Alors qu'il est sorti hier sur nos écrans, le western Jane Got a Gun poursuit sa tournée promotionnelle et ses avant-premières à travers le monde.

Après être passée par l'Europe et notamment Paris en début de semaine, toute l'équipe du film porté par la ravissante et brillante Natalie Portman était hier soir à New York, afin de présenter ce western sur la côte est.

Star hollywoodienne depuis ses débuts à 12 ans dans Léon sous la direction de Luc Besson, Natalie Portman peut se vanter, aujourd'hui à 34 ans, d'avoir tourné avec les plus grands noms du septième art - Tim Burton, Robert Redford, Terrence Malick ou encore Woody Allen - d'avoir déjà un Oscar (Black Swan) tout en ayant participé à la saga Star Wars. Mais il restait encore un univers cinématographique inconnu de la comédienne : le western.
Un exercice de style qu'aujourd'hui la vedette ajoute à son incroyable filmo avec le long-métrage ce Gavin O'Connor.

Héroïne de ce western, sur fond de romance, d'Ouest Américain et de méchant, Natalie Portman brillait d'élégance hier à Manhattan, en mode gothique chic tout en dentelle noire pour une robe magnifique signée Valentino. Accompagnée de Joel Edgerton, l'actrice hollywoodienne qui vit désormais à Paris ("Je me sens de plus en plus Parisienne", clame-t-elle un peu partout lors de cette promo), était aussi sophistiquée sur tapis rouge qu'elle est badass à l'écran.

Invitée du journal de 20H de France 2 en début de semaine lors de la promo parisienne, Natalie Portman est revenue sur le style western de ce film qui a failli ne jamais voir le jour ("J'adorais l'idée d'avoir une histoire d'amour au centre d'un western. C'est vraiment typique de l'Ouest américain, ce genre d'amour fou ; l'histoire de Jane et son ancien petit ami, Dan, qui doivent se battre contre le méchant ensemble, essayer de comprendre leur relation tout en luttant"), sur ce qu'elle aime à Paris ("Ce qui est incroyable ici c'est la culture") et ce qu'elle aime un peu moins ("Ce que j'aime moins, c'est sûr qu'il fait moins beau") et sur la polémique qui agite le tout-Hollywood, le manque de diversité des Oscars : "C'est un débat très important. Il faut l'avoir puisque cela montre quelque chose de très important dans notre societé et pas uniquement devant la caméra mais aussi derrière la caméra. Si on s'intéresse aux minorités, aux femmes, et à toutes ces personnes qui sont nommées dans les catégories plus techniques (le son, la lumière, le montage) et bien en réalité il y en a très peu chaque année. Ce n'est pas qu'un problème de récompense mais aussi de la facon dont on embauche les gens", estime-t-elle.