• Scott Eastwood amoureux de Gal Gadot dans Wonder Woman ?

    On apprenait hier que Scott Eastwood allait retrouver le réalisateur de Fury, David Ayer, pour Suicide Squad, et que le boxeur Raymond Olubowale rejoindrait également Will Smith, Margot Robbie, Cara Delevingne et Jared Leto pour un rôle "musclé". Latino Review, qui suit de très près ce film dédié aux super-méchants de DC Comics, avance à présent que le sportif interpréterait deux personnages à l'écran : King Shark, un bad guy à tête de requin, qu'il jouera du coup en performance capture, ainsi qu'un second rôle, l'un des agents d'Amanda Waller (Viola Davis).

    Quant à Scott, il incarnerait Steve Trevor, un personnage pour le moins intéressant puisqu'il est très important dans l'histoire de Wonder Woman et devrait du coup apparaître dans plusieurs blockbusters de la Warner Bros.

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  • Une projection de Grease avec des danseurs en plus

    Le cultissime Grease avec John Travolta et Olivia Newton-John,  sorti en 1978, a déjà connu une suite affreuse (Grease 2 avec Michelle Pfeiffer), et était adapté d'une comédie musicale sur scène créée en 1971. Vous ne l'avez jamais vue ? Vous avez une petite chance de vous rattraper. Si vous êtes à Paris le 11 avril prochain, vous pourrez assister à une projection spéciale : le film avec une troupe de danseurs recréant les chorégraphies du film... Si la projection est un succès, on nous promet aussi Fame, Cabaret, Chicago et Hairspray à la même sauce. 

    Rendez-vous le samedi 11 avril 2015 au cinéma le Club de l'étoile, 14 rue Troyon Paris 17ème : deux séances sont prévues, à 19h et 22h.

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  • Margot Robbie dévoile ses secrets de beauté

    Propulsée sur le devant de la scène grâce à son rôle (très sulfureux et dénudé) dans le Loup de Wall Street de Martin Scorsese, où elle donnait la réplique à Leonardo DiCaprio, Jonah Hill et Matthew McConaughey, la bombe wallabie Margot Robbie explose aujourd'hui de beauté et se sensualité au côté de Will Smith dans Diversion, actuellement en salles.

    A l'occasion de cette actualité, la superbe blonde dont la plastique n'a plus de secret pour les spectateurs du Loup de Wall Street, s'est longuement confiée dans les pages du mensuel australien Who Magazine.
    La jeune femme de 24 ans qui a été élue par les lecteurs du magazine comme "la star la plus belle de 2015", a en effet accordé une interview sans langue de bois dans laquelle elle évoque son parcours, ses secrets de beauté et ses ambitions dans le business du septième art, à savoir réaliser elle-même ses films. 

    Ainsi, celle que l'on a pu voir dans la série Pan Am et dans la comédie romantique About Me, alors qu'on la retrouvera bientôt dans Suite Française avec Michelle Williams et dans le très attendu Suicide Squad, confie qu'elle est dorénavant tournée vers la mise en scène, que toute sa concentration sur un plateau est vouée au travail de réalisateur et que, même quand elle jouait dans son dernier film, elle pensait en terme de mise en scène, ce qui la pousse à lâcher dans cet entretien avoir "un plan de carrière très précis" qui la mènera jusqu'à cet objectif.

    Véritable nouvelle bombe d'Hollywood depuis son rôle torride dans Le Loup de Wall Street où elle n'hésitait pas à offrir un full frontal mémorable, la belle évoque aussi ses secrets de beauté. Et en vraie Australienne nourrit au soleil et au sable, elle répond sans détour : "Mon secret ? Passer toute une journée à la plage. Quand tu t’es exposée au soleil et à l’eau salée toute la journée et que tu rentres prendre une douche fraîche, c’est le meilleur des soins."

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  • Al Pacino : "Devenir riche et ­célèbre ne m’a jamais intéressé"

    Considéré comme l'un des plus grands acteurs de sa génération, une légende du septième art avec des films cultes tels Le Parrain, Carlito's Way ou encore Scarface, Serpico et Heat, Al Pacino reçoit chez lui Paris Match et se livre, dans sa résidence de Los Angeles - au milieu de ses cartons, toujours pas déballés depuis son emménagement (il y a huit ans) - à une interview confession évoquant ses débuts au cinéma, son amour pour le théâtre, son enfance dans le Bronx, l'âge et les ravages du temps.

    Depuis ses débuts en 1969 avec Me, Natalie, Al Pacino n'a jamais quitté le grand écran. Acteur un jour, acteur toujours, à 74 ans, Al Pacino ne se voit pas arrêter un jour : "On me demande souvent quand je vais arrêter… Je ne peux pas envisager ma vie sans jouer la comédie".
    Amoureux de la comédie, Al Pacino l'est beaucoup moins des à côtés : "Devenir riche et ­célèbre ne m’a jamais intéressé : la seule chose qui a toujours compté pour moi, c’est de jouer".
    Aussi, en 1972, quand il découvre soudainement la célébrité après Le Parrain, Al Pacino n'est pas préparé ("Après Le parrain, je ne savais plus qui j’étais, des femmes dormaient sur mon palier…") et malgré le conseil de celui qu'il décrit comme son mentor Lee Strasberg ("Il m’a dit cette phrase que je n’ai jamais oubliée : 'Darling, il faut simplement t’adapter'"), le début de la gloire n'est pas facile à gérer et Al Pacino vit son non-anonymat nouveau à grand renfort de drogues et alcool.

    Teintées de névroses et d'excès, Al Pacino vit ses premières années de succès hors de contrôle comme il le confiait récemment lors d'une interview à la Screen Actors Guild Foundation. 
    Aujourd'hui, Al Pacino a tourné la page à ses démons ("Ma vie a radicalement changé quand j’ai arrêté la drogue et l’alcool, il y a une trentaine d’années"), il "(se) laisse porter par la vie" et partage son temps entre cinéma et théâtre - ses premières amours : "J’ai eu envie de faire du théâtre depuis le jour où j’ai vu “La mouette”, de Tchekhov. Je devais avoir 14 ans. Le théâtre, c’est toute ma vie. Les acteurs, ma famille. On est tous très proches parce qu’on joue comme si notre vie en dépendait. Quand c’est fini, on se sent perdu. J’adore le cinéma, mais c’est seulement sur une scène de théâtre que je me sens vraiment à ma place".

    En attendant la sortie deThe Humbling, son prochain long métrage sous la direction de Barry Levinson (en salles le 8 avril 2015), c'est d'ailleurs sur les planches que vous pourrez retrouver Al Pacino,  à Broadway dans une pièce de David Mamet, China Doll.

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  • Vincent D’Onofrio jouera le méchant du remake des 7 Mercenaires

    Variety révèle que Sony et la MGM voudraient embaucher Vincent D’Onofrio pour être l'ennemi principal des Magnificent Seven. Cette nouvelle version des 7 Mercenaires est pour l'instant composée de Denzel Washington, Chris Pratt et Ethan Hawke. Ce remake du western culte de John Sturges avec Yul Brynner et Steve McQueen (sorti en 1960 et déjà tiré d'un autre film, Les Sept Samouraï, d'Akira Kurosawa) sera réalisé par Antoine Fuqua (Equalizer). Il devrait entrer en tournage dès le mois prochain mais pour l'instant, seule une poignée de comédiens ont signé. Haley Bennett, une actrice vue dans sa précédente réalisation, devrait elle aussi être de la partie.

    Comme dans le classique, The Magnificent Seven suivra sept hommes qui se chargent de protéger un village mexicain d'un groupe de hors-la-loi. Le créateur de True Detective, Nic Pizzolatto, a écrit cette version, puis John Lee Hancock (Dans L'ombre de Mary) a effectué quelques retouches. Sur le papier,  choisir Vincent D’Onofrio pour terroriser un village entier parait une bonne idée, car l'acteur adore les rôles de méchants. Il est actuellement l'adversaire principal de Daredevil dans la série de Netflix :

    Il titillera ensuite des dinosaures dans Jurassic World, à partir du 1er juin au cinéma.

    Avant The Magnificent Seven, on découvrira Southpaw, le nouveau film d'Antoine Fuqua, au cinéma. Jake Gyllenhaal joue un boxeur et il est une nouvelle fois méconnaissable

     

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  • Batman : un film d'animation inspiré de la série de 1966 est en projet

    Fans de vintage, réjouissez-vous. Warner serait prêt à ressusciter Batman sur grand écran, encore une fois, mais en version animée et dans la version ultra kitsch de la série télé de 1966 -oui, celle avec le look cartoon extrême et les cartons "Kapow ! Zap ! Pow !" qui apparaissent à l'écran pendant les scènes de baston. 120 épisodes, trois saisons, un film très drôle et une grande fidélité au comics d'origine, et oui. Même si le style semble très, très loin de la version sombre et torturée du Caped Crusader devenue la norme grâce à Christian Bale dans la trilogie de Christopher Nolan.

    Ce sont Adam West et Burt Ward, interprètes de Batman et Robin dans la série, qui ont révélé l'info lors de la convention de comics Mad Monster à Charlotte (Caroline du Nord). Adam (86 ans) et Burt (69 ans) devront rempiler pour doubler leurs alter-egos super-héroïques. "Ce sera peut-être deux films, mais au moins un long-métrage de 90 minutes qui sortira en 2016, pour fêter les cinquante ans de la série", a précisé Burt. Le succès de la réédition à Noël dernier de la série télé en Blu-ray (qui fêtait, elle, les 75 ans de Batman en 2014) n'est pas passée inaperçue chez Warner...

    Si cela est confirmé par Warner, cela signifie que quatre films Batman sont en projet chez eux. Batman V. Superman : Dawn of Justice (mai 2016) avec Ben Affleck, The Lego Batman Movie (février 2017), spin-off de La Grande aventure Lego (avec la voix de Will Arnett), un film Batman en solo avec Affleck (pas officiel mais certainement dans les projets du studio) et ce Batman animé 60's. Ce qui signifie donc deux films Batman en 2016 : celui de Zack Snyder et la version animée.

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  • Kevin Spacey est fan de Thierry Henry (et vice versa)

    Il est l'un des sportifs les plus titrés du sport français. Champion du Monde en 1998 et Champion d'Europe en 2000 avec les Bleus, vainqueur de la Ligue des Champions avec Barcelone, légende vivante du club londonien de Arsenal qui lui a dressé une statue, Thierry Henry est un mythe du football.

    Il est l'un des acteurs les plus brillants de sa génération. Oscar du meilleur second rôle pour Usual Suspects, Oscar du meilleur acteur pour American Beauty, il a campé le terrible tueur en série de Seven et revient en force à la télévision dans la série déjà culte House fo Cards. Kevin Spacey est un mythe hollywoodien.

    Alors quand le premier rend visite au second dans les loges de sa dernière pièce de théâtre - Clarence Darrow au Old Vic Theatre (jusqu'au 11 avril dans la capitale britannique mais bien sûr déjà complet) -, les deux stars qui s'admirent mutuellement immortalisent le moment.

    En effet, Kevin Spacey n'a jamais caché sa passion pour ce qu'il appelle le soccer et parmi les héros de son panthéon du ballon rond, Thierry Henry - qui vient de mettre un terme à son exceptionnelle carrière après avoir joué ces dernières saisons aux Etats-Unis - trône en bonne place au milieu des Zizou, Messi et autre David Beckham. 

    Ainsi, après sa représentation et la conversation unique et exceptionnelle qui a suivi, Kevin et Thierry se sont retrouvés pour un cliché que la star hollywoodienne a aussitôt posté sur son compte twitter avec la légende : "Super d'avoir une telle légende des terrains au théâtre... Merci Thierry Henry !"

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  • Mister Bean est amoureux d'une fille deux fois plus jeune que lui

    Le comédien britannique Rowan Atkinson, 60 ans, mythique Mr. Bean mais vu aussi dans les comédies Quatre mariages et un enterrement et Johnny English, est actuellement fou amoureux d'une jeune Britannique deux fois plus jeune.

    En effet, l'acteur qui a incarné le légendaire gaffeur et doux-rêveur entre 1990 et 1995 dans la série (de seulement 14 épisodes) et dans les deux films (Bean et Les vacances de Mr Bean), file aujourd'hui le parfait amour avec la ravissante Louise Ford, âgée de 32 ans.
    Le charmant couple a d'ailleurs été aperçu hier après-midi, bras-dessus bras-dessous, dans les rues de la capitale anglaise pour un brunch en amoureux.

    Cela fait maintenant plus d'un an que le mythique comique anglais vit à Londres avec la jeune comédienne (depuis son divorce avec Sunetra Sastry, sa femme durant 23 ans avec qui il a deux enfants), et hier, c'est en mode casual chic que les inséparables ont paradé dans les artères londoniennes.
    Veste en cuir et jean slim pour elle, veston et jean un peu plus large pour lui, les deux amoureux étaient en mode détente et ont pu profiter pleinement de cette journée ensoleillée à Londres.

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  • Quand The Rock débarque dans le Saturday Night Live, ça déménage ! Le comédien, à l'affiche le 1er avril prochain en France du septième volet de Fast & Furious, était l'invité d'honneur samedi soir de la célèbre émission américaine. Sa quatrième participation au programme déjanté qui fête cette année ses 40 ans et qui a révélé de nombreuses stars dont Eddie Murphy, Bill Murray ou encore Will Ferrell.

    Le retour de The Rock au Saturday Night Live a été l'occasion pour l'acteur de retrouver le costume de The Rock Obama. Un croisement entre Barack Obama et Hulk ,qui se transforme lorsqu'il se laisse emporter par la colère. Maniant l'autodérision à merveille, Dwayne Johnson s'est également moqué dans un tout autre sketch de sa tendance à enchaîner les tournages de franchises.

    Se surnommant "le viagra pour franchises", le comédien se met en mode crooner pour vanter ses mérites. Dans un appel du pied aux réalisateurs "qui veulent rajouter un petit quelque chose à leurs suites", il clame qu'il est libre et même prêt à tourner dans la suite de "La Reine des neiges." "Faites un Maman j'ai raté l'avion, dans lequel je suis l'enfant", lance-t-il également.

    Retour en images sur ces sketchs mettant en scène l'acteur qui s'est même prêté à une version 100% badass de Bambi.

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  • Universal vient donc de mettre en ligne le teaser parodique de Furious Minions, qui comme son nom l'indique est la rencontre de Fast & Furious 7 et des Minions, ces petits bonhommes jaunes dont le destin est de servir les Maîtres du Mal tout au long de l'histoire humaine, comme Napoléon ou Gru dans Moi, moche et méchant où ils sont apparus. Les Minions auront droit à leur fim en solo cet été : comme il s'agit d'un film Universal comme Fast & Furious 7, le studio fait ainsi la promo de ses deux franchises d'un seul coup.

    Fast & Furious 7 débarque en France le 1er avril prochain. L'invasion des Minions est prévue pour le 8 juillet 2015.

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