• L'histoire folle qui unit James Cameron et Guillermo del Toro

    L'histoire folle qui unit James Cameron et Guillermo del Toro

    Ils font actuellement l'événement, l'un avec Avatar : la voie de l'eau, qui vient de sortir en salles, l'autre avec une nouvelle version de Pinocchio disponible sur Netflix. Eux, ce sont James Cameron et Guillermo del Toro, deux cinéastes contemporains majeurs qui ont la particularité d'être de très bons amis.

    L'amitié entre Cameron et del Toro date précisément de 1992. A cette époque, le premier est déjà un metteur en scène incontournable avec les succès d'Aliens, Terminator et Abyss, alors que le second s'apprête seulement à dévoiler sa première réalisation pour le grand écran, le film d'horreur Cronos.

    La première rencontre entre les deux hommes se déroule lors d'un barbecue organisé par l'acteur Ron Perlman. Le courant passe immédiatement. "Au début de ma carrière, je restais chez James pendant des mois et nous regardions des dessins animés tous les soirs", racontait récemment del Toro dans le podcast ReelBlend.

    En 1998, leur amitié va se consolider avec une histoire incroyable. Quand le père de Guillermo del Toro est enlevé au Mexique, c'est James Cameron qui, de sa poche, paie la rançon ! "Il est venu et a pris le contrôle, il a parlé au négociateur des otages, il a tout fait tout seul, nous ne lui avons jamais demandé", raconte del Toro, toujours au micro de ReelBlend. "Puis il a dit "Je paie la rançon". C'est ce genre de personne, il est incroyablement loyal et fort."

    Aujourd'hui, les deux cinéastes sont toujours très proches. Preuve de leur amitié ? Guillermo del Toro a pu découvrir Avatar : la voie de l'eau bien avant sa sortie, se montrant dithyrambique et totalement conquis par l'oeuvre de James Cameron.

    Dans un entretien accordé au Daily Beast en 2013, del Toro était revenu sur son amitié avec Cameron. "Excepté Mimic, où nous étions enfermés à Toronto sans pouvoir montrer le film à quiconque, il m'a aidé sur tous mes films", déclarait le cinéaste mexicain.

    Et del Toro de poursuivre : "Pour Blade II, il m'a fait quelques remarques sur le montage. J'étais avec lui en salle de montage pour True Lies, Titanic et Avatar. Quand j'allais faire Pacific Rim, il m'a donné un cours privé sur la conversion 3D et sur la théorie de la 3D. Je ne peux rien demander de mieux ! C'est un grand ami et un réalisateur encore meilleur."

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