A la suite du départ de Garou, Zazie s'installait dans le fauteuil rouge des coachs dans la saison 4 de The Voice sur TF1. Une première en tant que juré couronnée de succès, sachant que la chanteuse a mené Lilian Renaud jusqu'à la victoire en avril dernier avec 52% des voix face à Anne Sila, David Thibault et Côme. Dans une récente interview accordée à TV Mag, l'ex-fromager de 23 ans confiait : "J'échange régulièrement avec Zazie. Même si elle a sa carrière, sa vie, elle prend le temps de m'apporter ses conseils. Je lui ai fait écouter mon album, qui sort le 13 novembre prochain, 'Le Bruit de l'aube'. Elle m'a dit qu'elle aimait bien sa fraîcheur et qu'elle en était fière".

Zazie a pas mal été occupée ces derniers mois, en pleine préparation de son nouvel album baptisé "Encore Heureux", dans les bacs ce vendredi 30 octobre. La semaine dernière, l'interprète de Un point c'est toi revenait sur sa récente rupture avec Philippe Paradis, survenue pendant l'enregistrement de ce projet qu'il a réalisé. "C'est vrai que si cet album est un peu notre dernier enfant, nous ne cessons pas d'être parents parce que nous cessons d'aimer. Il y a eu quelques semaines qui ont été un peu floues et cela a donné un côté plus grave au disque", expliquait-elle au site lematin.ch.

"Cet album n'est pas inscrit dans une rupture"

Pour promouvoir la sortie de son nouvel album, Zazie a répondu aux questions de Télé-Loisirs, revenant sur les coulisses de la préparation de ce nouvel opus. "Cet album n'est pas inscrit dans une rupture ou dans une séparation (...) Il est aussi inscrit dans le lien (...) Peut-être que cette séparation illumine cet album d'une certaine tendresse (...) A mon avis, le pire ennemi qu'on ait, c'est soi-même", a-t-elle confié.

En septembre dernier dans les colonnes du Parisien, Zazie se disait prête à accueillir des réfugiés. Un sujet qu'elle a à nouveau évoqué au micro de Télé-Loisirs. "C'est pas mal de se rappeler que ça commence par nous, puisqu'on est des individualistes forcenés. Alors, ça va peut-être pas être accueillir des Syriens au jour le jour mais peut-être que ça va être, être un peu sensible, se dire : 'Tiens, d'une manière très égoïste, je peux donner un peu d'argent'. C'est des choses simples et ça répond de ne pas avoir peur de l'autre", a-t-elle expliqué.