• Une série Cobra pour le streaming serait possible selon Sylvester Stallone

    A l'époque, Cobra avait généré 180 millions de dollars de recettes dans le monde. De quoi faire une franchise ? Sans aucun doute, mais la vie de Sylvester Stallone en a décidé autrement. Lors de sa conférence de presse au Festival de Cannes, l'acteur a expliqué :

    "Le concept de Cobra, c'était : et si Bruce Springsteen avait un gun ? C’était entre le rock'n'roll et le drama. Cela aurait dû donner une autre franchise parce que ce personnage était tellement cool. Mais j'ai tout gâché. Ma vie personnelle s'est mise en travers à cette époque". Il faut préciser que Brigitte Nielsen lui donnait la réplique dans le film et le couple a divorcé au moment de la sortie, fin 1986.

    Mais aujourd'hui, Sylvester Stallone évoque la possibilité d’une nouvelle vie pour le personnage de Cobra, avec une série télé : "Nous essayons de le faire revenir sous forme de série télévisée en streaming. Faites revenir le "Zombie squad". Je vois loin, mais l'idée est vraiment bonne. "

    Un drama en streaming permettrait effectivement de rester fidèle au ton du film original, ultra violent et graphique. L’intrigue suivait à l'époque le lieutenant Marion "Cobra" Cobretti du LAPD, membre de la division d'élite "Zombie Squad", luttant pour faire tomber le groupe suprémaciste nommé The New World.

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  • Ford v. Ferrari : les premières images de Christian Bale et Matt Damon

    Brad Pitt et Leonardo DiCaprio ne sont plus les seuls prétendants aux prochains Oscars. Les acteurs de Once Upon a Time in Hollywood devront certainement composer avec le duo Matt Damon/Christian Bale, qui s’est affiché vendredi dans les premières images du biopic automobile Le Mans 66 (via Entertainment Weekly). Réalisé par James Mangold (Logan), le film se concentre sur deux membres de l’équipe Ford qui tentent de renverser la dominance de l’écurie Ferrari pendant l’édition 1966 des 24h du Mans. Matt Damon enfile le costume du créateur automobile Carroll Shelby qui s’associe au pilote de course Ken Miles, incarné par Bale. Ce dernier est de nouveau passé par l'une de ses impressionnantes transformations physiques, perdant tout le poids gagné pour son rôle de Dick Cheney dans Vice d’Adam McKay.

    L'ancien Bruce Wayne décrit cette histoire de rivalités entre les deux constructeurs comme un "David contre Goliath contre Goliath." Avant d’ajouter : "Il y a le Goliath industriel avec Ford, le Goliath charismatique avec Ferrari et enfin cette histoire vraie du triomphe de deux marginaux". James Mangold a également dévoilé son ambition de recourir le moins possible aux effets spéciaux pour les scènes de course. Une sobriété chère au cinéaste américain, qui avait conquis la presse comme les spectateurs dans Logan.

    Le Mans 66 sortira le 13 novembre dans les salles françaises.

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  • L’ancien manager de Stan Lee arrêté pour abus de faiblesse envers le roi des comics

    L’ex-manager de Stan Lee a été appréhendé samedi dans l’Arizona pour abus de faiblesse, vol, fraude et séquestration envers le célèbre auteur de comics, mort en novembre dernier à l’âge de 95 ans. L’interpellation de Keya Morgan intervient au terme d’une enquête de plus d’un an sur la relation qui liait les deux hommes. Avant la mort du père d'Iron Man, son avocat avait d’ailleurs rempli une injonction d’éloignement contre Morgan, le qualifiant de "collectionneur qui s’est introduit dans la vie de Stan Lee comme son aidant" et l’accusant d’avoir voulu mettre main basse sur sa fortune, estimée à 50 millions de dollars.

    Ce n’est pas la première fois que Keya Morgan a des démêlés avec les forces de l’ordre, comme le démontre son arrestation par la police de Los Angeles en 2018. En cause, des appels mensongers au numéro d’urgence 911 attestant que la vie du magnat des comics était en danger. Selon la LAPD, ces fausses alertes étaient destinées à faire changer Stan Lee de résidence pour l'isoler dans un appartement appartenant au manager. Keya Morgan doit comparaître devant un juge avant d'être "extradé vers Los Angeles pour être mis en accusation" selon la police de la Cité des Anges.

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  • Cannes 2019 : la Palme d'Or pour Parasite de Bong Joon-ho

    Ça aurait pu être Park Chan-wook en 2004. Mais Quentin Tarantino avait dû céder face à son jury et ne décerner à Old Boy "que" le Grand Prix. Quinze ans plus tard, la Corée du Sud décroche, enfin, sa première Palme d'Or, au nez et à la barbe du réalisateur de Pulp Fiction, reparti bredouille : Parasite a en effet remporté le trophée suprême de cette 72ème édition du Festival de Cannes, qui lui a été remis par Catherine Deneuve et le président Alejandro Gonzalez Inarritu. Et c'est une belle revanche pour son réalisateur Bong Joon-ho, dont la première participation à la Compétition, en 2017, avait surtout été marquée par la polémique entourant la présence de Netflix et l'absence de sortie dans les salles françaises d'Okja, dont la plateforme était productrice et diffuseuse.

    Avec son septième long métrage, le cinéaste marque l'Histoire, de son pays et du Festival, et bon nombre sont ceux qui ont poussé un "ouf" de soulagement en entendant Alejandro Gonzalez Inarritu prononcer son nom. Et notamment du côté de la presse qui en avait fait son chouchou (avec notamment Douleur et Gloire de Pedro Almodovar), qui ne tarissait pas d'éloges sur cette "satire politique sociale imparable" (Première), imprévisible, jouissive et dont "la fin d'une noirceur absolue n'a pas fini de nous hanter" (Paris Match). Et sa proximité thématique avec le japonais Une affaire de famille, vainqueur l'an dernier, que soulignait The Hollywood Reporter, n'a finalement pas joué en sa défaveur, et il triomphe au sein d'une sélection dont beaucoup ont salué la qualité globale, ce qui rend sa Palme d'autant plus belle.

    Autre bonne nouvelle : il ne vous faudra pas patienter très longtemps avant de découvrir cette Palme d'Or 2019. Alors que les lauréats sortent la plupart du temps au deuxième semestre (entre fin août et décembre), Parasite sera dans les salles hexagonales le 5 juin... et visible dès ce mardi 28 mai, avec une série d'avants-premières qui tombent décidément bien.

    Ils étaient quatre sur la ligne de départ, mais seuls deux candidats français se sont placés au palmarès : présenté en début de Compétition, dont il a été l'un des chocs, Les Misérables s'est adjugé le Prix du Jury, ex-aequo avec le brésilien Bacurau de Kleber Mendonça Filho & Juliano Dornelles, autre film politique projeté pendant les premiers jours. Trophée qui a d'ailleurs été remis par le très engagé Michael Moore. Comparé à La Haine de Mathieu Kassovitz, lui aussi récompensé sur la Croisette (Prix de la Mise en Scène en 1995), l'opus de Ladj Ly n'a pas encore de date de sortie, mais nul doute que ce trophée, conjugué à l'exposition qui lui a été offerte dans le sud de la France, devraient accélérer les choses. Et le cinéaste a profité de sa présence sur scène pour saluer "tous les misérables de France", aussi bien du côté des policiers que du peuple, en référence aux événements qui secouent la France depuis plusieurs mois maintenant.

    Autre lauréat tricolore : Céline Sciamma, Prix du Meilleur Scénario pour Portrait de la Jeune Fille en Feu... que bon nombre de personnes attendaient ailleurs. Pour un double Prix d'Interprétation, remis à Adèle Haenel et Noémie Merlant. Un Grand Prix, voire une Palme, la première remise à une femme depuis Jane Campion en 1993. Car c'était, avec Douleur et Gloire et Parasite, l'un des films ayant le plus fait chavirer la Croisette, beaucoup louant sa mise en scène et ses actrices. Mais c'est "seulement" pour son écriture que la réalisatrice a été sacrée, symbole d'une étrange cérémonie de clôture.

    Ont-ils voulu surprendre ? Aller à l'encontre des pronostics ? À l'image des discours dont n'est ressorti aucune mention de l'attentat survenu à Lyon ce vendredi 24 mai, donnant un peu plus l'impression d'un festival coupé du reste du monde, le jury d'Alejandro Gonzalez Inarritu a d'abord semblé aux antipodes des goûts du public et de la presse : un Prix du Scénario pour un film de mise en scène (Portrait de la Jeune Fille en Feu) ; le Prix de la Mise en Scène aux frères Dardenne, qui complètent leur collection de trophées cannois (et reviennent au palmarès après en avoir été absent avec Deux jours, une nuit et La Fille inconnue), alors que celle du Jeune Ahmed brille par sa sobriété ; un Prix du Jury partagé par deux films politiques (Les Misérables et Bacurau) assez forts pour chacun le mériter seul ; et un Prix d'Interprétation Féminine décerné à la comédienne de l'un des films ayant le plus divisé de la quinzaine (Little Joe).

    Le tout pendant qu'Elia Suleiman reçevait une mention spéciale inattendue pour It Must Be Heaven, et que Ken Loach, Terrence Malick et Quentin Tarantino repartaient les mains dans les poches avec les pourtant très appréciés Sorry We Missed You, Une vie cachée et Once Upon a Time... In Hollywood, qui s'est néanmoins consolé avec la Palm Dog. En déjouant ainsi les pronostics, le jury a rappelé que ses goûts et ceux des autres festivaliers, presse comme spectateurs, ne se rejoignent pas toujours au palmarès. Encore plus pendant une année comme celle-ci, où le haut niveau de la Compétition ne pouvait que mener vers des choix radicaux, le président ayant rappelé "la difficulté de donner si peu de récompenses à des gens qui méritent tellement". Avec, quand même, deux beaux symboles à la clé.

    Peu de temps après le sacre de La Distance entre le ciel et nous, premier court métrage grec à remporter la Palme dans sa catégorie, ou la Caméra d'Or remise à Nuestras Madres (déjà lauréat du Prix SACD à la Semaine de la Critique), film sur le génocide guatémaltèque, Antonio Banderas est monté sur scène pour recevoir l'un des rares trophées majeurs de sa carrière : le Prix d'Interprétation Masculine pour Douleur et Gloire de Pedro Almodovar. Qui n'aura donc pas la Palme cette année, malgré un très bel opus qui est aussi son plus personnel, dans la mesure où il se livre à l'exercice de l'autofiction et avoue des choses qu'il n'a jamais dites (à sa mère, un ancien amant, des acteurs) à travers un alter ego cinéaste au cheveux gris et en brosse.

    Même si l'on peut regretter que Douleur et Gloire n'ait pas été plus haut dans le palmarès, c'est aussi Pedro Almodovar qui est récompensé via ce prix remis à Antonio Banderas, treize ans après celui de Penélope Cruz, son autre muse, pour Volver. Comme il l'a rappelé pendant son discours, c'est bien son metteur en scène qu'incarne celui qui tournait pour la huitième fois sous sa direction dans le film sorti le 17 mai, ce qui rend l'image presqu'aussi belle qu'une Palme.

    Autre symbole marquant : Mati Diop. Première femme noire à présenter un film en Compétition, la cinéaste nous avait offert un beau moment d'émotion avec Atlantique, tant pendant la montée des marches qu'à la fin de la projection, lorsque les applaudissements ont fait couler les larmes l'une de ses actrices. Et la belle histoire s'est poursuivie pendant la cérémonie de clôture, où son premier long métrage a remporté le Grand Prix. Là encore, à la surprise quasi-générale de ceux qui l'imaginaient plutôt lauréate d'un Prix du Jury ou de la Mise en Scène en la voyant sur le tapis rouge ce samedi 25 mai. Mais il était dit que le parcours cannois de la réalisatrice serait beau jusqu'au bout.

    Complément du court documentaire Atlantiques, qu'elle avait réalisé en 2009, Atlantique va donc bénéficier du coup de projecteur offert par le Grand Prix, traditionnellement remis au film de la Compétition ayant manifesté le plus d'originalité ou d'esprit de recherche. Malgré ses défauts de rythme, l'opus de Mati Diop s'inscrit totalement dans cette idée, assaisonnant la dure réalité du quotidien des habitants de Dakar avec des éléments de fantastique, et en adoptant le point de vue d'une femme dont l'amant a pris la mer pour rallier l'Europe, au péril de sa vie.

    Attendu le 2 octobre dans nos salles, Atlantique se place autant dans la lignée des Misérables (autre marqueur de l'évolution de la société métissée) qu'il fait écho à Bacurau et surtout la Palme 2019, Parasite, dans sa façon de mêler le genre à l'observation sociale. Des opus qui illustrent bien la façon dont la politique s'est invitée dans le palmarès de cette 72ème édition, un peu surprenant (et parfois décevant) au regard des forces en présence, mais qui n'a pas manqué de marquer l'Histoire à plus d'une reprise.

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  • Venu remettre le Prix de la mise en scène aux frères Dardenne pour Le Jeune Ahmed, l'acteur Viggo Mortensen a profité de son discours pour rendre hommage à la réalisatrice française Agnès Varda, disparue en mars dernier.

    Dans un français maîtrisé, l'acteur se souvient avoir rencontré Agnès Varda et sa fille Rosalie dans un avion six mois plus tôt. Cette dernière a échangé de siège avec sa mère afin de les laisser discuter : "On a beaucoup parlé, surtout de cinéma bien sûr. Mais aussi de nos enfants, du changement climatique, de recyclage, de la vie des oiseaux en hiver, enfin un peu de tout... Je savais qu'elle était malade, qu'elle était un peu épuisée, mais elle parlait de nouveaux projets et de l'art de la mise en scène comme si elle avait tout le temps du monde." 

    Il conclut : "Je pensais à une chose simple mais très importante qu'elle venait de me dire : pour faire du bon cinéma, il ne faut pas montrer mais simplement donner l'envie de voir."

    Mise à l'honneur sur l'affiche de cette 72ème édition du Festival de Cannes, Agnès Varda nous a quittés le 29 mars 2019. Elle avait obtenu une Palme d'Or d'honneur en 2015.

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  • Parce qu'il est « 1er de sa classe », Abou, 13 ans, fait la fierté de son père qui est très à cheval sur la réussite de ses enfants. Mais l'adolescent est surtout le roi du mensonge et du bulletin truqué ! Ainsi, quand arrive la première réunion parents-professeurs, il décide de recruter des faux enseignants parmi ses connaissances du quartier pour faire face à son vrai père. En même temps, ses vrais professeurs rencontreront son faux père...

    Premier de la classe marque les premiers pas du scénariste Stéphane Ben Lahcene (Hôtel Normandy) à la réalisation. Le prodige de la triche est joué par le jeune inconnu Mutamba Kalonji, tandis que son père est campé par Pascal NZonzi (livrant une prestation qui n'est pas sans rappeler son personnage d'André Koffi dans Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu et sa suite). Michèle Laroque incarne quant à elle une enseignante obligeant Abou à rentrer dans le droit chemin.

    Premier de la classe sortira le 10 juillet en salles.

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  • Sonic : la sortie du film repoussée en 2020 pour obtenir "le résultat parfait"

    Il y a quelques semaines, les fans n'avaient pas mâché leurs mots en découvrant la première bande-annonce de Sonic, adaptation en prises de vues réelles de la célèbre franchise vidéoludique. Suite à leurs réactions incendiaires, le réalisateur Jeff Fowler avait ainsi promis sur son compte Twitter de revoir sa copie, notamment concernant le look du personnage (presque unanimement critiqué).

    Un défi de taille, puisque la sortie du long métrage avait déjà été anoncée pour le 8 novembre 2019, ce qui laissait à peine 6 mois aux équipes techniques pour modifier tout le film. Comme on pouvait s'y attendre, un (court) délai supplémentaire leur a finalement été accordé. Ainsi que vient de l'annoncer Jeff Fowler, le film sortira donc finalement le 14 février 2020 - le jour de la Saint-Valentin - environ 3 mois après la date initiale.

    Ainsi que l'explique le metteur en scène sur Twitter, ces quelques semaines de plus devraient lui permettre - à lui et à ses équipes - d'obtenir le "résultat parfait", précisant également à travers un hashtag humoristique qu'"aucun designer numérique n'avait été blessé durant la conception du film".

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  • Akira : Taika Waititi confirmé aux commandes de l'adaptation live

    Petite séquence flashback. En octobre 2017, le réalisateur néo-zélandais Taika Waititi, à qui l'on doit Thor : Ragnarok, expliquait dans un entretien accordé à IGN sont intérêt pour prendre les commandes de l'arlésienne qu'est l'adaptation live d'Akira. "J’ai été en négociations pour faire le film, c’est vrai, et c’est quelque chose qui m’emballait vraiment – et m’emballe toujours" déclarait-il. "J’aime le manga, d’ailleurs. Et le film, mais je n’en ferais pas un remake. J’adapterais le manga. Donc, oui, c’est vrai, il y a eu des discussions." Pour mémoire, le film fut déjà lancé en production avec Jaume Collet-Serra aux commandes en 2012, avant que le tournage soit finalement annulé à la dernière minute...

    Et depuis les propos de Taika Waititi ? Rien, ou si peu. Jusqu'à aujourd'hui. Warner Bros., qui produit le film, vient officiellement de décaler la sortie du film aux Etats-Unis, initialement prévue le 14 mai 2021, au... 21 mai 2021. Mais confirme surtout que Taika Waititi est bel et bien aux commandes de l'adaptation, qui est par ailleurs coproduite par Leonardo DiCaprio, via sa société de production Appian Way.

    Que la route est longue depuis la première évocation de cette adaptation du chef-d'oeuvre de Katsuhiro Ôtomo, qui remonte à 2008...

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  • Star Wars : une série sur Boba Fett pour Disney+ ?

    Boba Fett de retour ? Selon les informations de We Got This Covered qui les tiennent d'un insider, une série sur Boba Fett serait en développement par Lucasfilm pour la future plateforme de streaming Disney Plus. Le personnage est un chasseur de primes adoré des fans de Star Wars pour sa dégaine hallucinante et le mystère qui entoura longtemps sa personne. Ajouté à Un Nouvel Espoir par George Lucas en 1997, il était avant cela apparu pour la première fois dans L'Empire contre-attaque, puis Le Retour du Jedi. On le reverra notamment dans L'Attaque des clones ou encore Clone Wars.

    En 2014, il était annoncé qu'un film spin-off sur Boba Fett était en cours d'écriture par Josh Trank. Le projet était si avancé qu'un court teaser était prévu pour la Star Wars Celebration de 2015, mais ne fut jamais montré, en raison du départ de Trank pour divergences créatives. C'est James Mangold (Logan) qui devait reprendre le projet, avant que Lucasfilm ne décide de ranger le scénario dans les tiroirs pour se concentrer sur les séries pour Disney Plus.

    On notera en tout cas que si Disney avait déclaré lever le pied sur les films Star Wars (dont le prochain arriverait finalement dès 2022), les potentielles séries galactiques pour Disney Plus se multiplient. Parmi les shows "live-action", on compte The Mandalorian (diffusion le 12 novembre), Boba Fett, et un prequel à Rogue One. Et côté animation, Dave Filoni (Rebels) travaille à une nouvelle saison pour Clone Wars. Si les projets avancent bien, il devrait y avoir une série par an pour faire patienter les fans jusqu'à la sortie du premier opus d'une trilogie inédite pour le cinéma.

    Plus proche de nous, Star Wars reviendra le 18 décembre prochain avec L'Ascension de Skywalker, réalisé par J.J. Abrams.

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  • Un an après les États-Unis, le dernier épisode de NCIS dans lequel apparaît Pauley Perrette, l'interprète d'Abby, est enfin diffusé ce soir sur M6. Une page qui se tourne pour tous les fans de la série policière à succès, mais qui ne signifie pas pour autant que la comédienne de 50 ans en a terminé avec le petit écran puisqu'elle sera prochainement de retour sur la chaîne américaine CBS à la tête d'une toute nouvelle série... qui sera cette fois-ci une comédie !

    En effet, après 15 ans passés dans NCIS, Pauley Perrette a récemment décroché le rôle féminin principal de Broke, une sitcom produite par Jennie Snyder Urman (Jane The Virgin) et créée par Alex Herschlag (Will & Grace), dont la bande-annonce est à découvrir ci-dessus. Également portée par Jaime Camil, alias Rogelio dans Jane the Virgin, et par Natasha Leggero, Broke suit le quotidien de Miguel, un fils à papa riche à millions qui voit sa vie bouleversée le jour où son père décide de lui couper les vivres. Un imprévu de taille qui les force, sa femme et lui, à aller s’installer chez la sœur de madame, Jackie, avec qui ils n’étaient plus en contact. Cette dernière, incarnée par Perrette, est une mère célibataire qui a du mal à joindre les deux bouts et tente de s’en sortir en assurant la gérance d’un bar. Décrite comme une dure à cuire au tempérament volcanique, Jackie ne voit évidemment pas d’un bon œil le retour de sa sœur snobinarde dans sa vie, mais va finir par se rappeler qu’il n’y a rien de plus important que la famille et qu’elle aime profondément celle avec qui elle a grandi.

    Avec ce nouveau rôle visiblement très loin de celui d'Abby, Pauley Perrette prouve ainsi qu'elle est restée en bons termes avec la chaîne CBS, malgré ses révélations de l'an dernier, dans lequelles elle avouait avoir été agressée à plusieurs reprises sur le tournage de NCIS. Mais pour la découvrir dans ce registre très différent, les fans de la comédienne devront s'armer de patience puisque Broke, dont une première saison de 13 épisodes a été commandée il y a quelques jours, n'arrivera pas avant début 2020 à l'antenne de CBS aux États-Unis.

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