• Dans l’affaire R. Kelly, trois hommes ont été arrêtés pour tentative d’intimidation sur les victimes

    Dans l’affaire R. Kelly, trois hommes ont été arrêtés pour tentative d’intimidation sur les victimes

    Trois hommes ont été arrêtés et inculpés pour avoir tenté d’intimider et influencer des femmes ayant accepté de témoigner contre R. Kelly. Les charges ont été dévoilées par le bureau du procureur de l’Eastern District de New York. Ils seront jugés séparément, trois plaintes distinctes ayant été déposées contre eux. Le chanteur de I Believe I Can Fly est toujours en prison, dans l’attente de plusieurs procès pour crimes sexuels. Deux affaires sont jugées au niveau fédéral, dont une à New York où R. Kelly est accusé d’avoir monté, depuis ces 20 dernières années, un système afin de recruter des femmes majeures et mineures pour avoir des relations sexuelles. Six femmes, dont l’identité est protégée, collaborent avec les fédéraux. Ce sont elles que les trois hommes, qui affirment faire partie de l’entourage de l’artiste, sont accusés d’avoir menacées.

    Le premier, Richard Arline Jr., âgé de 31 ans, se présente comme un ami de longue date du chanteur incarcéré. Il est inculpé pour avoir essayé d’influencer l’une des femmes afin qu’elle retarde ou annule son témoignage. Il lui aurait proposé 500.000 dollars, selon Billboard.

    Donnell Russell, 45 ans, se décrit comme manager, conseiller et ami de R. Kelly. Il est accusé d’avoir menacé de diffuser des photos d’une des victimes dans des positions sexuellement explicites si elle continuait de collaborer avec la justice contre l’artiste. L’avocat de la jeune femme a reçu des photos découpées d’elle nue et une lettre menaçant que les prochaines « ne seront pas coupées ». La mère de la jeune a également reçu un courrier similaire.

    Michael Williams, 37 ans, est un proche de l’ancien attaché de presse de R. Kelly. Il est accusé d’avoir mis le feu à une voiture louée par le père d’une des jeunes femmes, qui était garée devant chez elle, en Floride. Les enquêteurs ont trouvé plusieurs preuves – via son historique Internet ou encore le bornage téléphonique et des caméras de surveillance – démontrant qu’il a cherché à connaître son adresse et s’y est rendu. R. Kelly, qui n’est pour l’instant pas inquiété dans ces affaires, a fait savoir, par l’intermédiaire de son avocat, Steven Greenberg, qu’il « ne peut pas contrôler tout le monde et n’est pas responsable de ces trois hommes ».

    « Ricky Martin déplore la difficulté d’adopter pour les personnes LGBTQ + dans certains paysValérie Trierweiler a été licenciée de Paris Match »
    Partager via Gmail DeliciousGoogle Bookmarks Blogmarks Pin It

    Tags Tags :
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter