette fois, un american staffordshire terrier, canidé de la race des bulldogs, présenté dans le film. Brandy, de son petit nom, proviendrait d’un élevage connu pour ses mauvais traitements d’après PETA : "Ces chiens sont enchaînés et enfermés en cage, négligés, affamés, battus et parfois même brûlés ou tués… Alors que la communauté humaine fait tout ce qu’elle peut pour aider ces animaux, en essayant surtout de mettre un terme à cette industrie, Tarantino a utilisé leurs services, desservant la cause. Honte à lui."

    Les conditions des animaux apparaissant dans les films reste un sujet très délicat et pourtant bien réel. Il ne reste plus qu’à espérer que Chance puisse enfin bénéficier de la bonne fortune que lui vaut son nom.

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  • Robert Pattinson, Willem Dafoe et un phare ! Tel est le principe de The Lighthouse, tourné en format carré et en noir et blanc par Robert Eggers. La bande-annonce, hypnotisante, rythmée par un chant de marin, intrigue beaucoup plus qu'elle ne dévoile vraiment le scénario du film. On sait simplement que l'action se déroule en 1890 en Nouvelle-Ecosse et propose la rencontre entre Thomas (Dafoe) et Ephraim (Pattinson). Sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs en mai dernier à Cannes, The Lighthouse y a reçu le prix de la critique internationale.

    Ancien chef costumier de films d'horreur à petits budgets ou des courts métrages, Robert Eggers, 36 ans, a déjà signé le long métrage d'épouvante The Witch, révélant par la même occasion l'actrice Anya Taylor-Joy. Le film valu à son réalisateur un prix de Meilleur réalisateur au festival de Sundance.

    The Lighthouse n'a pas encore de distributeur français mais est en sélection au festival de Toronto.

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  • Après Belle Épine, Grand Central et Planétarium, Rebecca Zlotowski revient avec Une fille facile, son quatrième long métrage. Ce récit d’apprentissage ensoleillé, récompensé à la Quinzaine des réalisateurs par le Prix SACD, suit Naïma, une adolescente de 16 ans qui vit à Cannes. Alors qu'elle se donne l'été pour choisir ce qu'elle veut faire dans la vie, sa cousine Sofia, au mode de vie attirant, vient passer les vacances avec elle. Ensemble, elles vont vivre un été inoubliable.

    L'idée du film est venue à Rebecca Zlotowski lorsqu'elle est tombée sur un témoignage relatant la relation entre deux jeunes femmes et des hommes mariés, qui accostaient des yachts luxueux sur la Côte d'Azur. La cinéaste explique pourquoi elle a été touchée par ce récit : "Contre toute attente, et en dépit de la teinte morale que je pouvais donner malgré moi à cet échange, la jeune femme racontait à la première personne la douceur de cet été, sa caresse constante, sa courtoisie - si on peut dire son romantisme, malgré l’hypocrisie qui sous tendait leurs rapports avec ces hommes."

    Côté casting, on retrouve dans le rôle de Naima la jeune Mina Farid, qui pour l'occasion effectue ses premiers pas au cinéma. Sofia est quant à elle interprétée par une autre actrice novice ou presque (elle avait un petit rôle dans Joséphine s'arrondit), l'ancienne escort girl Zahia Dehar, Benoît Magimel, Nuno Lopes (Chamboultout) et Clotilde Courau complètent le reste du casting principal de ce conte lumineux, qui sortira le 28 août dans les salles obscures.

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  • Midsommar : le réalisateur réfléchit à une version plus longue de 30 min

    Auteur d'un excellent film d'horreur / épouvante porté par une Toni Colette au sommet, Hérédité (2018), le réalisateur Ari Aster est depuis devenu un cinéaste à surveiller de près. A peine un an plus tard, il remet le couvert dans le même genre avec Midsommar, qui bénéficie d'un excellent bouche-à-oreille. Sorti depuis peu aux Etats-Unis, il a déjà récolté plus de 18 millions de dollars.

    Le film, qui déroule son intrigue sur fond de secte suédoise, possède aussi une durée très inhabituelle pour le genre : 2h27 au compteur tout de même ! Mais selon les dires du cinéaste, il pourrait durer davantage; la faute aux coupes imposées par sa classification aux Etats-Unis par la MPAA, la Motion Picture Association of America. En fait, si Midsommar est classé "R", il a écopé dans un premier temps d'un infâmant NC-17, soit "strictement interdit au moins de 17 ans". Ce qui, aux Etats-Unis, est synonyme de quasi mort pour un film, car les exploitants de salles refusent de diffuser ces oeuvres tombant sous cette classification.

    Dans un chat "AMA" sur Reddit, "AMA" étant l'acronyme de "ask me anything", Ari Aster a confirmé avoir dû faire "pas mal d'aller-retour, durant six semaines, avec la MPAA", à propos de cette classification NC-17.  Et de révéler qu'il travaille actuellement à une version Extended Cut de son film : "ca ne sera pas une version avec 1h20 en plus, mais elle fera au moins 30 min en plus !" Un film d'épouvante / horreur de 3h, ce n'est pas si fréquent.

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  • Dès le 23 septembre prochain, The Good Doctor sera de retour à l'antenne d'ABC aux Etats-Unis pour la saison 3, avec une diffusion en US+24 sur MYTF1VOD pour les plus impatients. 

    ATTENTION SPOILERS !

    A la fin de la saison 2, Shaun allait déclarer sa flamme au Dr. Carly Lever (incarnée par Jasika Nicole de Fringe). Selon les premières images dévoilées, la jeune femme a visiblement accepté l'invation de son collègue et ils vont avoir leur premier rendez-vous galant. Castatrophe en vue ? Bisou ou pas bisou ? Réponse dans quelques semaines...

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  • Récompensée du prix de la meilleure mini-série et le prix du public lors du festival de Fiction de Luchon en février dernier, A l’intérieur se place comme l’une des séries les plus attendues de la rentrée sur France 2. Créée par Jeanne Le Guillou et Bruno Dega, le duo déjà à l’origine du Mystère du Lac, ce thriller se dévoile dans une première bande annonce énigmatique. Lorsqu’une jeune femme est retrouvée morte le coeur arraché dans une clinique psychiatrique la veille du jour de sa sortie, Angèle, une jeune policière de 29 ans, se retrouve en charge de l’enquête. C’est la première mission qu’elle devra mener seule. Mais qui croire ? Comment démêler le vrai du faux ? Dans ce thriller façon Dix Petits Nègres, le meurtrier se cache aussi bien chez les patients que dans le personnel. Tout le monde est suspect… et il va falloir réussir à démêler le vrai du faux.

    Ce jeu de piste déroutant est mené par Noémie Schmidt, connue pour son personnage de Sophie dans la série belge La Trêve et mais aussi grâce au film Netflix Paris est à nous, qui incarne ici cette jeune policière qui va flirter avec sa propre folie afin de résoudre l’enquête. Elle donnera entre autres la réplique à Béatrice Dalle, qui se glissera dans la peau du commandant de la brigade, à Hippolyte Girardot (un habitué du petit écran vu récemment dans Thanksgiving sur Arte) et à Judith El Zein, qui a joué dans les deux volets de Papa ou Maman.

    Saluée aussi bien par la critique que par le public, A l’intérieur est un thriller sombre qui promet de déstabiliser les spectateurs. Sa diffusion est prévue pour la rentrée sur France 2.

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  • Shang-Chi : le futur film Marvel soulève déjà des polémiques en Chine

    Le marché chinois est devenu un vrai enjeu pour Hollywood et Marvel n’échappe pas à la règle. En produisant un film autour de Shang-Chi, personnage méconnu du grand public, Kevin Feige et Disney imaginaient peut-être draguer massivement l’empire du milieu. Une inspiration à revoir car les différentes annonces autour du film n’ont pas vraiment provoqué de liesse générale mais plutôt de vives polémiques. En ligne de mire : l’origine de l’acteur choisi pour incarner le super-héros, ainsi que l’utilisation de stéréotypes raciaux pour le futur méchant.

    Lors du Comic Con de San Diego, Kevin Feige a annoncé qui serait le fameux maître du Kung Fu. Simu Liu, acteur sino-canadien, est en effet sélectionné après de nombreux appels du pied sur twitter de la part du comédien. Et parmi les commentaires, ses origines posent problèmes : « si vous souhaitez faire de l’argent en Chine, il faudrait choisir vos personnages chinois avec plus de bon sens » écrit un utilisateur de Weibo, sorte de Twitter local. Car en plus de Liu, le choix de donner le rôle du Mandarin (vilain chinois) à un acteur hongkongais (Tony Leung) passe mal également. Ce que ces utilisateurs du réseau social oublie peut-être (ou ne sont-ils pas au courant ?), c’est que la mère de Shang-Chi est américaine (elle est sélectionnée génétiquement par son père), ce qui peut justifier le choix de Simu Liu.

    Mais les reproches ne sont pas totalement infondés si on regarde les origines du comic-book. Quand sont créés Shang-Chi (1973) et le Mandarin dans Tales of Suspense #50 (1964), les américains exploitent toujours la figure asiatique comme une source ennemie. Il y a eu le trauma de Pearl Harbour, la guerre de Corée, la guerre froide et la menace communiste, autant d’événements tragiques et contexte historique qui ont nourri un antagonisme réducteur et caricatural. Le fameux « péril jaune » est encore bien présent et dans les comic-books de l’époque, cela se traduit par des positions carrément racistes. Quand Marvel impose le personnage et l’apparence du Fu Manchu à Jim Starlin (dessinateur des premières aventures de Shang-Chi), ce dernier se sent particulièrement mal à l’aise devant des positions et stéréotypes aussi dérangeantes. Déjà à la lecture des romans de Sax Rohmer dont est issu le vilain, le dessinateur ne cachait pas son écoeurement face au racisme latent qui se dégage des ouvrages. De son côté, le Mandarin prend son inspiration dans James Bond en étant une itération de Dr No, premier méchant historique de 007. Les comics font beaucoup moins dans la demie-mesure est abuse de stéréotypes raciaux.

    Mais les comics évoluent en même temps que la société et tous ces griefs vont petit à petit être atténués, gommés pour devenir plus politiquement correct et surtout bien moins caricaturaux. Seulement le public chinois semble s’être focalisé sur Fu Manchu et son traitement raciste : « Le point ici n’est pas de savoir si le Mandarin est exactement Fu Manchu ou son remplaçant mais plutôt que les deux personnages sont apparus à cause de la discrimination et des stéréotypes de la population chinoise au cours des années précédentes » écrit un utilisateur de Weibo. Mais il est courant dans les comic-books de réécrire les origines des personnages et le Mandarin n’a pas échappé à la règle. Au départ, il prétend être un descendant de Gengis Khan, fils d’une aristocrate anglaise et d’un riche chinois. A la mort de ses parents il fut recueilli par sa tante, il dilapida sa fortune et fut expulsé de chez lui avant d’emprunter une voie criminelle. Par la suite, on apprendre qu’il est finalement le fils d’une prostituée anglaise, accro à l’opium et morte d’une overdose. On ne peut savoir quelle version du personnage sera utilisée par Kevin Feige dans Shang-Chi mais rien n’empêchera l’homme à la casquette d’effectuer un nouveau volte face pour proposer des origines en phase avec le film et l’importance éventuelle du vilain au sein du Marvel Cinematic Universe.

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