En août dernier, Fabrice Eboué humoriste et pensionnaire des Grosses têtes annonçait que sa compagne, la comédienne Amelle Chahbi attendait un petit garçon : « Ce sera un garçon. C’est sûr à 90%. » avait-il dit au micro de l’émission culte de RTL.

Fabrice Eboué et Amelle Chahbi, heureux parents d’un petit Naël

Le 15 janvier dernier, Fabrice Eboué annonçait sur son compte Twitter qu’il était contraint de décaler la représentation de son spectacle Fabrice Eboué – Levez-vous ! qui devait avoir lieu le soir même à Bordeaux.

Ses fans n’ont pas dû beaucoup lui en vouloir puisque l’humoriste avait une bonne raison, sa compagne était sur le point d’accoucher :

« La Date de ce soir 15 janv à Bordeaux est décalée au 18 mars pour cause de bb Sorry. Celle de demain 16 j est maintenue.#jesuispéridurale » (sic) avait-il expliqué sur Twitter

Ses followers l’ont alors félicité en masse, pour son plus grand plaisir.

Aujourd’hui, le magazine Public dévoile le prénom du bébé en exclusivité. Ainsi, Amelle Chahbi et Fabrice Eboué aurait prénommé leur fils Naël, un prénom arabe qui signifie « Celui dont le travail est fructueux » souligne le magazine sur son site.

« Je n’ai pas pris la défense de Dieudonné »

Il y a quelques jours, Fabrice Eboué s’exprimait à son tour sur le tragique attentat au siège de Charlie Hebdo. L’humoriste avait notamment évoqué la question qui est au cœur de nombreux débats actuellement, celle de la liberté d’expression et s’était défendu d’avoir pris la défense de Dieudonné, lorsque celui-ci avait fait polémique avec son spectacle, Le Mur.

 « Je n’ai pas pris la défense de Dieudonné. J’ai pris la défense légitime de la liberté d’expression, la liberté de dire ce qu’on a envie de dire et de ne pas prendre le public pour un imbécile. Il n’y a rien de plus frustrant pour un public que de lui dire ce qu’il doit voir et ce qu’il ne doit pas voir. Qui prétend avoir le droit de dire ça c’est drôle, ça ce n’est pas drôle ? On n’a pas le droit de dire à un public ça tu peux voir, ça tu ne peux pas. Là, selon moi, ce sont les fondements mêmes de la démocratie qui sont bafoués. Voilà pourquoi j’ai défendu la liberté d’expression et j’ai défendu tout simplement mon propre métier. »