La fille de Johnny Hallyday ne pensait sans doute pas provoquer autant de haine en publiant une photo sur Instagram. Samedi 22 septembre 2018, l'actrice a publié un cliché où on la voit assise face une vue impressionnante dans un hôtel parisien. «La magie de Paris, à 140m d'altitude au nouveau bar Windo, 34ème étage du @hyattetoile», a-t-elle écrit en légende. Une image qui n'a pas échappé à un internaute particulièrement odieux qui lui a écrit: «Va te suicider». Laura a aussitôt réagi en se disant «choquée» et précisant qu'il y aurait «des suites» après ce commentaire qu'elle juge «intolérable».

Ses followers ont été nombreux à la soutenir et à condamner les propos de cet internaute. L'un d'eux a précisé qu'il risquait jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45000 euros d'amende avec ce genre de message. «Que ces gens faussement dissimulés s'abstiennent avant d'écrire des inepties pareilles! Le suicide, c'est pas une carte d'invitation», s'est offusqué un autre.

Jean-Pierre Pernaut est malade. Le journaliste, présentateur historique du JT de la mi-journée sur TF1, souffre d'un cancer de la prostate. Il l'a annoncé lui-même sur Twitter, mardi 25 septembre. Dans une série de deux messages postés peu avant 13 heures, l'homme de télévision, âgé de 68 ans, explique avoir "subi une intervention chirurgicale pour un cancer de la prostate".

Le présentateur, qui va donc laisser son siège pour une durée indéterminée, a toutefois tenu à rassurer les téléspectateurs. "Tout va bien", assure-t-il dans ses messages. 

L'intérim sera assuré par Jacques Legros, précise-t-il. "Merci de votre soutien, de votre fidélité et je vous retrouve très vite." Entré à TF1 en 1975, Jean-Pierre Pernaut y présente le journal de 13 heures de manière continue depuis 1988.

Avec les remous que connaît le DC Universe en ce moment, on commençait à se dire que la plupart des spin-offs envisagés n’allaient jamais voir le jour. Mais Warner Bros semble bien décidé à laisser la réalisatrice Cathy Yan (Dead Pigs) tourner Birds of Prey, le spin-off de Suicide Squad avec Harley Quinn dans le rôle principal. Le studio a offert une date de sortie américaine au film, qui sera donc dans les salles le 7 février 2020. La production devrait commencer début 2019.

Le long-métrage mettra donc en scène Harley Quinn (Margot Robbie), accompagnée par Black Canary (les actrices Jurnee Smollett-Bell et Gugu Mbatha-Raw sont dans la course, ainsi que la chanteuse Janelle Mona) et Huntress (Lary Elizabeth-Winstead, Margaret Qualley et Cristin Milioti sont dans la course). Pour la détective Renee Montoya, Warner hésiterait encore entre Justina Machado et Roberta Colindrez. Enfin, Cassandra Cain, la quatrième Batgirl dans les comics, attend toujours d’être castée. Dans le script signé Christina Hodson (Bumblebee), le personnage n’aurait que douze ans.

En mai dernier, Margot Robbie - également productrice du film - racontait avoir « pitché l’idée d’une bande de filles dans un film R-rated incluant Harley, parce que le perso a besoin d’amis. Harley adore interagir avec les gens, donc il ne fallait pas faire un film standalone. Elle doit évoluer avec du monde autour d’elle (…) Je ne voyais pas assez de films de bandes de filles à l’écran, surtout dans le cinéma d’action ». 

En parallèle, un autre spin-off mettant en scène le Joker et Harley Quinn est toujours dans les tuyaux. Les scénaristes parlent d’un mélange entre This is Us et Bad Santa. Jared Leto et Margot Robbie seraient également de retour dans les rôles principaux.

Netflix vient de dévoiler la bande-annonce de They’ll Love Me When I’m Dead, un documentaire consacré à Orson Welles qui sera diffusé sur la plateforme à partir du 2 novembre 2018, soit la date de lancement de The Other Side of the Wind, le film inachevé du réalisateur de Citizen Kane.

Un double programme qui devrait ravir les cinéphiles : c’est Morgan Neville, qui a gagné un Oscar pour son autre docu 20 Feet From Stardom, qui a mis en scène They’ll Love Me When I’m Dead, à partir d’images d’archives. Son but est de retracer les 15 dernières années de la vie du cinéaste, soit pile la période durant laquelle il préparait The Other Sind of the Wind. 

Proposer ces deux programmes en parallèle est une excellente idée. Un conseil : mieux vaut regarder d’abord le documentaire, afin de connaître le contexte de création du film. Pour plus de détails, voici notre compte rendu de la présentation de ces deux projets lors de la dernière Mostra de Venise.

Un premier teaser étourdissant pour L'Empereur de Paris, nouveau long-métrage de Jean-François Richet qui retrace le parcours de François Vidocq, 17 ans après le biopic de Pitof porté par Gérard Depardieu. Des images qui nous emmènent dans les ruelles parisiennes du début du 19ème siècle où l'Arc de Triomphe n'est alors qu'au stade de sa construction (il sera inauguré en 1836) et où l'imperturbable brigand vengeur tente de se racheter une place dans la société.

Le film marque les retrouvailles entre le réalisateur et Vincent Cassel, trois ans après le remake Un Moment d'égarement, mais surtout 10 ans après l'autre oeuvre biographique qui les a réunis : le diptyque Mesrine. Aux côtés du comédien, un joli cast que l'on peut voir en partie dans ce teaser : Denis Ménochet, Fabrice Luchini, Olga Kurylenko ou encore Patrick Chesnais.

Victoire pour Rafiki, film remarqué à Cannes, qui sort ce mercredi en France, montrant l'histoire d'amour interdite entre deux femmes au Kenya. Le film réalisé par Wanuri Kahiu va finalement pouvoir être vu dans son pays d'origine. Jusqu'ici banni, la commission de classification a finalement accordé une exception de 7 jours, offrant la possibilité au public kenyan de voir le film, mais permettant aussi au film de pouvoir être pris en considération pour la course aux Oscars. 

"Je pleure. Dans un aéroport français. Une joie IMMENSE. Notre constitution est FORTE! Dites merci à la liberté d'expression !!!! NOUS L'AVONS FAIT. Suivez @rafikimovie"

"Grâce à la forte demande, @PrestigeCine a ajouté des séances pour Rafiki. Pensez à apporter votre pièce d'identité et profitez du film #SevenDaysOfRafiki "

De passage à Paris la semaine dernière, alors que l'interdiction n'avait pas encore été levée pour ces 7 jours, la réalisatrice nous avait confié sa tristesse que le film reste interdit au Kenya, pour le public mais aussi pour les Oscars : "C'est incroyablement décevant que notre film ne puisse pas être vu par le public premier auquel il s'adresse. C'était la chose la plus dure. De même que d'interdire le film, pour la commission de classification, c'était comme dire « ces gens n'existent pas. Les lesbiennes n'existent pas. Les relations entre personnes du même sexe n'existent pas et ne sont pas acceptées. C'est si inacceptable qu'on ne peut même pas en parler ». C'était la chose la plus dévastatrice, d'essayer de limiter la visibilité de ces personnes, que vous ne devriez pas être vus à cause de qui vous êtes. C'est la chose la plus atroce que vous pouvez faire à un être humain. (...) 

Pour les Oscars, le film doit nécessairement sortir dans le pays dont il provient, et le comité de sélection doit avoir la possibilité de voir le film, nous avait-elle précisé. Comme le film est banni au Kenya, le comité de sélection ne peut pas voir le film, et ainsi ne peut pas dire s'il le qualifie."

Rafiki sort sur les écrans français ce mercredi, date à laquelle vous pourrez retrouver notre entretien complet avec sa réalisatrice.

50 ans après l'uppercut que Sam Peckinpah avait asséné au cinéma, La Horde Sauvage est de retour ! Réputé pour sa violence extrême et pour les vives réactions qu'il avait provoquées à sa sortie, le célèbre western de 1969 bénéficiera d'un remake, dont la réalisation a été confiée à Mel Gibson. 

Egalement chargé de coécrire le scénario aux côtés de Bryan Bagby, le metteur en scène de Braveheart, de La Passion du Christ et de Tu ne tueras point, connu pour la brutalité et l'âpreté de son cinéma, semble en effet le candidat tout désigné pour redonner vie aux sanguinaires aventures de la Horde, et notamment au fameux bain de sang final. 

Pour rappel, le film de Sam Peckinpah suivait un groupe de hors-la-loi en fuite au Mexique, traqué par un ancien frère d'armes, après l'attaque d'une compagnie de chemins de fer.

Evoqué en 2011, un premier projet de remake avec Will Smith au casting avait été confié au regretté Tony Scott mais n'avait finalement jamais vu le jour. Avant de retrouver Pike Bishop et son gang dans le sud du Texas, Mel Gibson partira en Australie, où il doit d'abord tourner son prochain long métrage : Destroyer, qui reviendra sur les attaques kamikazes contre l'USS Laffey en avril 1945. 

En attendant de découvrir quels acteurs succèderont à William Holden, Ernest Borgnine, Edmond O'Brien et les autres sous les chapeaux de la Horde Sauvage, on se remate la mythique scène finale...

Visage familier des films d’action des années 1980 et 1990, Al Matthews nous a quittés ce dimanche 23 septembre 2018, nous apprend le site espagnol EFE. Il a été retrouvé par un voisin mort à son domicile de la province d’Alicante, dans le sud de l’Espagne, où il résidait depuis 2005. Vétéran du Viêt-Nam aux multiples décorations, il est surtout célèbre sur grand écran pour avoir joué le Sergent Apone dans Aliens de James Cameron.

Acteur, chanteur et ancien militaire, Al Matthews est né le 21 novembre 1942 à New York. Après avoir été chanteur de rues pendant quelques années, il s’engage dans les Marines et part pour le Viêt-Nam. Décoré à treize reprises pour ses services au combat (dont deux Purple Heart, distinction accordée au nom du Président des Etats-Unis aux soldats blessés ou tués sur le champ de bataille), il rejoint la Europe après la guerre.

Il fréquente brièvement le milieu de l’audiovisuel en France et enregistre en 1975 le single "Fool" qui atteint les dix premières places des charts dans plusieurs pays d’Europe. Sa carrière cinématographique commence à la fin des années 1970 avec de nombreuses figurations, notamment dans Le Lion sort ses griffes de Don Siegel (1980), dans Ragtime de Milos Forman (1981) et dans Superman III de Richard Lester (1983).

Son plus célèbre rôle sera celui du Sergent Apone, chargé de réveiller l’équipage de l’USS Sulaco, plongé dans un sommeil cryogénique, dans Aliens de James Cameron. L’occasion de démontrer sa légendaire rhétorique militaire fleurie : "Alors, mes cailles, vous attendez quoi ? Votre café au pieu ? Encore une jolie journée de soleil !" Il reprendra d’ailleurs son rôle vingt-sept ans plus tard, le temps d’enregistrer une voix pour le jeu vidéo Aliens: Colonial Marines en 2013.

Al Matthews avait aussi su taper dans l’œil de Luc Besson, qui l’avait engagé pour jouer le rôle du Général Tudor dans Le Cinquième Elément. Il n’est plus apparu sur un écran de cinéma depuis une figuration dans l’épisode de James Bond Demain ne meurt jamais avec Pierce Brosnan, tourné par Roger Spottiswoode en 1997.

Installé au Royaume-Uni, il s’est finalement retiré dans le sud de l’Espagne, dans la province d’Alicante, en 2005. Il y résidera jusqu’à sa mort le 23 septembre 2018, à l’âge de 75 ans.

Quinze ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les agences de renseignement et de sécurité intérieure israéliennes échafaudent une mission secrète afin de capturer le tristement célèbre Adolf Eichmann. Déclaré mort lors du chaos qui a suivi la chute de l’Allemagne nazie, il vit et travaille désormais sous une nouvelle identité dans la banlieue de Buenos Aires en Argentine avec sa femme et ses deux fils… Tel est le point de départ d’Opération finale, film tiré d’une triste histoire vraie que Netflix mettra en exclusivité sur sa plateforme le 3 octobre prochain.

Cette bande-annonce, efficace à souhait avec une montée en puissance à la fin, nous montre un Ben Kingsley méconnaissable en criminel de guerre nazi (lui qui a joué un comptable juif dans La Liste de Schindler). Ce caméléon du cinéma est terrifiant dans ce rôle tant il paraît détaché. Outre Oscar Isaac, par ailleurs producteur, nous retrouverons aussi au casting la française Mélanie Laurent, qui revient traquer du nazi après Inglourious Basterds. Opération finale est réalisé par Chris Weitz (Pour un garçon, Twilight 2), Alexandre Desplat signe la bande-originale.

Ces derniers jours, tous ceux qui attendaient des nouvelles de Joker, le prochain film de Todd Phillips racontant les origines du célèbre super-vilain de DC, ont été servis. Après des photos montrant Joaquin Phoenix sans maquillage, ce sont ensuite des images dévoilant l'acteur maquillé en Joker qui ont été mises en ligne avant qu'une vidéo dans laquelle il se baladait dans le métro new-yorkais ne finisse aussi par sortir ! 

Aujourd'hui, Todd Phillips dévoile sur son compte Instagram un autre personnage de son Gotham, celui de Sophie Dumont, une mère célibataire à laquelle  Arthur Fleck, futur Joker, devrait être très attaché. Dans le film, ce personnage essentiel, qui n'existe pas dans les comics, est campé par Zazie Beetz, que l'on a pu voir précédemment dans le rôle de la mutante Domino dans Deadpool 2 mais également dans Atlanta, la série de Donald Glover. En 2020, Zazie Beetz reprendra d'ailleurs le rôle de Domino à l'occasion de X-Force, spin-off de la saga X-Men. 

Un cliché très sobre qui vient donc rejoindre la multitude de photos déjà mises à disposition des fans, autant par les paparazzis que par Todd Phillips lui-même. Comme le dévoile Deadline, le réalisateur s'est d'ailleurs récemment expliqué de cette avalanche d'images, dont certains semblaient déjà faire une overdose : "Voilà le problème. Nous trouvons des paparazzis partout sur nos plateaux, à chaque coin de rue. Et cela me fatigue qu'ils fassent constamment fuiter de mauvais clichés. Alors, je me suis dit : 'Autant que j'en fasse sortir moi-même de bons".

Se déroulant dans les années 80, le long-métrage, dont la sortie en salles est prévue au 04 octobre 2019, pourra également compter sur la présence de Robert de Niro, Frances Conroy ou encore Marc Maron.