Les défilés se suivent mais ne se ressemblent pas à la Fashion Week Paris.
Alors que dimanche les femmes fatales de Donatella Versace étaient les stars de la semaine fashion, et qu'hier, c'est Carla Bruni qui a brillé lors de la présentation Schiaparelli, aujourd'hui, nouveau jour-nouvelle reine, et c'est la divine Diane Kruger qui a illuminé la Ville-Lumière.

En effet, à l'occasion de la présentation de la nouvelle collection Haute-Couture printemps/été 2016 de la maison Chanel qui s'est tenue ce matin au Grand Palais, en plein coeur de la capitale française, on a pu croiser une multitude de stars internationales, de fashionistas, et des membres de la jeune garde du cinéma français.

Ainsi, pour découvrir les nouvelles créations du grand Karl Lagerfeld, s'étaient notamment précipitées les ravissantes Cara Delevingne (bientôt dans Suicide Squad et actuellement en tournage du Valerian de Luc Besson), Marine Vacth, Laura Smet, Christa Theret, ou encore Clémence Poesy, alors que la divine Diane Kruger a débordé de charme dans une tenue très courte qui a attiré tous les regards.

Le créateur allemand de la maison de luxe française a présenté une nouvelle collection d'une richesse inouïe, qu'il qualifie : "La Haute-Couture est le luxe extrême. Elle relève de la patience, et en même temps de la modernité, du contemporain. La Haute-Couture est l'emblème absolu du raffinement et de la beauté de l'artisanat. C'est sa splendeur et sa magie." Une magie que le styliste a superbement retranscrite à travers cette collection qui n'aura laissé personne indifférent.

Après Coco Chanel et Yves Saint Laurent, c'est la vie d'un autre couturier emblématique qui va avoir droit à son biopic. 
Alexander McQueen, le styliste britannique décédé en 2010 (suicide), fascine toujours autant, plus de 5 ans après sa mort. Et après le succès de plusieurs livres, reportages et l'exposition Savage Beauty à Londres sur son audace et son style, un film sur sa vie mouvementée devrait voir le jour d'après le site Deadline. 

Selon les premières infos, la production du biopic commencera à la fin de cette année et la réalisation est confiée au britannique Andrew Haigh, dont le dernier film 45 ans avec Charlotte Rampling est nommé aux Oscars 2016 (dans la catégorie Meilleure Actrice).

L'ensemble du biopic reposera sur une adaptation de l'ouvrage Blood Beneath The Skin, une biographie décriée consacrée au créateur britannique, signée Andrew Wilson.
Produit par Damian Jones et Pathé, le film sera scénarisé par le jeune dramaturge Chris Urch.
Aucun nom d’acteur n’a encore filtré pour incarner le couturier disparu.

Alexander McQueen, longtemps surnommé "l’enfant terrible de la mode" ou encore "le Hooligan de la mode anglaise" a commencé sa carrière à l’âge de 16 ans, il accède à la Haute Couture dans les années 90 et s'est illustré tout au long de sa brillante carrière - en tant que directeur artistique de Gvivenchy ou à la tête de sa propre maison - pour son côté rebelle, provocateur, punk et déjanté.

Le couturier britannique a mis fin à ses jours à l'âge de 40 ans en 2010, quelques jours seulement après son dernier défilé à Londres.

Lors des Producers Guild Awards, décernés samedi 23 janvier par le syndicat des producteurs, Shonda Rhimes a reçu un prix pour l'ensemble de sa carrière.

La créatrice des séries Grey's Anatomy, Scandal et How to get away with murder a reçu le Prix Norman Lear et en montant sur scène pour donner son discours de remerciements, elle a tout naturellement rebondi sur la polémique qui agite la sphère hollywoodienne : la question du manque de diversité aux Oscars.

"Ce n'est pas avant-gardiste d'écrire le monde tel qu'il est vraiment", a affirmé la scénariste et réalisatrice de 46 ans, qui fait référence au fait que ses séries mettent en avant des héroïnes noires et qui dit avoir écrit "sur ce qu'elle voulait voir et sur ce qu'elle connaissait comme normal". "En fait, vous me donnez un award pour être ce que je suis, et dans ce cas, je le mérite totalement. Vraiment, je suis honorée de le recevoir. Votre respect vaut tout l'or du monde. Mais ça me rend juste un peu triste. D'abord, écrire à propos de femmes fortes et de personnes de couleur complexes est quelque chose que Norman Lear faisait déjà il y a 40 ans. Alors comment sommes-nous revenus autant en arrière ?"

Shonda Rhimes ironise ensuite : "J'ai, envers et contre tous, courageusement été la pionnière dans l'art d'écrire à propos des gens de couleur comme s'ils étaient des êtres humains. J'ai bravement casté des acteurs qui étaient les meilleurs. J'ai défié ABC sans peur quand ils ont approuvé le fait qu'Olivia Pope devait être noire."

La showrunner s'interroge ensuite sur ce qui freine les studios et les investisseurs : "Qu'est-ce qu'on attend ? Je vais vous le dire, on est dans une pièce remplie de producteurs, alors peut-être que vous attendez de l'argent. Clairement, c'est de l'argent".

L'année commence bien pour David Duchovny.

Alors que la dixième saison de la série X-Files fait un retour en force aux Etats-Unis, en attendant d'être diffusée sur M6, l'acteur de 55 ans vient de recevoir son étoile sur le mythique Walk of Fame.

L'interprète de l'agent Fox Mulder dans la série de SF culte des années 90, qui a ensuite tenu le rôle principal de Californication pendant sept ans, a été intronisé sur le marbre de Hollywood Boulevard, aux côtés des plus grands noms du Septième Art et de l'art en général. C'est seul que l'acteur a inauguré son étoile, son éternelle associée Gillian Anderson alias Dana Scully étant absente.

Si la flamboyante rousse devenue blonde n'a pas pu faire le déplacement, elle a adressé un message hilarant à son partenaire, lu pendant la cérémonie. "C'était un homme gentil. Un homme bon. Assez intelligent. Il aimait les avocats et le Pilates. Un acteur, un écrivain, un ami. Son étoile brillera toujours pour moi. Que son âme soit pardonnée et qu'il repose en paix", a écrit l'actrice de 47 ans, façon éloge funèbre.

La vraie question : Gillan Anderson aura-t-elle aussi son nom gravé sur le Walk of Fame ? Devra-t-elle se contenter d'une demi-étoile ? Le salaire de l'actrice pour la dixième saison de X-Files a fait polémique après que plusieurs médias ont révélé que la production souhaitait à l'origine la payer moitié moins que David Duchovny.

Cinq ans après la fin de Hannah Montana, l'ancienne star Disney devenue icône de la pop trash, Miley Cyrus, va retrouver le chemin du petit écran pour une série... assez différente. Dans ce qui est certainement l'annonce de casting la plus improbable de l'année, on apprend en effet aujourd'hui que la chanteuse/actrice a été recrutée par Woody Allen, pour jouer l'un des premiers rôles de la série qu'il développe actuellement pour Amazon.

Selon Deadline, le cinéaste new-yorkais aurait aussi casté Elaine May, qu'il a déjà dirigé en 2000, dans son film Escrocs mais pas trop (avec aussi Hugh Grant). On ne sait pas encore exactement de quoi parlera la toute première série de Woody Allen, mais on sait qu'elle se déroulera dans les années 1960 et qu'elle comportera 6 épisodes, tous écrits et réalisés par le maître.

En tout cas, on a déjà hâte de voir ce qu'il fera de Miley Cyrus... Rappelons que, depuis son départ de Disney Channel, la jolie blonde de 23 ans, a été vue dans plusieurs épisodes de Mon oncle Charlie et dans le show A Very Murray Christmas, le mois dernier, sur Netflix.

Deux jours après avoir inauguré en grande pompe sa résidence à Las Vegas, en présence de Ray Liotta ou Rosie Huntington-Whiteley, Jennifer Lopez a vécu son premier moment de solitude sur la scène du Planet Hollywood.

La combinaison ultra-moulante et recouverte de paillettes de la star de 46 ans a craqué alors qu'elle se produisait devant un parterre de fans, dans le cadre de son spectacle All I Had, où elle reprend les plus grands tubes de sa carrière. Samedi 23 janvier, l'actrice et chanteuse porto-ricaine a eu la mauvaise idée de remercier son public en lui adressant une révérence. Erreur ! Lorsque la bomba latina s'est penchée, son costume Michael Costello a craqué, laissant s'échapper son légendaire fessier.

Mais il en faut plus pour troubler J-Lo, qui l'a jouée "Show must go on". Professionnelle jusqu'au bout des faux ongles, l'héroïne de la nouvelle série policière Shades of Blue (qui sera bientôt diffusée sur France 2) a continué de remercier le public en délire, enchaînant les courbettes.

Jennifer Lopez se produira à Las Vegas jusqu'au 9 février avant de s'accorder un break et de revenir brûler la scène du Planet Hollywood du 22 mai au 12 juin 2016.

La tracklist du show All I Have :

If You Had My Love
Get Right
I'm Real (remix)
Jenny From The Block
Love Don't Cost A Thing
Girls' / 'If You Had My Love
Booty
Hold It Don't Drop It
Ain't It Funny (remix)
All I Have
Feel The Light
I Hope You Dance
Celia Cruz Tribute
Quien Sera
Let's Get Loud
TENS
Waiting For Tonight
Dance Again

Les défilés se suivent mais ne se ressemblent pas à la Fashion Week Paris.
Alors que dimanche les femmes fatales de Donatella Versace étaient les stars de la semaine fashion, nouveau jour-nouvelle reine, aujourd'hui c'est l'ex Première Dame de France qui trône.

Invitée au défilé haute couture Schiaparelli, Carla Bruni-Sarkozy était la star de la maison qui recevait place Vendôme à Paris, dans ses locaux historiques, pour présenter sa collection intitulée "Un dîner de gala ou les plaisirs du goût".
Après avoir paradé sur le tapis rouge - mais rose - posant avec plaisir pour les photographes, la chanteuse et actrice (Midnight in Paris de Woody Allen) a pris place au premier rang ne cachant pas sa joie à chaque passage des 43 modèles de la collection.
Très complice avec le créateur Christian Louboutin, Carla Bruni-Sarkozy a aussi fait copine-copine avec l'actrice Kate Bosworth, la styliste Camille Seydoux (et sœur de Léa Seydoux), Valérie Lemercier et la papesse de la mode, Anna Wintour.

La grossesse, ce moment magique où le ventre de la femme resplendissante s'arrondit, où elle sent bouger en elle le bébé qui viendra agrandir sa famille - ça, c'est la version idéale de la chose. Si les neuf mois d'attente ne sont pas un bonheur total pour certaines femmes - nausées, difficultés pour dormir, se déplacer et on en passe -, ils ne sont pas non plus le pied total chez les futurs papas. Et ce n'est pas Omar Sy qui va dire le contraire.

De passage sur France 2 sur le plateau de Vivement Dimanche et Vivement Dimanche prochain - deux émissions présentées par Michel Drucker -, le comédien césarisé en 2012 pour Intouchables est revenu sur ses frustrations ressenties lors des quatre grossesses de sa femme, Hélène Sy. "J'étais jeune donc la jeunesse fait qu'il y a un truc inconscient. On ne sait pas ce qu'il nous attend. On se dit juste : 'C'est génial, je vais être papa.' Moi j'étais très heureux, je voulais absolument une fille et j'ai eu une fille. J'étais très content de changer des couches. (...)", explique-t-il en préambule.

"J'ai assisté aux quatre accouchements, ce n'était pas possible de ne pas être là. Déjà pendant neuf mois, on est au chômage, on ne fait rien du tout. Il ne se passe rien pour nous. Moi j'avais envie d'être là. Pendant neuf mois, il se passe des trucs. 'Oh, il a bougé, je le sens.' Et toi tu es là : 'Oui, bravo.' On met la main, on ne sent rien. On met l'oreille, on n'entend rien. Pour les quatre... Mais on dit : 'Oui ! C'est super ! T'as entendu ça ?!'", poursuit-il.

La belle déclaration de sa femme

Marié depuis juillet 2007 à Hélène Sy qui préside l'association Cékedubonheur - un organisme qui oeuvre pour améliorer le quotidien et la prise en charge dans les hôpitaux des enfants et adolescents malades -, Omar Sy a eu droit sur France 2 a une belle déclaration de celle qui lui a donné quatre enfants. "Il s'est passé quelque chose de particulier en tout cas. Et on s'est toujours dit après, avec un peu de recul, qu'on avait le sentiment de s'être connus dans une autre vie en fait"

Je le trouve très humble déjà, c'est une grande qualité chez lui. Je le trouve particulièrement intelligent, généreux et je trouve qu'il fait bien le distinguo entre son métier et sa vie privée. C'est aussi pour ça que ça se passe si bien entre nous, en famille", a-telle confié sur celui qui revient au cinéma le 3 février prochain dans Chocolat de Roschy Zem.

Fidèle à son sulfureux style, Donatella Versace a donné hier à Paris le coup d'envoi des défilés en offrant à la capitale un show des plus sexy, des plus glamours et des plus séducteurs.

Broderies transparentes, sangles cordes et harnais, talons aiguilles et fentes aguicheuses, la femme printemps-été 2016 sera "Athletic Couture" à en croire l'intitulé du défilé.
Et si certaines robes - dont le prix ne descend pas en dessous de 10 000 dollars - ont necessité plus de 350 heures de travail, d'assemblage et de couture, il n'aura fallu à Rita Ora qu'une seconde pour attirer tous les regards.
Portant une création de la maîtresse de maison, la star a fait sensation en arrivant très peu vêtue, dévoilant avec plaisir les courbes de son body. Audacieusement moulée et dévoilée dans une robe de cuir aux découpes très osées, l'actrice de 50 Nuances de Grey a créé l'émoi.

Sur le runway, la maison Versace pouvait compter sur quelques-uns des top models les plus en vue du moment, comme l'Américaine Gigi Hadid, la sculpturale Rosie Huntington-Whiteley sans oublier la séductrice Irina Shayk.

"Je ne comprends pas que, quand on gagne sa vie dans un pays aussi bien, de manière aussi privilégiée, on n'ait pas envie de payer pour la Poste, les pompiers, les infirmières, la police. Moi, j'adore payer pour ça", assure le comédien, actuellement à l'affiche des Chevaliers Blancs, inspiré de l'affaire de L'Arche de Zoé.

Questionné par des lecteurs du Parisien, l'acteur récompensé au Festival de Cannes pour La Loi du Marché a donné son avis sur la question de l'évasion fiscale de certains acteurs français et, comme à son habitude, il n'a pas peur de dire ce qu'il pense : "Ou alors, si tu pars, il y a des choses à donner en échange. Tu me rends la Légion d'honneur, car c'est un peu un déshonneur de nous quitter. La Sécurité sociale, terminée, et tu ne rentres plus dans les musées nationaux et je contrôle ton entrée en France. Ce que je n'aime pas, c'est le fait de partir sans être parti", s'indigne-t-il pointant du doigt des intéressés qui se reconnaîtront sans mal.

Mais n'y a-t-il vraiment aucun intérêt à quitter la France ? "Sûrement monétaires, mais cérébraux, non. C'est ma tête qui m'intéresse, c'est mon cœur. Ce n'est pas mon portefeuille", conclut Vincent Lindon.