• Eve Gilles : pourquoi elle ne veut plus évoquer le harcèlement qu'elle subit

    Eve Gilles : pourquoi elle ne veut plus évoquer le harcèlement qu'elle subit

    Depuis le 16 décembre, les Français ont une nouvelle reine de beauté. Face à des millions de téléspectateurs, c'est Eve Gilles qui a été élue Miss France, succédant à la sublime Indira Ampiot. Mais depuis son élection, Eve Gilles est victime d'une vague de harcèlement inadmissible, créée par des internautes malveillants, qui la critiquent sur son physique. La jeune femme a été défendue par de nombreuses ex-Miss, face à ces attaques injustifiées, notamment Diane Leyre, qui est montée au créneau en story Instagram.

    Même son de cloche du côté de Miss Guyane, la première dauphine d'Eve Gilles, qui n'a pas hésité à la soutenir, sur le plateau de Touche pas à mon poste. "C’est horrible et je profite de ce passage dans TPMP pour demander aux personnes d’arrêter parce que si c’était vous je pense que vous n’auriez pas aimé être insultés", a-t-elle déclaré.

    Ce mercredi 20 décembre, Eve Gilles a même reçu un soutien inattendu, celui d'Emmanuel Macron, qui s'est exprimé sur le harcèlement subi par la reine de beauté, dans C à vous, lors de son interview. Quelques heures plus tôt, la jeune femme de 20 ans était de retour à Quaëdypre, sa commune d’origine, pour un bain de foule très attendu. Entre deux selfies avec ses fans, Eve Gilles s'est confiée au Parisien sur ses premiers jours de règne.

    Alors que le média a précisé que la nouvelle Miss France "se tend un peu à l’évocation" du harcèlement qu'elle subit, Eve Gilles a expliqué la raison pour laquelle elle ne souhaitait plus s'exprimer sur le sujet : "Pour ne pas mettre les commentaires négatifs en lumière", a-t-elle déclaré. 

    « Ayem Nour de retour en France, elle règle ses comptes avec ses prochesSpaceman : Adam Sandler en astronaute pour Netflix »
    Partager via Gmail DeliciousGoogle Bookmarks Blogmarks Pin It

    Tags Tags :
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter