Le réalisateur irlandais John Carney s'est essayé au cinéma hollywoodien en 2013 avec New York Melody, comédie musicale portée par Keira Knightley.

Et ce n'était pas un cadeau.

Le metteur en scène s'est confié dans les colonnes de The Independent, revenant sur une collaboration qu'il qualifie de "désenchantement"."Je n'ai pas apprécié l'expérience des paparazzi et des avant-premières grandioses. L'univers des stars de cinéma est quelque chose qui ne m'a jamais attiré. J'aime travailler avec des acteurs et j'ai voulu revenir à ce que je connais et prendre à nouveau du plaisir à faire des films - non que je n'aie pas aimé faire New York Melody mais Keira a un entourage qui la suit partout alors c'est très dur d'accomplir le moindre travail", a estimé le réalisateur, allergique au star-system.

Mais la notoriété de l'actrice anglaise, connue dans le monde entier grâce à la saga Pirates des Caraïbes, n'était pas la seule chose à poser problème. John Carney n'a pas été satisfait de sa performance d'actrice. Selon lui, le niveau en chant en guitare de Keira Kightley n'étaient pas crédibles pour le rôle : "Malgré tous mes efforts pour que ça fonctionne, je crois qu'elle n'a pas l'air d'une auteur-compositeur-interprète et guitariste."

"Je crois que je ne ferai plus jamais un film avec une supermodel", assène-t-il, remettant définitivement en cause de le talent de la star, nommée aux Oscars pour Orgueil et Préjugés et Imitation Game. Le cinéaste, qui a également dirigé Mark Ruffalo et Adam Levine ("un bonheur de travailler avec lui") dans New York Melody, enfonce le clou : "Le truc de Keira, c'est de dissimuler qui elle est et je pense que tu ne peux pas être acteur et faire ça. J'aime travailler avec des vrais acteurs curieux, en opposition aux stars de cinéma. Je ne veux pas pourrir Keira, mais vous savez, c'est difficile d'être un acteur, ça requiert un niveau d'honnêteté et d'auto-analyse pour lequel je crois qu'elle n'est pas encore prête et pour lequel elle n'était incontestablement pas prête sur ce film".

Entre Amber Heard et Johnny Depp la guerre est déclarée. Mais l'acteur peut compter sur le soutien de ses proches dans cette bataille.

Lundi 23 mai, Amber Heard déposait au tribunal de Los Angeles une demande de divorce évoquant des "différends irréconciliables". Le 27 mai, l'actrice de 30 ans va encore plus loin et avoir été battue par la star hollywoodienne, preuves à l'appui. Après une séance à huit-clos, "le juge a émis une ordonnance" qui interdit à Johnny Depp d'approcher d'Amber Heard à moins de 100 mètres jusqu'au 17 juin.

Et alors que l'acteur hollywoodien dément toute violence et accuse sa compagne de mensonge, son ex-compagne et sa fille montent aujourd'hui au créneau pour prendre sa défense.

Dans une lettre manuscrite envoyée au site américain TMZ, Vanessa Paradis explique ne pas croire aux accusations d'Amber Heard et se dit choquée par ces propos : "Les récentes allégations portées à l'encontre de Johnny Depp sont scandaleuses", écrit-elle. "Johnny Depp est le père de mes deux enfants. C'est un homme sensible, aimant et aimé. Et, je crois au plus profond de mon coeur que les récentes accusations portées à son encontre sont outrancières", poursuit-elle. "Il n'a jamais eu aucun comportement violent avec moi, depuis que je le connais. Ces allégations ne ressemblent absolument pas à l'homme avec qui j'ai pu vivre durant 14 ans et merveilleuses années", conclut-elle.

Même défense pour Lily-Rose Depp, qui sur Instagram, soutient son père : "Mon père est l'homme le plus gentil et le plus aimant de toutes les personnes qu'il m'a été donné de rencontrer. Il a toujours été un père merveilleux pour moi et mon petit frère. Toutes les personnes qui le connaissent diront la même chose que moi", légende la jeune actrice de 17 ans sous une photo de famille throwback.
La fille de Johnny Depp publie également un extrait d'article du magazine People précisant que la police de Los Angeles n'a "pas vu de preuves" de violences conjugales au domicile d'Amber Heard.

Steven Spielberg était le 26 mai 2016 l'invité du 365e Discours du Commencement d'Harvard, qui accueille les nouveaux étudiants de la prestigieuse université du Nord-Est des Etats-Unis.
Habituée à suivre les cours des plus grands professeurs et chercheurs, la promotion 2016 du campus a eu la chance d'écouter les sages paroles du réalisateur qui, en costume-basket, a livré un discours plein d'humanisme et de messages politiques anti-Trump.

"Je me souviens de ma propre remise de diplômes comme si c'était hier, probablement parce que ça remonte à 14 ans", a commencé avec humour le cinéaste, faisant référence à ses quelques cours en paléontologie lors du tournage de Jurassic Park.

Steven Spielberg a ensuite orienté son speech sur les dangers des "tendances natio­na­listes" : "Nous sommes une nation d'immi­grés… du moins jusqu'ici", a-t-il expliqué, appelant à lutter contre ces dérives avec des "manifestations pacifiques" et "en votant lors des prochaines élections".
Demandant à la nouvelle génération de "ne pas fuire ce qui est douloureux", le réalisateur de 69 ans a appelé les jeunes citoyens à avoir confiance en l'homme pour vivre dans un monde plus libre : "Le monde est rempli de monstres. Il y a le racisme, l'homo­pho­bie, la haine poli­tique ou reli­gieuse. La seule réponse à l'ampli­fi­ca­tion de haine est l'ampli­fi­ca­tion d'huma­nité. Mon boulot, c'est de créer un monde qui dure deux heures, le vôtre, de créer un monde qui dure toujours. Et j'espère qu'il sera rempli de justice et de paix", poursuit le réalisateur du Bon Gros Géant.

"Enfin, je vous souhaite à tous un vrai  happy-ending holly­woo­dien. J'espère que vous cour­rez plus vite que le T-Rex, que vous attra­pe­rez le crimi­nel… Et, pour le bien de vos parents, de temps en temps, faites comme E.T. : rentrez à la maison", conclut-il.

Marc-Olivier Fogiel reàoit ce mardi soir dans son divan le bad boy rangé JoeyStarr.
L'occasion pour l'acteur de revenir sur ses années prison, d'évoquer sa carrière, de parler du groupe NTM et de se confier à cœur ouvert.

"Pour moi, ça n’a jamais été une médaille d’être en prison", révèle-t-il sans fierté.
Mais, pour son deuxième passage en prison, JoeyStarr a trouvé comment passer au mieux le temps derrière les barreaux. Sur le plateau de France 3, il raconte : "Heureusement que la deuxième fois que j’y suis allé, je me suis mis dans une confi écriture et album. Ecrire, c’est très libertaire et puis surtout, ça suspend le temps. Tu commences à écrire, il est 11h du matin, à 19h, tu es encore en train de gratter. Tu as l’impression que deux heures se sont écoulées".

Aujourd'hui assagi et les soucis judiciaire derrière lui, JoeyStarr confie néanmoins ne pas avoir trouvé le plein bonheur : "J’ai une famille, des amis mais j’alterne entre plaisir et souffrance. J’ai ce besoin de chier dans la douleur. Maintenant il faudrait que je pense un petit peu moins à moi, et plus aux miens".

Retrouvez l'intégralité de l'interview de JoeyStarr mardi 31 mai dans l’émission Le Divan sur France 3.

Regarder une scène de nudité à la télévision avec ses parents est un grand classique des moments de gêne.

Mais il y a nettement pire : regarder ses propres scènes de nu avec ses parents ! Et c'est ce qu'Emilia Clarke a fait. Dans le talk-show de Graham Norton, l'héroïne de la série Game of Thrones a expliqué comment elle s'était retrouvée à regarder le quatrième épisode de la saison 6 - dans lequel elle apparaît intégralement nue et non doublée - en famille.

Alors que ses parents lui faisaient remarquer qu'on la voyait pas beaucoup au début de la saison 6, l'actrice de 29 ans les a encouragés à regarder le fameux épisode 4. "Avec du recul, ce n'était peut-être pas l'épisode à choisir", plaisante-t-elle.

Lorsque Graham Norton lui demande s'ils ont regardé la scène en entier ensemble, l'égérie Dior devient rouge comme une tomate et admet que oui.

"Je crois que j'ai certainement commencé à parler de quelque chose de vraiment important, comme Top Gear", se souvient Emilia Clarke en faisant référence à l'émission automobile dans laquelle Matt LeBlanc, présent sur le plateau, fait son grand retour. Belle tentative de diversion de la part de la Khaleesi.

Dans quelques mois, Géraldine Nakache sera maman.

Et l'héroïne et réalisatrice de Tout ce qui brille, qui a révélé sa grossesse sur le tapis rouge du Festival de Cannes, a voulu faire les choses dans les règles de l'art. Avant de découvrir les joies des couches et des biberons, la future maman a épousé son compagnon.

C'est le créateur Alexandre Mattiussi qui a vendu la mèche en postant sur Instagram un cliché de l'actrice, dont il est proche, avec son mari Jérôme, accompagné de la légende : "Géraldine & Jérôme, Paris 26 mai 2016". La mariée porte une robe blanche bohème et tient dans ses mains un bouquet de fleurs immaculées.

Le cliché a depuis été supprimé, la petite soeur d'Olivier Nakache n'étant pas du genre à trop se livrer à propos de sa vie privée. Il s'agit du deuxième mariage de Géraldine Nakache, qui a vécu neuf ans avec Manu Payet.

Le cinéaste s'apprête à publier son carnet de travail sur Le Parrain.
Éditées sous la forme d'un livre, les 720 pages écrites à la main publiées par Regan Arts offrent un aperçu du travail de Francis Ford Coppola sur ce film de mafia sorti en salles en 1972

En plus de ses annotations sur l'œuvre originale de Mario Puzo que Coppola a adapté, le livre proposera des photos inédites des coulisses du tournage, ses remarques, ses idées de casting, ses inspirations mais aussi des détails du procédé créatif.

D’après l'éditeur, The Godfather Notebook devrait même changer votre manière de voir le film culte : "On n’a jamais rien publié de comparable", avance-t-il.
"Ce carnet m'a servi de référence tout au long de la production du Parrain, et après toutes ces années, je suis heureux de pouvoir le partager avec ceux qui seraient intéressés, a-t-il déclaré dans un communiqué. Il s'agit d'un élément essentiel à la compréhension de la manière dont le film s'est monté à partir du roman de Mario Puzo", précise Francis Ford Coppola dans un communiqué de presse.

The Godfather Notebook est disponible dans deux éditons,  une à 50 dollars et une limitée et signée vendue à 250 dollars.

A peine le tournage d'Alerte à Malibu terminé, Dwayne Johnson est reparti s'entraîner en salle de muscu pour retrouver le rôle de Hobbs dans la saga Fast and Furious. "Sur le dernier film, on avait dû s'arranger avec son emploi du temps très serré, du coup il n'avait pu être présent qu'une quinzaine de jours, vient d'expliquer son producteur Hiram Garcia à Comicbook.com, mais sur le suivant, il sera beaucoup plus présent à l'écran. C'est super de le retrouver." 

En plus d'annoncer aux fans de la franchise qu'ils verraient davantage Dwayne Johnson dans Fast and Furious 8, l'intéressé a détaillé qu'Universal réfléchissait à un projet de spin-off sur son personnage. "J'aore Hobbs, on l'a vraiment créé en équipe avec Chris Morgan et Dwayne Johnson. On explosait de rire en écrivant ses répliques 'bigger than life'. C'est quand même quelqu'un qui peut dire tranquillement à un adversaire : 'Je vais te faire tellement souffrir que ta mère regrettera d'avoir ouvert les cuisses'. Impossible de garder son sérieux avec un tel personnage. (...) On parle depuis toujours de lui offrir un spin-off. Ce sera compliqué à organiser, car tout le monde est très occupé. Mais on a des idées, on a ouvert des pistes qu'on aimerait explorer. Le public l'adore et aimerait sans aucun doute le voir en action en solo à travers le monde. Si on fait ce spin-off, on pourra vraiment s'éclater !"

Fast and Furious 8 est actuellement en cours de tournage sous la direction de F. Gary Gray. Il sortira le 12 avril 2017 au cinéma.