C’est la scène qui a tout fait bascu­ler, Brad Pitt ivre, à bord du jet privé fami­lial, “criant et deve­nant violent“ avec ses enfants notam­ment à l’égard de son fils Maddox (15 ans) alors que ce dernier s’in­ter­po­sait lors d’une dispute du couple. Des faits qui se sont dérou­lés le mercredi 14 septembre, à l’ori­gine de la procé­dure de divorce lancée par Ange­lina Jolie.

Des allé­ga­tions de “violences envers enfant“ qui amènent le juge des affaires fami­liales chargé du dossier à mener une enquête très pous­sée sur l'acteur de 52 ans. Quelques jours plus tard, il se retrouve donc obligé de passer des tests pour vérifier son état de santé.

Leit­mo­tiv du FBI depuis : préci­ser certains détails avant de déci­der d’ou­vrir ou pas, une enquête. Et pour cela, mardi, Angelina Jolie a reçu la visite “ non offi­cielle“ de deux agents du FBI à son domi­cile de Malibu.

L’ac­trice a donc dû détailler étape par étape les circons­tances de l’in­ci­dent. Des sources ont rapporté que la star de Tomb Raider s’était montrée coopé­ra­tive mais aurait confié espé­rer que cette histoire finisse aux oubliettes afin de ména­ger son ex futur mari. 

Mais l’agence fédé­rale améri­caine ne l’en­tend pas de cette oreille et souhaite faire toute la lumière sur l’al­ter­ca­tion entre Brad Pitt et son fils de 15 ans. Car comme l'indique TMZ, certains détails, comme l'heure exacte de la dispute, et la posi­tion de l'avion à ce moment, ont leur impor­tance.

Si l'inci­dent n'a pas eu lieu dans l'espace aérien améri­cain, l'argu­ment prin­ci­pal d'Ange­lina Jolie qui est celui d’évoquer le compor­te­ment violent de Brad Pitt contre ses enfants, risque en effet de perdre en crédi­bi­lité. Le FBI se penche égale­ment sur l'atter­ris­sage (forcé ?) dans le Minne­sota après l'alter­ca­tion, et devra établir si les lois de l'état peuvent entrer en ligne de compte.

Cette visite arrive quelques jours après que l’an­nonce d’un accord auto­ri­sant Brad Pitt à revoir ses enfants. L’ac­teur a donc pu serrer Shiloh, Zahara, Vivienne, Knox et Pax dans ses bras sous le regard bien­veillant d’un théra­peute. Selon le site Us Weekly, Maddox n'était pas au rendez-vous et aurait préféré rester avec sa mère histoire de montrer qu'il avait déjà choisi son camp.