Harry Styles faisait tranquillement le show ce lundi à l’Hammersmith Apollo de Londres, quand, lors d’un pas de danse, il a perdu l’équilibre, et a fini par devoir se retenir à son pied de micro afin de ne pas s’étaler au sol.

Un moment embarrassant mais qui ne l’a pas trop dérangé, comme on peut le voir sur la vidéo, car au lieu de piquer un fard, il a choisi d’en rire, avant de se remettre à danser. L’ Evening Standard rapporte qu’il a ensuite tenté de trouver les causes de cette chute, et que celles-ci étaient pour le moins étrange. Jugez plutôt : Harry Styles a glissé sur un kiwi (le fruit, pas le petit animal) lancé sur scène par un fan.

S’adressant à la foule, le chanteur s’est expliqué : « Vous m’avez peut-être vu perdre l’équilibre plus tôt durant la dernière chanson. Il semble que soit à cause d’un kiwi. Voilà le coupable : une purée verte et pleine de graines. Et en voilà un autre. Cela pourrait finir par être un problème ».

Wyatt est la fille de 3 ans de Mila Kunis et Ashton Kutcher et elle n’a jamais eu l’occasion encore de voir sa mère dans un film. « Ma fille n’a pas idée de ce que je fais dans la vie », a reconnu Mila Kunis sur le plateau du Jimmy Kimmel Live comme le relaye EOnline.

Il y a une bonne raison à cela : le genre de films dans lesquels tourne Mila Kunis. « Je ne sais même pas comment lui expliquer ce que je fais comme métier donc j’ignore quand elle verra mes films parce qu’aucun d’eux sont pour elle. Je ne fais clairement pas des films pour enfants », a-t-elle ajouté. En effet, quand on voit sa filmographie, difficile de faire regarder à un bambin de 3 ans Sexe entre amis ou Black Swan.

Résultat, la petite Wyatt pense que le travail de sa mère est « de se faire maquiller et coiffer ».

Si la fille de Mila Kunis n’a jamais vu un film avec sa mère, difficile en revanche de passer à côté des 4X3 géants faisant la promo des films de l’actrice, comme le dernier en date, Bad Moms 2.

« Il y a des affiches partout à Los Angeles en ce moment et elle dit : "C’est absurde, pourquoi maman porte un chapeau de Père Noël ?" », a expliqué Mila Kunis.

Rod Stewart a fait un beau geste durant les Pride Of Britain Awards. Il a même fait pleurer de joie Katie Walker qui tient un salon de beauté à Liverpool permettant aux victimes de violences domestiques de prendre soin d’elles. Selon les médias britanniques, Katie Walker recevait un prix des mains de Rod Steward quand ce dernier a annoncé la belle nouvelle.

« Je suis très fier d’être Anglais ce soir, je vous le dis. N’est-ce pas merveilleux ? Et en parlant de ça, j’aimerais donner 10.000 livres (11.400 euros) à ton salon afin qu’il continue de tourner », a déclaré la rock star.

Grâce à ce don, Katie Walker, qui a elle-même été victime de violences domestiques, va pouvoir former ses employées elles aussi victimes, non seulement aux soins des cheveux et du visage mais aussi à l’écoute des personnes victimes de violences.

La Cinémathèque française projetait hier soir D'après une histoire vraie de Roman Polanski pour donner le coup d'envoi de sa rétrospective du cinéaste. Rétrospective que l'institution a décidé de maintenir, comme elle l'a indiqué dans un communiqué, malgré les débats entourant cet événement. 

Des manifestants attendaient Roman Polanski à l'extérieur de l'établissement (quelques dizaines selon l'AFP) et comme le raconte le journaliste du Monde, Laurent Carpentier, qui était sur place, des Femen ont pu s'infiltrer dans le hall d'accueil de la Cinémathèque. 

"Le tableau est d’un contraste saisissant à l’intérieur de la Cinémathèque où quelque 600 personnes installées dans les deux salles pleines s’apprêtent à assister à la projection. (...) Standing ovation quand le petit homme aux cheveux hirsutes apparaît, peut-on lire dans les colonnes du Monde qui rapporte le discours tenu par le réalisateur en préambule de la projection : « Je suis ravi d’être ici, de montrer tous mes films, des films qui vont rester j’espère, annonce le réalisateur. La Cinémathèque sert à [les] conserver, et c’est possible maintenant pour l’éternité. A l’époque on pouvait les brûler, comme Hitler brûlait les livres. Au tout début, les copies de films, c’était sur du nitrate, ça brûlait vachement bien. Je me rappelle quand j’étais jeune, on faisait des bombes avec ça. Aujourd’hui, c’est tout numérique et pour ça que mes films sont perpétués en dépit de certains zinzins. »"

D'après une histoire vraie de Roman Polanski sort sur les écrans ce mercredi.

Après avoir été remercié par sa propre compagnie puis banni de l'Académie des Oscars, Harvey Weinstein est aujourd'hui officiellement exclu à vie du puissant syndicat des producteurs américains.

"A la lumière du comportement largement rapporté de Mr. Weinstein, avec de nouveaux éléments qui font surface encore maintenant, le Conseil d'administration national du syndicat des producteurs américains a voté à l'unanimité la proclamation d'une exclusion à vie de Mr. Weinstein, lui interdisant de manière permanente d'être membre du PGA", déclare le syndicat dans un communiqué.

"Cette décision sans précédent est la preuve du sérieux avec lequel le syndicat considère les nombreux éléments concernant des décennies d'actes répréhensibles de la part de Mr. Weinstein", peut-on également lire. "Le harcèlement sexuel ne peut plus être toléré dans notre industrie ou dans les rangs des membres de la PGA."

A noter que Gérard Depardieu s'est exprimé sur l'affaire Weinstein dans les colonnes du JDD. Evoquant son "admiration pour le courage des femmes", l'acteur déclare : "Je déteste les prédateurs, dans tous les domaines, car ils sont dans l’abus de pouvoir. Il faudrait rappeler que l’hystérie n’est pas un privilège féminin. Les femmes ne sont pas seules à pouvoir être hystériques, je connais beaucoup d’hommes hystériques. (...) Les hommes qui sont dans l’abus de pouvoir sont des hystériques."

House of Cards, c'est terminé ! La série de Netflix ne sera pas renouvelée après la diffusion de la saison 6 rapporte le site Deadline. Une annonce qui a lieu au lendemain des révélations autour de Kevin Spacey. Le comédien star de la série a en effet été visé par des accusations de harcèlement sexuel sur mineur et a décidé de publier un communiqué dans lequel il faisait également son coming out. The Hollywood Reporter précise que la décision avait été prise plusieurs mois avant que l'affaire n'éclate. 

Dans un communiqué, Media Rights Capital et Netflix indiquent "être profondément troublés par les informations récentes concernant Kevin Spacey". "Les responsables de nos deux sociétés sont arrivés à Baltimore cet après-midi pour rencontrer les comédiens et l'équipe technique pour s'assurer qu'ils se sentent en sécurité et soutenus. Comme il était déjà prévu auparavant, Kevin Spacey n'est actuellement pas sur le plateau pour tourner". Le tournage de la saison 6 est actuellement en cours dans le Maryland. Sa diffusion est prévue courant 2018 pour 13 épisodes.

Toujours selon les informations de Deadline, un autre projet de Netflix avec Kevin Spacey pourrait être mis à l'arrêt, en l'occurrence le film Gore portant sur romancier et scénariste américain Gore Vidal.

Parallèlement à l'arrêt de la série, on apprend qu'un spin-off pourrait être lancé, selon The Wrap. Plusieurs pistes seraient envisagées, notamment autour de Doug Stamper (Michael Kelly) écrit par le scénariste Eric Roth.

Pour sa huitième réalisation, Alain Chabat se glisse dans la peau du Père Noël (ce qui explique la coupe de cheveux que le comédien arbore depuis quelques mois). Dans Santa & Cie, les 92 000 lutins chargés de fabriquer les cadeaux des enfants tombent tous malades en même temps ! Santa (Claus), plus connu sous le nom de Père Noël n'a pas le choix : il doit se rendre d'urgence sur Terre avec ses rennes pour chercher un remède. À son arrivée, il devra trouver des alliés pour l'aider à sauver la magie de Noël.

5 ans après avoir adapté sur grand écran les aventures du Marsupilami, l'ex-Nul revient donc derrière la caméra pour nous offrir la comédie de Noël. Les premières images dévoilées ici (au son du nouveau titre de Sia "Santa's coming for us") nous montrent que l'humour Chabat est bien présent, et devraient rassurer les fans sur la qualité des effets visuels.

Venu présenter son film au Showeb de rentrée le 10 octobre dernier, Alain Chabat précisait "Les effets spéciaux sont faits en France (chez Mikros), à quasiment 100%, je suis content d’avoir pu tout faire ici parce qu’on a tous les talents qu’il faut, des artistes incroyables. Le film se passe 100% à Paris, on a tourné à Paris et à la Cité du cinéma pour les intérieurs. Il y a 550 effets spéciaux dans le film, j’espère qu’ils seront invisibles". Soulignons que le film a bénéficié de 5 millions d'euros de budget uniquement pour les effets spéciaux.

Si, en véritable caméléon, Alain Chabat porte à merveille la tenue du Père Noël, rappelons qu'il est expert dans l'art du déguisement (et du mime) puisque il a notamment joué un chien (Didier), incarné Jules César, Napoléon, un guérissologue aux cheveux propres à l'âge de pierre et plus récemment un pirate interplanétaire.

Dans cette nouvelle aventure Alain Chabat partage l'affiche avec Audrey Tautou, Bruno Sanches, Pio Marmai, Golshifteh Farahani, David Marsais ou encore Grégoire Ludig. Santa & Cie sortira dans nos salles le 6 décembre. 

Le succès mondial de Ça aidant, les choses s'accélèrent autour des projets liés à Stephen King. Le site Variety rapporte ainsi en ce début de semaine que deux réalisateurs viennent d'être engagés par Paramount Pictures pour être aux commandes de la nouvelle adaptation cinématographique de Simetierre, le classique du maître de l'horreur.

Ce nouveau Simetierre, mis en chantier près de trois décennies après la version de Mary Lambert, sera réalisé par deux cinéastes peu connus du grand public : Kevin Kolsch et Dennis Widmyer. Le duo avait signé en 2014 le long métrage horrifique Starry Eyes.

Pour rappel, le film Simetierre, adapté du roman de Stephen King publié en 1983, raconte l'histoire d'une famille s'installant dans une maison qui jouxte un cimetière d'animaux familiers situé sur d'anciennes terres sacrées. Une série d'accidents sanglants transforme rapidement la vie de la famille en véritable cauchemar. Une suite a vu le jour en 1992, emmenée par Anthony Edwards et Edward Furlong.

La websérie prequel Stargate Origins se dévoile un peu plus. Après un teaser proposé cet été, visible en bas de cet article, c'est aujourd'hui un making of qui se dévoile, à découvrir dans notre player ci-dessus. Actuellement en tournage, le show, composé de dix épisodes, sera diffusé sur la plateforme Stargate Command a une date encore non communiquée.

La websérie Stargate Origins met en vedette le personnage de Catherine Langford (Ellie Gall, qui succède à Viveca Lindfors et Elizabeth Hoffman dans le rôle) embarqué dans une aventure ou elle devra résoudre le mystère se cachant derrière la "Porte des étoiles" (la fameuse Stargate) afin de sauver la Terre des ténèbres.

Ce show prequel est une nouvelle étape dans l'univers SF de Stargate après notamment le long métrage réalisé par Roland Emmerich en 1994, avec Kurt Russell et James Spader en têtes d'affiche, et la série Stargate SG-1, diffusée entre 1997 et 2007.

Christoph Waltz a rendu l’a confirmé : interrogé par le site italien Talky Movie, le méchant de 007 Spectre devra changer de visage. Une annonce que le comédien fait manifestement à regret, car il aurait aimé se retrouver dans la peau  du méchant le plus iconique de l’univers de James Bond.

"Non, je suis désolé. Je suis très triste, mais c’est la tradition : il faut toujours qu’il y ait un nouveau nom. Désolé. Ça m’aurait beaucoup plu."

Il ne reste qu’à espérer que le comédien bluffe, comme il l’a longtemps fait pour le précédent épisode de la saga James Bond, se plaisant à faire croire à tout journaliste lui posant la question qu’il ne serait pas Blofeld. Malheureusement, sur le tapis rouge du Festival du Film de Rome où il est venu donner une masterclass, l’acteur a l’air assez sincère.

Effectivement, Ernst Stavro Blofeld fut plusieurs fois incarné par des comédiens qui ne reprirent jamais le rôle : Donald Pleasance, Telly Savalas, Charles Gray et John Hollis... Blofeld a recours à la chirurgie esthétique pour changer de visage. Max Von Sydow lui a aussi prêté ses traits dans Jamais plus jamais en 1983, le James Bond non-officiel avec Sean Connery.

Si la tradition perdure, c’est un fait, Christoph Waltz devra céder la place à son tour.