• Natalie Portman : badass chic à la première de Jane Got a Gun

    Natalie Portman : badass chic à la première de Jane Got a Gun

    Originalement prévue en novembre, la grande première de Jane Got a Gun avait été annulée suite aux attentats de Paris mais Natalie Portman ne pouvait manquer l'événement et aujourd'hui, elle répond présente lors de la grande soirée de son premier western.
    Star hollywoodienne depuis ses débuts à 12 ans dans Léon sous la direction de Luc Besson, à 34 ans, Natalie Portman peut se vanter d'avoir tourné avec les plus grands noms du septième art - Tim Burton, Robert Redford, Terrence Malick ou encore Woody Allen - d'avoir déjà un Oscar (Black Swan) tout en ayant participé à la saga Star Wars. Mais il restait encore un univers cinématographique inconnu à la comédienne : le western.
    Un exercice de style qu'aujourd'hui la star ajoute à son cv cinématographique avec le long-métrage de Gavin O'Connor, Jane Got a Gun.

    Héroine de ce western, sur fond d'amour, d'Ouest Américain et de méchant, Natalie Portman brillait d'élégance hier à Paris, en dentelle signée Christian Dior. Accompagnée de Joel Edgerton, l'actrice hollywoodienne qui vit désormais à Paris ("Je me sens de plus en plus parisienne"), était aussi sophistiquée sur tapis rouge qu'elle est badass à l'écran.

    Invitée du journal de 20H de France 2, après l'avant-première, Natalie Portman est revenue sur le style western ("J'adorais l'idée d'avoir une histoire d'amour au centre d'un western. C'est vraiment typique de l'Ouest américain, ce genre d'amour fou ; l'histoire de Jane et son ancien petit ami, Dan qui doivent se battre contre le méchant ensemble, essayer de comprendre leur relation tout en luttant"), sur ce qu'elle aime à Paris ("Ce qui est incroyable ici c'est a culture") et ce qu'elle aime un peu moins ("Ce que j'aime moins c'est sur qu'il fait moins beau") et sur la polémique qui agite le tout-Hollywood, le manque de diversité des Oscars : "C'est un débat très important. Il faut l'avoir puisque cela montre quelque chose de très important dans notre societé et pas uniquement devant la caméra mais aussi derrière la caméra. Si on s'intéresse aux minorités, aux femmes, et à toutes ces personnes qui sont nomées dans les catégories plus techniques (le son, la lumière, le montage) et bien en réalité il y en a très peu chaque année. Ce n'est pas qu'un problème de récompense mais aussi de la facon dont on embauche les gens", estime-t-elle.

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