Avant de devenir une actrice célèbre, Zoe Saldana travaillait dans un fast-food pour gagner sa vie et n’hésitait pas à venir en aide aux sans-abri en leur donnant à manger. Toutefois, sa générosité naturelle lui a souvent coûté son poste. Un souvenir que la star des Gardiens de la Galaxie a évoqué dans un entretien accordé à Us Weekly.

« Mon premier boulot était chez Burger King, j’aimais travailler au Drive. On me virait tous les vendredis et on me réembauchait tous les samedis à cause du manque de personnel. Je crois que j’avais beaucoup d’empathie quand les sans-abri venaient, donc je leur donnais toujours de la nourriture et me faisais attraper », a-t-elle expliqué.

Au cours de l’interview, Zoe Saldana a notamment fait part de ses propres préférences alimentaires. Et elle a un fort penchant pour la pizza new-yorkaise, celle de sa ville natale.

« Chez moi, tout se rapporte à New York dès le moment où j’ouvre la bouche. Il y a également mon amour pour la pizza new-yorkaise. Je suis mariée à un Italien et il est horrifié que, pour moi, la pizza new-yorkaise est de loin la meilleure au monde », ajoute-t-elle, précisant qu’elle mange surtout « macrobiotique ».

Le mannequin Heidi Klum file le parfait amour avec l’ancien guitariste de Tokio Hotel, Tom Kaulitz, et ce que personne n’a oublié de noter, c’est qu’elle a 17 ans de plus que lui. Une différence d’âge que tout lui monde lui rabâche et elle en a un peu marre.

« Je ne pense pas vraiment à l’âge qui passe. Je sais que c’est là, ça m’arrive comme à tout le monde. Mais ce n’est pas comme si je me levais tous les matins en me disant ‘’Oh mon dieu’’ en me regardant dans la glace. Seulement, dernièrement, je me souviens de mon âge bien plus à cause d’autres personnes que parce que j’y pense moi-même », a-t-elle confié à InStyle.

La top a en tout cas bien conscience que la différence d’âge entre elle et son compagnon dérange. « Mon petit ami est bien plus jeune que moi et beaucoup de gens s’en préoccupent et posent des questions. C’est bien le seul moment où mon âge m’est jeté à la figure et que je dois m’en expliquer », ajoute-t-elle.

Si la sensation est désagréable, elle tente de ne pas trop s’en préoccuper. « La seule chose à faire est de vivre une vie heureuse sans se préoccuper de ce que pensent les autres. Les soucis, ça donne encore plus de rides ! », conseille-t-elle.

La chanteuse Katy Perry compte faire autre chose de sa carrière une fois son actuelle tournée terminée. Comme elle l’a confié dans l’émission de radio australienne Smallzy’s Surgery que relaye Star, elle veut passer devant la caméra.

« Il est temps pour moi de changer de vie, selon mon propre calendrier et à ma façon. J’aimerais bien suivre d’autres cours, ou peut-être faire un film, plus tard, faire des choses différentes », a-t-elle expliqué.

Côté rôle, elle ne se voit pas dans quelque chose de trop sombre ou dramatique. Elle veut une comédie. « J’aimerais bien jouer dans une comédie, mais il faudrait que ce soit dans la veine d’une Kristen Wiig ou Jenny Slate, très sec, un peu dans le style des comédies sombres, comme Mes meilleures amies », a-t-elle expliqué.

Pour l’instant, Katy Perry a prêté sa voix à la Schtroumpfette pour la version en anglais et a participé à la série How I Met Your Mother le temps d’un épisode (saison 6 intitulé Oh Honey).

L’actrice Gwyneth Paltrow n’a jamais eu de relation avec le rappeur Jay-Z et le fait savoir. Elle a en effet été obligée d’apporter un démenti après les déclarations surprenantes de la mannequin Amber Rose dans le podcast Make Speidi Famous Again de Heidi et Spencer Pratt. D’après l’ex de Kanye West, la comédienne aurait eu une liaison avec le mari de Beyoncé.

« C’est complètement absurde et 100 % faux », a fait savoir le porte-parole de la comédienne comme le relaye E! News​.

Amber Rose faisait référence au mystère « Becky with the good hair ». Il s’agit de la maîtresse mystérieuse de Jay-Z dont Beyoncé parle dans son titre Lemonade. Personne n’a pour l’instant réussi à trouver son identité, mais elle est haïe par les fans de Queen Bey.

Plusieurs noms ont circulé, que ce soit les chanteuses Rihanna ou encore Rita Ora, qui ont elles aussi dû démentir la rumeur. Jay-Z, de son côté, s’est excusé d’avoir été infidèle dans son dernier album 4:40.

Demi Lovato va mieux. La jeune femme s’est exprimée pour la première fois depuis son hospitalisation mardi pour une overdose et s’est dite « reconnaissante d’être en vie », rapporte le site E!. De même, elle s’apprêterait à retourner en cure de désintoxication.

On en sait également un peu plus sur le déroulé de sa soirée avant son overdose. Hospitalisée pour sa consommation excessive d’alcool récemment, Demi Lovato n’aurait pas respecté ses vœux de sobriété.

Lundi soir, elle aurait passé une soirée fortement alcoolisée avec des amis, dans un bar de Los Angeles pour fêter l’anniversaire de son chorégraphe. Selon des témoins, les personnes qui l’entouraient « l’encourageaient » à boire.

La soirée se serait alors poursuivie au domicile de la jeune femme, où elle aurait fait une overdose. Les informations ne sont pas très claires concernant les drogues consommées ce soir-là. Certains médias américains parlent d’héroïne (démenti par les proches de la chanteuse), d’autres de méthamphétamine, ou encore de Narcan, un traitement d’urgence en cas d’overdose.

À quelques semaines de sa projection au festival de Venise, Roma, le nouveau Alfonso Cuarón (Les Fils de l’homme, Gravity, Y tu mamá también…) se dévoile à travers un premier teaser très mystérieux. On y voit un jet d’eau nettoyer le sol d’une rue. Entre deux bulles de savon, un avion passe dans le reflet. Le film, tourné en noir et blanc, sera diffusé sur Netflix d’ici la fin de l’année. L’histoire racontera les vies de Cleo (Yalitza Aparicio), une jeune aide ménagère mexicaine, et sa collègue Adela (Nancy García García), qui travaillent pour Sofia (Marina de Tavira), mère de quatre enfants d’une famille de la classe moyenne. L’enjeu dramatique sera centré sur la lutte des classes et l’immigration au Mexique.

« 90 % des scènes du film sont tirées de ma mémoire », assure Alfonso Cuarón à Indiewire. « Parfois directement, parfois moins. Ça parle d’une période qui a fait de moi qui je suis, mais également d’une période qui a formé un pays. C’était le début d’une longue transition au Mexique ». Et le réalisateur explique sa décision de diffuser Roman sur Netflix : « Il faut que ça touche le plus grand public possible (…) Rien à voir avec l’aspect commercial des choses, je voulais juste m’assurer que le film ait une longue vie ». 

La sélection officielle de la 75ème édition du Festival international du film de Venise, qui a été révélée hier, ne fait pas l’unanimité. Un seul des films en compétition cette année a été réalisé par une femme, sur un total de 21 films sélectionnés. Il s’agit de Nightingale de l’Australienne Jennifer Kent. C’est autant - ou aussi peu - que l’année dernière, où Vivian Qu était la seule réalisatrice en compétition.

Alberto Barbera, le directeur artistique de la Mostra de Venise, s’est exprimé hier sur le sujet, dans le cadre d’une interview accordée à The Hollywood Reporter à Rome. Il défend le fait qu’une seule femme ait été sélectionnée : "De mon point de vue, rajouter un film en compétition uniquement parce qu’il a été réalisé par une femme serait offensant pour la réalisatrice", explique-t-il. "Je préférerais changer de métier plutôt que d’être obligé de sélectionner un film parce qu’il a été réalisé par une femme et non parce qu’il est réussi."

Pour Barbera, c’est la qualité qui prime avant tout : "Mon travail consiste à dire si le film est bon ou non, et s’il est meilleur qu’un autre", affirme-t-il. Pour cela, la meilleure solution est de voir les films à l’aveugle, pour ne "pas être influencé par le réalisateur". Ce qui n’est pas toujours si simple, reconnaît Barbera. "Je me fiche que ce soit un homme ou une femme (qui ait réalisé le film). Ce qui m’importe c’est que ce soit un bon film", a-t-il déclaré.

Selon Barbera, le problème ne vient pas de la Mostra de Venise, il est bien plus général : "Bien sûr que j’aimerais qu’il y ait davantage de femmes sélectionnées, mais ça ne dépend pas de moi." S’il est vrai que les femmes réalisatrices sont moins nombreuses que les hommes réalisateurs, la disparité entre les deux n’est pas d’un vingt-et-unième pour autant. Les films réalisés par des femmes ne manquent pas. Sur les 1500 films proposés pour la sélection cette année qu’aurait regardé Barbera, un tiers serait réalisé par des femmes. Moins d’un vingtième des films en compétition contre un tiers des films proposés ? Le problème vient donc d’ailleurs …

La Mostra n’est pas le seul festival concerné par ce problème. Trois réalisatrices étaient sélectionnées à Cannes cette année sur un total de 21 films en compétition. D’où la montée des marches coup de poing de 82 femmes en mai dernier, pour sensibiliser le public à la sous-représentation des femmes réalisatrices ainsi qu’à l’inégalité salariale entre hommes et femmes. Depuis la création du Festival de Cannes, il y a soixante-dix ans, seuls 82 films réalisés par des femmes ont été sélectionnés en compétition.

Jennifer Kent, la seule femme réalisatrice en compétition cette année à la Mostra, s’est fait connaitre en 2014 avec Babadook. Nightingale, en lice pour le Lion d’or, s’annonce comme une sorte de True Grit en Tasmanie. Ce second long-métrage racontera l’histoire d’une jeune irlandaise de 21 ans accusée de meurtre en Tasmanie au début du XIXème siècle. La jeune femme, dont le mari et l’enfant ont été tués, fait appel à un chasseur de prime pour se venger.

Un nouveau thriller policier s’apprête à précipiter la fin de l’été et à faire plonger le mercure. Elven - la rivière des secrets débarque sur Arte à partir du jeudi 23 août à 21h. L’intrigue de ce polar sombre se déroule au beau milieu des plaines enneigées de Norvège. Dans ce paysage où la nature semble hostile et oppressante, une jeune fille découvre avec horreur un cadavre démembré. La police est prévenue et l’inspecteur Thomas Lønnhøiden se saisit de l’enquête. Il se plonge alors au cœur d’une affaire mêlant les instances politiques à l’armée et aux services secrets… 

Avec un scénario fort en rebondissements et un environnement unique, Elven est l’occasion pour les téléspectateurs de découvrir les profondeurs de la Scandinavie. Le tout dans une société où la corruption et l’omerta sont monnaies courantes. Ce polar nerveux est porté par Espen Reboli Bjerke – vu dans la série militaire The Heavy Water War –  et rassemble les éléments qui ont fait la réputation des séries policières nordiques, à savoir la politique, les forces de l’ordre et des personnages hauts en couleur. Est-ce suffisant pour que le public français sorte les manteaux plus tôt cette année ?

C'est officiel, Michelle Williams et Sam Rockwell reformeront le célèbre couple de danseur Bob Fosse et Gwen Verdon pour le petit écran. Selon The Hollywood Reporter, la nouvelle mini-série de FX sera adaptée de Fosse, la biographie signée Sam Wasson, et dans laquelle l'auteur revient sur la vie du chorégraphe star, entre 1950 et 1980. Steven Levenson (Masters of Sex) officiera au poste de showrunner, tandis que Nicole Fosse, la fille du couple, et Lin-Manuel Miranda coproduiront la série.

Au total, la série comptera huit épisodes et explorera la relation créative et romantique qui unissait Gwen Verdon et Bob Fosse, également reconnu pour ses talents de réalisateur  - on lui doit notamment Cabaret, Lenny ou Que le spectacle commence ! - et dont le travail et le style ont largement inspiré la danse et les spectacles musicaux américains. 

Si, de fait, Sam Rockwell ne ressemble pas vraiment à Fosse, il n'en reste pas moins un acteur de renom (récemment oscarisé pour sa prestation dans 3 Billboards) et un excellent danseur. Ce projet marquera sa première incursion dans le monde de la télévision, tout le contraire de sa partenaire de jeu Michelle Williams, révélée au grand public avec Dawson il y a quinze ans. Elle prêtera ici ses traits à la muse de Fosse donc, multi-récompensée au cours de sa carrière, et qui a eu une influence considérable sur le travail de celui qui fut son époux, au début des années 60. 

La diffusion de la série, toujours sans titre à ce jour, est prévue courant 2019. 

Une autre série culte de HBO avance de nouveau vers la lumière. Alors que Les Soprano auront prochainement droit à leur prequel au cinéma, Deadwood, la série western de David Milch, va, elle aussi, ressusciter le temps d'un téléfilm de conclusion, plus de 10 ans après son annulation.

Discuté depuis des années puis devenu une sorte de fantasme irréalisable, ce téléfilm avait enfin été remis sur le devant de la scène en 2015 puis, de nouveau, il y a quelques mois. Mais, cette fois, le doute n'est plus permis. Lors des TCA (Television Critics Association), Casey Bloys, le Président des Programmes de HBO, a en effet annoncé l'officialisation du téléfilm Deadwood.

La production de cette suite pourrait même démarrer d'ici le mois d'octobre prochain pour une diffusion prévue, au plus tôt, quelque part au printemps 2019 sur HBO. Bloys n'a toutefois pas voulu donner de date précise. 

Le créateur de Deadwood, David Milch, a d'ores et déjà écrit le script du film, qui permettrait de donner une fin aux intrigues jamais résolues dans la série. Diffusée entre 2004 et 2006 sur HBO, Deadwood s'était achevée car les contrats des acteurs n'avaient pas été reconduits par HBO. En lieu et place d'une saison 4 de seulement six épisodes, option que Milch avait refusé, deux téléfilms étaient d'ailleurs prévus par Milch et la chaîne câblée. Pour autant, ces téléfilms n'avaient jamais pu voir le jour. 

Récompensée de huit Emmy Awards et d'un Golden Globe, Deadwood est toujours considérée comme l'une des meilleures séries de HBO. Elle délivrait la peinture d'un monde impitoyable porté par un prestigieux casting, composé notamment de Timothy Olyphant, Ian McShane, Molly Parker, Jim Beaver, W. Earl Brown, Dayton Callie, Kim Dickens, Anna Gunn ou encore John Hawkes.