L’in­fi­dé­lité de Benja­min Castaldi pendant son mariage avec Flavie Flament était déjà de noto­riété publique. L’ani­ma­teur ne s'en est jamais caché, et l’avait évoquée à plusieurs reprises lors d’in­ter­views. Mais ce mardi 22 novembre, sur le plateau de Touche pas à mon poste, où il est chro­niqueur depuis le mois de septembre, il est revenu sur cette époque de sa vie. Alors que les chro­niqueurs débat­taient de l’his­toire d’un homme soupçon­neux qui avait fait suivre sa femme par un drone, Cyril Hanouna s’est adressé à Benja­min Castaldi, lui deman­dant de racon­ter la fois où il s’était fait lui-même « griller ». 

Sourire aux lèvres, le présen­ta­teur de Secret Story s’est alors lancé dans le récit d’une anec­dote très privée. « J’avais deux télé­phones et ma femme a trouvé le deuxiè­me… Un jour j’ai reçu un texto amou­reux, un texto d’une jeune femme… et elle est tombée dessus », s’est-il souvenu. Mais l’his­toire n’étant pas assez précise pour Cyril Hanouna, il a demandé quelle épouse était concer­née. « Vous eu quatre femmes, donc c’est pas la dernière ? » Benja­min Castaldi, qui est marié depuis le 27 août dernier avec Aurore Aleman, la direc­trice de casting de Secret Story a confirmé : « Ah non c’est pas la dernière, avec elle de toute façon tout est connecté donc si mon télé­phone sonne, elle, dans son micro-onde ça sonne ! » Fou-rire de l’as­sem­blée.

Le chro­niqueur a fina­le­ment avoué qu’il ne s’agis­sait pas de son précé­dent mariage non plus, mais de celui d’avant, c’est à dire celui avec Flavie Flament entre 2002 et 2006. « Ah, la connue ! » s’est alors exclamé  Cyril Hanouna, avant de préci­ser les initiales, « FF », de l’ani­ma­trice, pour ceux qui n’au­raient pas compris… Un échange d’une grande subti­lité, donc, alors que l’ani­ma­trice de 42 ans traverse ces jours-ci une épreuve doulou­reuse. Elle a récem­ment révélé qu’elle avait été violée à l’âge de 13 ans, un viol dont Benja­min Castaldi igno­rait tout, et son agres­seur présumé, le photo­graphe David Hamil­ton, vient d’an­non­cer qu’il la pour­sui­vrait pour diffa­ma­tion.