• Arielle Dombasle explique pourquoi elle vouvoie Bernard-Henri Lévy

    Le jour où Arielle Dombasle a croisé pour la première fois le regard de Bernard-Henri Lévy, le coup de foudre a été aussi intense qu’immédiat. « C’était à Milan, face à la Scala où je chantais du Mozart, avait-elle raconté à Gala. Le début d’une folle passion qui dure toujours. Tout ce que je fais, je le fais pour l’éblouir. Et lui aussi, je crois… J’espère. » En voyant son « visage de Christ tourmenté », la chanteuse n’a eu qu’une envie : « le sauver ». C’est ainsi qu’est née leur histoire, avant un mariage en 1993. Depuis toutes ces années, les époux ont gardé une particularité qui peut paraître désuète de nos jours. Comme quelques autres couples célèbres (Jacques et Bernadette Chirac, ou encore Julien Clerc et Hélène Grémillon), Arielle Dombasle et Bernard-Henri Lévy se vouvoient.

    Ce lundi 2 mars, Arielle Dombasle était invitée dans L’instant de Luxe sur Non Stop People. « Pourquoi est-ce que vous tenez tant à vous vouvoyer tous les deux ? », lui a demandé Jordan de Luxe. « Ce n’est pas que j’y tiens, c’est comme ça, lui a répondu l’artiste. Moi, dans ma famille, les gens se vouvoyaient. Mon père vouvoyait ma mère. » Une habitude, donc, mais aussi un vrai parti pris : « Je trouve que le vouvoiement, c’est plein de délicatesse et de retenue, a expliqué Arielle Dombasle. Phonétiquement, c’est joli. Le “vous” c’est comme une caresse. Le “tu”, c’est plus… vulgaire. » Une explication qui a fait sourire Jordan de Luxe. Taquin, l’animateur lui a posé une question lourde de sous-entendus scabreux : « Alors à quel moment vous lui dites “tu”, à Bernard-Henri Lévy ? » Arielle Dombasle a préféré botter en touche : « Ah, je ne vous dirai pas ! », a-t-elle répondu. 

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