Julianne Moore vient de rejoindre le mouvement #IDO et apporte son soutien en vidéo à la campagne de l'organisation Lambda Legal pour promouvoir l'égalité des droits des LGBT. 

A la fin du mois de juin, la Cour Suprême des Etats-Unis se prononcera sur le droit au mariage homosexuel dans tout le pays, actuellement autorisé dans 37 états sur 50.
Débat d'actualité aux States, l'organisation Lambda Legal, l'une des plus grandes associations légales de défense des droits des lesbiennes, gays et séropositifs, a demandé à Julianne Moore de prêter sa célébrité, sa voix et son influence pour aider à la promulgation d'une loi autorisant l'ensemble des homosexuels du pays à se marier et défendre les droits LGBT.

Dans une vidéo poignante, l'actrice oscarisée explique en une minute pourquoi "quelle que soit la déci­sion (de la Cour suprême), le combat doit conti­nuer", affirme que la lutte pour la défense des droits des lesbiennes, gays et séropositifs est un combat au quotidien, évoque les violences de la discrimination et encourage les Etats-Unis à se sensibiliser à sa cause, l'égalité pour tous : "On conti­nuera à se battre jusqu'à ce que nous soyons tous vraiment égaux. On peut faire mieux. Rejoi­gnez-moi et dites '#IDO' (je le veux)".

Ce n'est pas la première fois que l'actrice de 54 ans s'engage dans la lutte pour les droits des LGBT : "Tout le monde a le droit de se marier avec la personne qu'il aime et de construire une famille (…) je ne peux pas croire qu'il a fallu si long­temps pour recon­naître cela" déclarait-elle déjà en 2011.

Côté ciné, Julianne Moore sera prochainement à l'affiche du dernier volet de la trilogie Hunger Games, en salles le 18 novembre 2015.

Sorti en 1999, Sexe Intentions (Cruel Intentions en VO) est un film culte qui a marqué toute une génération d'adolescents et qui a catapulté Sarah Michelle Gellar, Ryan Phillippe et Reese Witherspoon dans le star-system.

16 ans plus tard, les héroïnes de cette libre adaptation des Liaisons Dangereuses de Choderlos de Laclos se sont réunies. Sarah Michelle Gellar, Reese Witherspoon et Selma Blair ont assisté hier à la comédie musicale parodique The Unauthorized Musical Parody of Cruel Intentions au Rockwell Table & Stage, à Los Angeles.

Le trio a immortalisé la soirée retrouvailles en prenant de nombreux clichés et en les postant sur les réseaux sociaux.

Alors qu'elles n'ont plus rien d'adolescentes désireuses d'explorer leur sexualité - on se souvient tous du baiser lesbien entre la star de Buffy contre les Vampires et Selma Blair - les trois actrices ont bien vieilli. Sarah Michelle Gellar semble avoir la nostalgie pour cure de jouvence : il y a quelques jours, l'ex-chasseuse de vampires désormais âgée de 38 ans a participé à une autre séquence retrouvailles avec Alyson Hannigan, qui jouait sa copine Willow dans la série à succès.

Hier, les stars de Sexe Intentions ont manifestement préféré rester entre filles car il n'en manquait qu'un, mais pas des moindres : le troublant Ryan Phillippe, 40 ans, qui a été marié à sa partenaire Reese Witherspoon de 1999 à 2007.

On peut être très à l'aise devant la caméra d'un réalisateur et nettement moins à l'aise devant celles d'une émission de télévision. L'actrice Vimala Pons en a fait les frais, alors qu'elle venait promouvoir sur le plateau du Grand Journal la sortie du dernier film de Bruno Podalydès, Comme un avion. Accompagnée pour l'occasion des deux autres interprètes féminines principales du film Sandrine Kiberlain et Agnès Jaoui, l'égérie du nouveau cinéma d'auteur français, révélée notamment par La fille du 14 juillet d'Antonin Peretjatko a connu un baptême du feu un peu compliqué.

Visiblement angoissée par cet exercice nouveau, l'actrice par ailleurs artiste de cirque a eu beaucoup de mal à répondre aux questions, pourtant très cordiales, d'Antoine de Caunes et son équipe. Et à chaque magnéto lancé, on a pu l'entendre prise d'une crise de hoquet qui a fait sourire tout le monde autour de la table. Discrètement réconfortée par ses partenaires, la jeune Vimala est tout de même allée jusqu'au bout de l'interview, qui a pris au final une tournure gentiment loufoque, à l'image du film de Podalydès où elle incarne une serveuse de nom de Mila.

Alors que la dernière représentation de sa pièce de théâtre Le Placard est diffusée ce soir sur D8, Elie Semoun s'est exprimé dans les colonnes du Figaro et dénonce le racisme en France.

Après 200 représentations, dont 80 dates en province, la pièce Le Placard sera jouée pour la dernière fois ce soir à Paris et sera retransmise en direct sur la chaîne D8. Elie Semoun qui partage la scène avec Laurent Gamelon, Phillipe Magnan et Zoe Felix y joue un employé d'une usine de préservatifs, sur le point d'être licencié qui pour éviter de perdre son emploi se fait passer pour un homosexuel, sur les conseils d'un de ses voisins. "Tout a une fin: on ne pouvait espérer mieux qu'un direct à la télé. C'est excitant, même si ça fait un peu peur" commente le comédien.
Elie Semoun enchaînera ensuite avec son one-man-show À partager dans lequel il aborde des thèmes d'actualité comme "la pédophilie, l'homosexualité, les djihadistes, un conseil municipal avec le FN. Des sujets un peu brûlants" reconnait-il. L'occasion pour lui de revenir dans Le Figaro sur le climat ambiant de la France en ce moment.
"Je trouve que la société est vachement violente. Je me sens agressé: on vit malheureusement dans un pays de racistes - maintenant ça me semble clair - et ça me choque. En fait, ce qui me fait peur, c'est la bêtise: la mienne et celle des autres!" explique-t-il.
L'acteur de 51 ans n'a pas peur des mots et affirme qu'aujourd'hui la France est devenue un pays raciste : "Petit à petit se sont infiltrées dans la société française ces idées démagogiques qui prônent que l'étranger est un danger. En 1982-1983, tous les intellectuels se levaient contre ces idées, et, vingt ans après, on s'aperçoit qu'elles sont complètement banalisées. Les gens n'ont plus honte de passer à la télé à visage découvert pour dire: 'Oui, je vote Front national', 'Oui, je pense qu'il y a trop d'Arabes', 'Oui, je pense que la religion musulmane est une religion dangereuse'" analyse-t-il. A qui la faute ? "Au Front national. Quand un parti politique dit ce que soi-disant on pense tout bas, beaucoup en déduisent qu'il n'y a plus de problème et qu'on peut répéter ces conneries" conclut-il sans hésiter.

Fantasme cinématographique, sex symbol de l'industrie du septième art, Jessica Alba peut se vanter d'avoir un body des plus sexy à Hollywood. Et pourtant l'actrice de 34 ans révèle dans les colonnes de Shape Magazine ne pas être à l'aise avec son corps. Pas satisfaite de son apparence, Jessica Alba a appris à aimer ses courbes grâce à... ses deux grossesses.

"Je me suis réap­pro­priée mon corps de femme, alors que ce n'était pas le cas avant" expliquait-elle déjà en guise d'introduction l'été dernier à E!News. Aujourd'hui à la revue américaine Shape, l'actrice de Sin City confirme son manque de body-confiance : "Je n'aimais pas mon corps" révèle-t-elle.
Mais depuis qu'elle est maman, de deux filles, Jessica Alba s'assume enfin : "Je n'aimais pas vrai­ment mon corps... pas avant d'avoir des enfants, mes deux filles Honor et Haven. Je me sens mieux dans ma peau depuis qu'elles sont nées. Et puis, si je veux qu'elles soient à l'aise avec leur corps, je dois montrer l'exemple" explique-t-elle.
Maman en 2008, puis en 2011, l'actrice hollywoodienne est aujourd'hui (enfin) consciente de sa sex-attitude : "Mon corps est plutôt athlé­tique, ça vient des entraî­ne­ments d'arts martiaux, de gymnas­tique, de danse et de puis­sance que j'ai dû faire pour les tour­nages de Dark Angel. Ça m'a rendue forte et ça a placé la barre très haut", conclut-elle.

Aujourd'hui réconciliée avec son image et fière de se dévoiler dans le clip hot de Taylor Swift, Jessica Alba concède néanmoins, entre toutes ses séances de sport, un péché mignon : "Je suis accro au popcorn" confesse-t-elle, "J'en mange tout au long de la jour­née ! J'ai toujours mille pensées en tête et mille choses à faire en même temps, et manger du popcorn m'aide à me concen­trer. C'est ma façon à moi d'empê­cher mon esprit de s'épar­piller".

Dernièrement à l'affiche de Sin City : J'ai tué pour elle, Jessica Alba s'illustrera prochainement sur grand écran dans Dear Eleanor de Kevin Connolly, donnera la réplique à Emily Ratajkowski dans Entourage, s’essayera au film d'horreur dans The Veil et partagera l'affiche avec Jason Statham dans Mechanic : Resurrection.

Hier, mercredi 27 mai, Natalie Portman est retournée sur le campus de la prestigieuse université d'Harvard, où elle a été étudiante, afin d'y donner un discours.

La star de 33 ans a intégré l'établissement en 1999, alors qu'elle avait déjà joué dans Léon, Heat, Tout le monde dit I Love You et Mars Attacks!. Et comme elle l'a révélé dans son speech passionné, cette période a été particulièrement difficile pour elle.

Alors qu'elle encourageait les étudiants à prendre des risques et à s'affirmer, la superbe égérie Dior a reconnu qu'elle manquait terriblement de confiance en elle à l'époque : "Quand je suis arrivée en tant que première année en 1999, j'avais l'impression qu'il y avait eu une erreur. Que je n'étais pas assez intelligente pour être parmi ces gens-là, qu'à chaque fois que j'allais ouvrir a bouche, il faudrait que je prouve que je n'étais pas qu'une actrice stupide."

Natalie Portman, qui a reçu un Oscar pour sa performance dans Black Swan, insiste sur la dépression qui a rongé ses années étudiantes, qu'elle qualifie de "période sombre".

"C'est facile d'avoir une vision romantique des années passées ici mais j'ai eu des moments très difficiles aussi. La combinaison entre le fait d'avoir 19 ans, de devoir gérer mon premier chagrin d'amour, de prendre une pilule contraceptive qui a depuis été retirée du marché pour ses effets secondaires dépressifs, de passer trop de temps sans voir la lumière du jour en hiver, tout ça m'a amené à avoir des moments assez sombres, particulièrement durant ma première année", confie la star israélo-américaine.

Décrivant la déprime qui touche beaucoup d'étudiants, elle se souvient : "A plusieurs occasions, je me suis mise à pleurer devant les professeurs, submergée par ce que j'étais censée accomplir alors que j'arrivais à peine à quitter mon lit le matin". Mais Natalie Portman a su tirer un enseignement positif de ce challenge, qu'elle a partagé hier devant les futurs diplômés : "Vous ne pouvez jamais être le meilleur. La seule chose que vous pouvez faire, c'est développer le meilleur de vous-mêmes. Profitez du fait que vous ne doutez pas trop de vous-mêmes aujourd'hui. Car quand on prend de l'âge, on devient plus réaliste et ce réalisme est impitoyable."

Le distributeur français de La Forêt des songes vient d'annoncer que la date de sortie du film a changé. Initialement prévu pour le 5 septembre 2015, le dernier film de Gus Van Sant a été repoussé à une date indéterminée en 2016. Cela fait donc un report de quatre mois minimum. La Forêt des songes raconte l'errance dans une forêt japonaise réputée pour accueillir des prétendants au suicide de deux hommes, un Américain (Matthew McConaughey ) voulant oublier la mort de sa femme (Naomi Watts) et un Japonais (Ken Watanabe) voulant mettre fin à leurs jours.

Evidemment, on ne peut pas s'empêcher de penser que cette annonce a quelque chose à voir avec le véritable lynchage critique subi par le film lors de sa présentation en sélection officielle au dernier Festival de Cannes. L'unanimité a été aussi totale que celle autour de Mad Max Fury Road -dans une autre direction, évidemment. Le site Vulture a élu la Forêt des songes "meilleur punching ball du Festival", et chez Première nous l'avons désigné comme "le pire film de Gus Van Sant" (voir notre critique ici) tout en étant perplexes face à la performance caricaturale de McConaughey.

Si le film sort aussi en 2016 aux Etats-Unis (il n'avait pas encore de date de sortie fixée là-bas), cela signifie en tous cas que le studio Lionsgate refuse de miser le moindre koku sur les chances de La Forêt des songes dans la course aux Oscars et aux Golden Globes.

Lena Dunham n'est pas vraiment connue pour faire dans la langue de bois et quand le magazine Hollywood Reporter réunit les nouvelles stars féminines de la télé US, la créatrice de Girls parle de sexe avec plaisir.

Elle confie ainsi que, sur le tournage de sa série, tout le monde a pris l'habitude de voir son intimité, qu'elle ne cache même plus ! "J'ai arrêté de porter ces patchs (que les acteurs utilisent pour cacher les parties intimes NDLR) après la première saison de Girls. Il n'y a pas un seul mec bossant sur le show qui n'a pas vu l'intérieur de mon vagin" lance ainsi l'actrice en rigolant.

Elle explique : "Vous devez coller ce patch au-dessus de votre vagin mais il devient mouillé de sueur et donc il tombe tout le temps. A la fin, mes partenaires masculins ne s'en souciaient plus".

La comédienne de 29 ans a d'ailleurs fait parler d'elle cette semaine en postant une photo d'elle en lingerie sur Instagram, pour exprimer son plaisir d'être "libre".

La saison 5 de Girls est attendue sur HBO en 2016. En France, la série est diffusée sur les chaînes du bouquet OCS et sur Canal+.

Les fils d'Audrey Hepburnse livrent aujourd'hui une bataille judiciaire. En cause : l'héritage de leur mère.

L'icône d'Hollywood, Audrey Hepburn, célèbre notamment pour son Breakfast at Tiffany (Diamants sur canapé) et son inégalable sens de l'élégance et d'un chic particulier, a laissé derrière elle à sa mort un trésor d'objets personnels - chapeaux, foulards, bijoux, affiches de ses films cultes (Guerre et Paix, My Fair Lady), costumes, photos, scripts et récompenses (elle est l'une des rares actrices a avoir reçu un Grammy Award, un Emmy, un Tony Award et un Oscar)- destiné à ses deux fils, Sean Ferrer issu de son premier mariage avec l'acteur Mel Ferrer et Luca Dotti de son deuxième, avec un psychiatre italien.

Mais aujourd'hui les deux enfants de l'actrice nés de pères différents se déchirent pour s'approprier cet héritage inestimable rapporte aujourd'hui le site TMZ.
Selon leurs informations, Audrey Hepburn n'aurait jamais clairement établi de testament attestant des donations exactes pour chacun.
Les deux fils, âgés de 54 et 45 ans, n'arrivant pas à se mettre d'accord, estimant chacun que chaque objet leur revient de droit - de par la valeur sentimental (et pécuniaire) des souvenirs -, c'est aujourd'hui à la justice américaine de trancher.

En attendant la décision du juge de Californie, les biens de l'actrice décédée d'un cancer à l'âge de 63 ans sont entreposés dans un coffre fort à Los Angeles.

La mère de Ben Stiller, l'actrice américaine Anne Meara, est décédée samedi 23 mai, à l'âge de 85 ans. Alors que toute la famille Stiller s'est exprimée dans un émouvant communiqué de presse - "La famille est profondément attristée d'annoncer la mort de leur bien-aimée Anne Meara, morte la nuit dernière à l'âge de 85 ans. Elle laisse derrière elle son mari et partenaire de vie Jerry Stiller, auquel elle était mariée depuis 61 ans et avec lequel elle collaborait depuis à peu près autant d'années. La mémoire d’Anne vit dans le cœur de sa fille Amy, de son fils Ben, de ses petits-enfants, de sa famille et de ses amis, et des millions de personnes qu’elle a diverties en tant qu'actrice, scénariste et comédienne" - Ben Stiller a rendu un hommage personnel à sa maman.

Sur son compte Instagram, l'acteur de Mary à tout prix qui tourne actuellement Zoolander 2, la suite de sa comédie barrée sur l'univers de la mode, a partagé une photo de sa mère dans sa jeunesse. Le cliché en noir et blanc et accompagné d'un message sobre et touchant : "Ma mère, Anne. C'était une personne extraordinaire. Elle me manque".

Ben Stiller a également remercié ses fans sur Twitter pour le soutien qu'ils lui ont témoigné dans cette épreuve : "Un immense merci pour tous vos gentils mots à propos d'Anne. Notre famille est si chanceuse de l'avoir eu dans notre vie."

Actrice, réalisatrice et scénariste (The other woman, en 1984, coécrit avec Lila Garret et récompensé d'un prix littéraire de la Writers Guild), Anne Meara s'est illustrée dans différents genres tout au long de sa carrière : du drame à la comédie, du petit écran (Sex and the City, Archie Bunker's Place, Un gars du Queens, La Force du Destin) au cinéma (En route vers Manhattan, La nuit au musée, Génération 90), elle a été nommée aux Golden Globes pour son rôle dans le feuilleton Rhoda ainsi qu'aux Emmy Awards.