• Phil Collins très déçu par la condes­cen­dance de Paul McCart­ney

    Phil Collins très déçu par la condes­cen­dance de Paul McCart­ney

    Sept ans d’ab­sence et autant de réflexion alors quand il s’agit de répondre à une inter­view, Phil Collins se livre sans détour, et fait l’aveu de ses faiblesses qui ont failli lui coûter la vie. Car sous la bonho­mie appa­rente de l’au­teur d’“Another day in para­dise“ se cache un homme blessé qui vient de remon­ter lente­ment la pente. 

    Le chan­teur de 65 ans vient en effet, à l’oc­ca­sion de son come-back musi­cal, de confier au Sunday Times, le pourquoi de son si long silence : des problèmes de santé, de dos notam­ment car son corps a long­temps été mis à l’épreuve par l’al­cool à haute dose.

    L'artiste britan­nique révèle en effet qu'il buvait autre­fois “de la vodka à même la bouteille pour le petit déjeu­ner“ et qu'il lui est arrivé d'être “trans­porté d'urgence en avion des îles Turques-et-Caïques vers New York après avoir trop consommé d'alcool“ pendant qu'il était en vacances. Une expé­rience qui le met face à lui même. “J'ai failli mourir. Mes organes étaient complè­te­ment foutus. C'était très corro­sif“, explique-t-il au média anglais.

    Une vie d’écor­ché vif dont il a été extrait par l’amour. Le grand maintes fois testé, malmené mais toujours vivant. Celui partagé avec Orianne Cevey, sa troi­sième épouse, dont il avait pour­tant divorcé en 2008 et à qui il avait signé un impo­sant chèque de 30 millions d'euros. Et de confier qu’il vivent à Miami avec leur fils : “Je n'aime pas parti­cu­liè­re­ment cette ville. Je vis ici parce que mes enfants sont ici et que je vais là où ils vont".

    Toujours à fleur de peau, l’an­cienne voix du groupe culte Gene­sis est égale­ment reve­nue sur le mépris que lui a mani­festé l’un de ses “héros“, l’ex-Beatles Paul Mc Cart­ney. Poin­tant son extrême condes­cen­dance, Phil Collins explique l’avoir rencon­tré en 2002 lors d’une soirée à Buckin­gham Palace. L’au­teur de Yester­day était avec sa compagne Heather Mills : “J'avais la première édition de The Beatles by Hunter Davies et je lui ai demandé de me la signer. Il a dit: 'Oh Heather, notre petit Phil est fan des Beatles.' J'ai pensé: 'Va te faire foutre ! Va te faire foutre' Je n'oublie­rai jamais ça.“

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