Dans une interview accordée cette semaine à l'hebdomadaire VSD, Michel Sardou revient sur sa rupture amicale avec Johnny Hallyday, qui fut pendant des décennies son grand pote. L'un et l'autre s'étaient rencontrés, dans les années 1960, sur le tournage du film "D'où viens-tu Johnny ?". Si Hallyday était alors un tout jeune homme, Sardou n'était qu'un adolescent, qui se souvient : "Dix minutes après la première poignée de main, nous étions des copains. Vingt minutes plus tard, des amis à la vie à la mort. Une heure après, j'avais un frère qui allait changer ma vie." Ils partageront ensemble vacances, expédition sur les rapides du Colorado, beuveries et soirées, jusqu'aux mariages où ils furent témoins l'un de l'autre.

Mais ça, c'était avant. Épinglé, l'an dernier, dans la biographie de l'icône intitulée "Dans mes yeux", Sardou s'était manifesté. A sa façon, ironique et sèche. Aujourd'hui, il dresse un constat désabusé sur leur camaraderie : "On ne s'est pas reparlé. On ne sait même plus pourquoi on s'est fâchés, en fait." Le chanteur dément avoir jamais dit à propos de la fille adoptive de Hallyday "Johnny et sa Viêt-Cong" : "[C'est] un truc qu'on lui a dit. Qu'est-ce que vous voulez faire ? Quand vous tombez sur quelqu'un qui est con, qui ne vous écoute pas, ne se donne pas la peine... Lorsqu'on a un différend, il faut être capable de se dire ce qui s'est passé. Lui, il ne veut pas. Ben alors mon gars, c'est fini." Et de conclure : "Ce n'est pas grave. On ne se parle plus depuis quelques années ? Ça n'a aucune importance. Personnellement, je m'en passe très bien. Lui aussi, j'imagine."

Lindsay Lohan (28 ans) a fait son grand retour en tant qu'actrice. Et pour cela, elle avait choisi  le théâtre. Elle débutait donc au West End Theatre, à Londres, mercredi 24 septembre, dans une pièce de David Mamet, Speed The Plow. Elle y avait un petit rôle mais très important dans le scénario : celui de Karen, la secrétaire hollywoodienne. Seulement, elle aurait été selon les observateurs catastrophique.  Ne sachant pas son texte, elle a trébuché à plusieurs reprises sur ses répliques. "Apparaissant pâle et nerveuse, elle a réussi à tenir son rôle mais avec l’aide de « souffleurs » qui lui "criaient" les répliques chaque fois qu’elle avait un blanc », assure ainsi The New-York Daily News.

En outre, quand elle ne faisait pas appel aux souffleurs p, l’actrice semble avoir eu recours à un autre stratagème. De nombreux critiques ont, en effet, remarqué que Lindsay ouvrait un peu trop fréquemment un livre qu’elle tenait dans les mains (un accessoire de son personnage). Seule raison possible : ledit livre contenait des répliques que l’actrice devait dire !

Les mauvaises langues ont fait remarquer que le manque de professionnalisme de l'actrice pouvait peut-être passé sur un plateau de cinéma, mais pas au théâtre, devant un parterre de spectateurs.

Dans Hacker, Chris Hemsworth, l'interprète du super-héros Thor, se glisse dans la peau d'un pirate informatique. Libéré par le FBI, il va devoir collaborer pour traquer les cybercriminels et obtenir l'amnistie.

Le cinéaste Michael Mann (Heat, Collateral) est derrière la caméra pour ce thriller sous haute tension qui sortira chez nous le 14 janvier 2015. A noter la reprise par le groupe Antony and the Johnsons du célèbre Knockin' on Heaven's Door de Bob Dylan.

Kim Kardashian, arrivait hier, jeudi 25 septembre au défilé Balmain en pleine Fashion week parisienne. Elle sort de sa limousine au milieu d'une foule très dense quand un homme semble avoir tenté de se jeter sous sa jupe ou de la plaquer au sol. Aussitôt Kim hurle et son service d'ordre met rapidement, et assez rudement, l'agresseur à terre.

En fait, il s'agissait d'une énième tentative de dynamitage d'événement people par un certain Vitali Sediuk, un ancien journaliste ukrainien de 25 ans. L'homme s'était, en mai dernier, fait arrêter en tentant d'arracher à Brad Pit ses lunettes de soleil.

Sediuk, qui se définit comme un "farceur" s'est photographié sur Instagram juste avant son exploit , à l'arrivée de la limousine de Kim Kardashian.

Sediuk tente aussi régulièrement de se glisser sous les robes des actrices. Il avait même réussi au Festival de Cannes cette année en passant sous la robe de l'actrice America Ferrera... Après l'agression Sediuk semble ne pas avoir été arrêté, il vient de poster de nouvelles photos au Louvre aujourd'hui...

Certes il y a eu, quelques bugs, six selon les observateurs, " mais un seul" selon M6,  quelques hésitations aussi, mais dans l'ensemble, la soirée s'est déroulée sans gros couac. Avec 3,8 millions de téléspectateurs et 16,7% de parts de marché, M6 estime avoir réussi son pari de l'innovation. Mais pour parfaire l'émission, au-delà des prestations du jury et des animateurs, dès le vendredi matin les équipes de production étaient sur le qui-vive pour remédier à certains dysfonctionnements techniques.

A commencer par les votes. S'ils sont gérés comme dans n'importe quelle émission de télé-crochet, "c'est l'affluence des votes et des connexions qui ont eu pour conséquence de provoquer un encombrement du réseau et de le saturer" argue-t-on à M6. La production travaille donc à une meilleur prise en charge des votes pour fluidifier le système afin que tout le monde puisse participer.

Autre surprise aussi, l'affichage géant du visage d'une votante avec écrit à côté de sa photo " Merci Lexane d'être devenue juré de Rising Star". Si au prime abord, on peut croire à un bug, en réalité c'est un procédé éditorial bien volontaire explique-t-on à M6 : " On appelle ça la starification. C'était déjà dans la version originale en Israël. C'est un procédé éditorial qui vise à mettre en valeur des personnes inscrites, c'est inhérent au système". Là encore, la production travaille sur le contenu éditorial afin de clarifier les choses auprès du public.

Reste à savoir, si les téléspectateurs ont été bluffé par cette prouesse technique. Verdict jeudi prochain.

A force de tacler toutes les personnalités, Dave risque bien de n'avoir plus personne à inviter dans son émission Du côté de chez Dave qui remplace Chabada sur France 3, depuis la rentrée. Après avoir dénigré Daniela Lumbroso dont il pourrait dire" beaucoup de mal", après avoir évoqué le "dérèglement chimique de Christophe Hondelatte", Dave s'en prend à la pauvre Zaz dans le magazine Voici. Certes Dave évoque d'abord "l'énergie positive" de la chanteuse, ainsi que " sa voix rauque à la Brenda Lee".

Grand prince, l'interprète de Vanina avoue même avoir été "bluffé" par la jeune artiste de 34 ans. Mais point trop n'en faut, si Dave reconnait le talent artistique de la jeune femme, il n'en reste pas moins sceptique lorsqu'il est question de son hygiène : " Je dois admettre qu'elle donne l'impression de ne pas se laver sous les bras" a-t-il lancé. Une déclaration qui n' pas du faire plaisir à Zaz qui reste très sensible à ce sujet. Déjà en février 2014 elle s'était justifiée dans les colonnes de Métro sur son look grunge : " On m'a souvent traitée de punk à chien, de fille qui ne se lave pas, alors que je n'ai jamais habité dans la rue. Il y a eu un espèce d'amalgame dès le début qui m'a fait passer pour ce que je ne suis pas". La chanteuse en pleine promotion de son dernier album Paris, pour lequel elle a d'ailleurs changé de look et de style, a préféré ne pas réagir à ces propos.

Repoussé au 4 février 2015 par Warner Bros (le film devait initialement sortir en juillet 2014 !), Jupiter : Le Destin de l'univers prépare son arrivée sur Terre. Et la nouvelle bande-annonce dévoilée par le studio annonce la couleur : la dimension "mystique" du long-métrage des Wachowski s'efface désormais quelque peu derrière l'action et le "plein la vue".

Porté par le trio Channing Tatum / Mila Kunis / Eddie Redmayne, le film doit permettre aux Wachowski de retrouver le chemin du succès après les semi-déceptions de Speed Racer et Cloud Atlas... Mais il ne s'agit pas de la seule cartouche du duo créatif : ils tournent actuellement une série destinée à la plateforme Netflix. Son titre : Sense8.

Imprévisible Shia LaBeouf. L'acteur américain sera à l'affiche de Fury le 22 octobre prochain, mais ce n'est pas son actualité cinéma qui fait le plus parler en ce moment. Depuis plusieurs mois, l'acteur se distingue en effet par des sorties improbables. Après avoir notamment quitté une conférence de presse berlinoise en citant Eric Cantona et s'être mis un sac sur la tête lors d'une avant-première, l'Américain, flanqué de collants violets et d'un débardeur vert, a couru ce jeudi 144 fois autour du musée municipal d'Amsterdam pour une nouvelle performance d'art conceptuel, comme le rapporte l'AFP.

"La course autour du musée est une performance de Shia et de deux autres artistes qui ont été invités par le Stedelijk Museum dans le cadre d'un symposium que nous organisons à l'intérieur en ce moment", a expliqué Hendrik Folkerts, conservateur de la section Programme public du musée. "Nous organisons une conférence "marathon" à l'intérieur du musée et nous voulions que cela soit reflété d'une certaine manière à l'extérieur. Personne ne peut mieux le faire que Shia et les autres artistes."

Le symposium, intitulé #metamodernism, aborde la manière dont le monde est perçu par ceux qui sont nés dans les années 80 et sont assaillis par l'omniprésence des réseaux sociaux et du culte de la célébrité. D'une durée de 12 heures, il accueille 600 artistes philosophes et penseurs venus du monde entier.

A quelques mois de fêter son 60ème anniversaire, en juin 2015, la comédienne française de retour sur scène en octobre dans la pièce Kinship, a accordé une interview au magazine Vogue Hommes. Une confession à cœur ouvert qui a soudainement pris des allures de catharsis car la vedette de Camille Claudel s'y livre sans fard, n'hésitant pas à livrer d'étranges secrets sur son intimité.

La star lauréate de cinq Césars, dont le dernier pour La journée de la jupe en 2010 évoque notamment les traumatismes de son enfance, à commencer par cette étrange maladie qui la frappait la nuit, quand son sommeil était perturbé par d'inexplicables vomissements. « Dans l'enfance, pendant des années, j'avais des épisodes de vomissements la nuit, pendant mon sommeil, déclare-t-elle au mensuel masculin. Ce que je vomissais, c'est peut-être une vie que je ne supportais pas bien ou un malheur que je ne savais exprimer ». Une affection psychosomatique qui inquiétaient beaucoup ses parents Emma et Mohammed, ceux-ci vérifiant plusieurs fois par nuit que leur fille ne s'était pas étouffée dans son sommeil. « Je me réveillais dans un état second mais je me disais « ah, je suis vivante »... ». Mais ces bouleversantes confessions ne s'arrêtent pas puisqu'Isabelle Adjani brise le silence sur un autre sujet tabou relatif à sa santé : « Je suis spasmophile, hyperfragile, hypersensible », lâche-t-elle. Un aveu que certains n'hésiteront pas à relier à certains de ses rôles les plus célèbres, Possession ou L'été meurtrier, dans lesquels l'actrice arrivait, par son interprétation fiévreuse, à brouiller la frontière entre composition et émotions réelles.

Paris est une fête : un titre qui s'appliquerait bien à certaines scènes de son Saint Laurent. Sauf que le prochain long métrage de Bertrand Bonello prendra la direction opposée, dans la mesure où il s'agira d'un film plus court (le cinéaste table sur moins de 90 minutes), contemporain et qu'il ne sera pas un biopic. Librement inspiré du "Glamorama" de Bret Easton Ellis, il suivra une bande de jeunes terroristes se réfugiant dans un grand magasin après avoir placé des bombes dans la capitale.

Déjà écrit, selon les propos qu'il a tenus auprès du Figaro et de MyTF1 News, le nouveau film du réalisateur lui permettra de revenir vers un roman dont il s'était déjà imprégné pour rédiger le scénario d'American Music, projet en douze chapitres qui n'a finalement pas vu le jour. Il en sera donc autrement pour Paris est une fête, que l'on peut imaginer voir au Festival de Cannes 2016.

En attendant, Bertrand Bonello représentera la France dans la course à l'Oscar du Meilleur Film Etranger, puisque Saint Laurent a été désigné pour tenter de briguer la statuette dorée, qui échappe à l'Hexagone depuis le sacre d'Indochine en 1993, le 22 février 2015.