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Michel Cymes menace de dire ses quatre vérités aux haters
Depuis le début de la crise sanitaire, Michel Cymes est devenu la cible préférée des journalistes, mais également des politiques, à l'instar de Marine Le Pen, qui ne l'épargne pas. Ne supportant plus de voir son nom être traîné dans la boue, il a décidé de mettre une bonne fois pour toutes les choses au clair ce mercredi 10 juin au micro d'Europe 1. Alors qu'il est accusé par certains d'avoir minimisé l'épidémie, l'associant à une simple "grippette", Michel Cymes assure n'avoir jamais "prononcé ce mot" et pointe du doigt l'incompétence de certains journalistes "qui font plus du copier-coller que de la vraie recherche d'investigation".
"Je me suis tu jusqu'à maintenant mais je vais commencer à répondre à ceux qui m'ont fait dire n'importe quoi", menace l'acolyte d'Adriana Karembeu, déterminé à donner "sa vérité", lui qui a subi de plein fouet "une sorte de psychose, d'hystérie de la part des haters sur Internet qui n'avaient rien d'autre à faire que de s'exciter en envoyant des messages haineux". De cette période compliquée, le médecin assure cependant avoir "avoir beaucoup appris".
"Je prends beaucoup de recul par rapport à tout ça", confie celui qui a, malgré les attaques, pu compter sur le soutien indéfectible de Marina Carrère d'Encausse, et d'ajouter, "c'est une très très bonne leçon pour l'informateur santé que je suis". "J'ai appris que quand on est en vitrine on est le premier à prendre le pavé", déplore l'animateur, qui n'avait pas hésité une seconde à renfiler sa blouse de médecin pour prêter main forte au personnel soignant, dépassé par l'ampleur de la tâche. Après avoir "fait le dos rond" pendant plusieurs semaines, estimant que la préoccupation des Français était ailleurs, Michel Cymes est désormais prêt à en découdre.
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Tags : Michel Cymes
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