• Cardi B était plus heureuse quand elle avait moins d'argent

    Les choses vont plutôt bien pour Cardi B dont la popularité continue de monter en flèche. Pourtant, la chanteuse confie dans le numéro de CR Fashion Book qu’elle était plus heureuse avant le succès.

    « Une chose négative, c’est que, même si je suis heureuse, j’ai le sentiment que j’étais un peu plus heureuse il y a deux ou trois ans, lorsque j’avais moins d’argent. Il y avait moins de gens pour donner leur avis sur ma vie. J’avais le sentiment que ma vie était la mienne. À présent, j’ai l’impression que ma vie ne m’appartient même pas », juge-t-elle.

    Néanmoins, Cardi B est consciente de l’évolution de sa vie et des répercussions positives de sa célébrité sur sa vie, ainsi que sur celle de sa famille. Et une chose est certaine : l’avenir lui paraît plus serein. « Tout ce que veut ma famille, elle l’obtient. Tout ce que je veux acheter, je peux l’obtenir. Je n’ai pas à m’inquiéter autant de mon futur », a-t-elle ajouté.

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  • L'actrice Kirsten Dunst confirme sa grossesse en images

    Après les premières photos volées, en décembre, du ventre rebondi de l’actrice Kirsten Dunst, voici les photos officielles. La comédienne a posé pour la campagne de la collection automne/hiver 18 de la marque Rodarte et son ventre est mis en valeur dans les tenues créées par les sœurs Kate et Laura Mulleavy.

    Pour cette campagne, la marque a choisi de présenter une série de portraits de femmes, mais c’est bien sûr la grossesse affichée de Kirsten Dunst qui fait le plus parler.

    Suite à la publication de ces clichés, le LA Times a demandé au porte-parole de Kirsten Dunst si elle était bel et bien enceinte, ce à quoi il a répondu : « Les photos parlent d’elles-mêmes ».

    De son côté, Kirsten Dunst avait confirmé ses fiançailles avec Jesse Plemons, qu’elle a rencontré sur le tournage de la série Fargo, en affichant une jolie bague à son annulaire gauche en janvier dernier aux Golden Globes 2017. Elle avait expliqué en septembre au magazine People préparer son mariage sans pour autant se presser.

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  • Rose McGowan traite à son tour Justin Timberlake d'hypocrite

    L’actrice Rose McGowan trouve que Justin Timberlake n’est pas sincère lorsqu’il s’affiche, comme aux Golden Globes cette année, avec un pin’s Time’s Up. C’est ce qu’elle a expliqué dans le documentaire Citizen Rose, diffusé sur E! Documentary.

    « On voit Justin Timberlake poster (sur Instagram) "ma femme est bonne ce soir", suivi du hashtag "time’s up", puis du hashtag "je viens de faire un film avec Woody Allen​". Tout ça c’est bidon. Je voudrais que ça ne le soit pas, mais ça l’est. J’aimerais que tout le monde soit bon. Désolée d’écorner vos héros, mais parfois les héros ont besoin d’être meilleurs », explique-t-elle.

    Pour Rose McGowan, tout ça n’est rien de plus qu’une bonne publicité pour ceux qui y participent.

    « Les intentions sont bonnes, mais je sais qui est derrière tout ça, Ce sont quatre agents de la Creative Artists Agency qui avaient besoin de bonne publicité », ajoute-t-elle.

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  • Alors que Black Panther est attendu en France dans deux semaines, Marvel a dévoilé un nouvel extrait du film au lendemain de la première mondiale, à Los Angeles, qui a reçu un énorme succès. 

    Ce nouvel extrait met en scène Dora Milaje (Lupita Nyong’o) et Okoye (Danai Gurira), les deux gardes du corps de T’Challa/Black Panther (Chadwick Boseman) dans une scène de combat ultra cut, opposant les habitants du Wakanda à Ulysses Klaue (Andy Serkis) et ses sbires.

    Cette scène qui se déroule dans un casino, évoque forcément une autre : celle de Skyfall, où James Bond se rend dans un casino à Macau. 

    D’ailleurs, Ryan Coogler ne s’en cache pas. Il nous disait dans une récente interview que "Black Panther est le James Bond de Marvel".

    Black Panther est le dernier film du Marvel Cinematic Universe avant le choc de Avengers : Infinity War, attendu en avril prochain.

    Il sortira en salles le 14 février.

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  • Wesley Snipes revient sur sa version avortée de Black Panther

    Deux ans après sa première apparition dans Captain America : Civil War, Black Panther a droit à son film en solo. Le super-héros est incarné par Chadwick Boseman sous la direction de Ryan Coogler dans ce 18e blockbuster de Marvel qui a conquis les journalistes américains en début de semaine. Le long métrage reçoit d’excellentes critiques, et devrait logiquement être l’un des nouveaux gros succès du studio. Depuis le carton d’Avengers, en 2012, tous les épisodes du MCU ont franchi la barre des 500 millions de dollars au box-office mondial. Black Panther arrivera sur grand écran à la mi-février.

    A l’occasion de cette sortie événement, The Hollywood Reporter a eu la bonne idée de contacter Wesley Snipes, qui a tenté dans les années 1990 de lancer sa version de Black Panther. Il a finalement laissé tomber pour un autre projet tiré de comics Marvel : Blade. Pourtant sa vision du personnage était intéressante et assez proche de celle dévoilée aujourd’hui par le studio. Fashback.

    1992 : "Ce personnage me parlait car il était noble"

    Il y a 25 ans, Wesley Snipes multipliait les succès, et Marvel ne faisait pas le poids face à la Warner Bros, qui cartonnait grâce aux adaptations de DC comics Superman et Batman. La firme a même été en faillite brièvement, en 1996. L’acteur de la comédie Les Blancs ne savent pas sauter, culte aux Etats-Unis, était en train de préparer Demolition Man quand il s’est intéressé pour la première fois à Black Panther, le super-héros créé par Stan Lee et Jack Kirby en 1966, au beau milieu d’une histoire des 4 Fantastiques. "Je crois que ce personnage me parlait car il était noble, c’était l’antithèse des stéréotypes qui circulaient sur les Africains, l’histoire africaine et les grands royaumes d’Afrique. Il faisait sens culturellement et socialement parlant. On n’avait jamais vu ça au sein de la communauté noire, ni de la communauté blanche." L’acteur détaille aussi qu’il adorait l’idée du Wakanda, ce pays fictif caché en Afrique qui développe des technologies de pointe, notamment grâce au Vibranium, métal qui a permis au S.H.I.E.L.D de fabriquer le bouclier de Captain America.

    om DeFalco, rédacteur en chef de Marvel de 1987 à 1994, rappelle qu’en 1992, la société allait très mal. Les ventes de comics baissaient et les adaptations ne fonctionnaient pas au cinéma, que ce soit Howard le Canard (en 1986), la version de The Punisher avec Dolph Lundgren (1989) ou Les Quatre Fantastiques, tourné en 1994 mais finalement jamais sorti sur grand écran. Quand Wesley Snipes a contacté la firme pour évoquer son envie d’adapter Black Panther, Stan Lee l’a rapidement soutenu : "Il aimait ce projet, à l’époque", affirme l’acteur avant d’expliquer que les changements de scénaristes et de réalisateurs ont finalement eu raison du film.

    1994 : "John Singleton voulait absolument faire de Black Panther un membre du Black Panther Party"

    En 1994, la Columbia donne son accord pour produire Black Panther, et choisit deux metteurs en scène potentiels : Mario Van Peebles (New Jack City) et John Singleton (Boyz n the Hood). "Ils cherchaient de jeunes réalisateurs noirs, confirme Wesley Snipes, qui ajoute que s’il n’a jamais rencontré Van Peebles, il se souvient bien de son entretien avec Singleton. Je lui ai exposé ma vision, qui est très proche de ce qui est créé actuellement : le monde caché en Afrique, cette société technologiquement en avance sur son temps grâce au Vibranium et protégée par un champ de force. John me répondait ‘Nan ! On va plutôt parler de son esprit de Black Panther, et il va pousser son fils à rejoindre le mouvement des droits civiques.’ (…) Bon, je vous résume ça mal, mais l’idée c’est que John voulait absolument faire de Black Panther un membre du Black Panther Party. Moi, je lui rétorquais : ‘Mais mec, où sont les jouets ? Ils vivent dans une société à la pointe des nouvelles technologies, ce serait fantastique de montrer l’Afrique comme ça’. Je tenais à voir toute la gloire et toute la beauté du continent, le ‘bijou africain’. J’adore John, mais je suis content qu’on n’ait pas suivi ses idées, car ça aurait été une erreur sur un projet aussi riche que celui-ci."

    Wesley Snipes révèle d’ailleurs que pour éviter toute confusion entre le personnage et le mouvement social américain, il avait pensé à un costume aux couleurs d’un léopard, plutôt qu’à celles d’une panthère noire. "J’ai pensé à ça : un léopard avec des petites oreilles sur le masque. Le costume aurait été moulant, pour faire ressortir les muscles. J’avais cette idée en tête à l’époque, et ça ne m’embêtait absolument pas, car j’avais commencé par carrière en tant que danseur."

    1995-1996 : "Si c’est ça notre Black Panther, je signe tout de suite !"

    DeFalco détaille qu’après ce faux départ, le scénariste Terry Hayes a réécrit l’histoire de Black Panther et que celle-ci avait bien plu à la production. "Son pitch était incroyable", commente l’ex-rédacteur en chef de Marvel en donnant quelques éléments : son script s’ouvrait sur une énorme bataille au Wakanda. Bébé T’Challa était alors déposé dans un panier, abandonné une rivière, pour échapper au massacre, et il grandissait loin de son pays d’origine. Une fois adulte, c’est en se faisant attaquer par surprise dans un ascenseur qu’il commençait à découvrir sa véritable histoire. Une séquence ultra-chorégraphiée, au cœur de la transformation du jeune homme en super-héros. "Je me souviens que quand il nous a décrit cette scène, je me la représentais parfaitement. Je me suis dit : ‘Si c’est ça notre Black Panther, je signe tout de suite !’. Il avait fait un portrait génial du personnage, son script était rempli d’action et avait du sens." Mais c’est une nouvelle fois le casting du réalisateur qui a ralenti le lancement du projet. "On n’arrivait décidément pas à trouver le bon scénariste ET le bon metteur en scène, regrette Snipes. Il nous manquait aussi un élément essentiel : la bonne technologie pour créer les effets spéciaux qu’on avait en tête." 

    1998 : "Bon, si je ne peux pas être le roi du Wakanda (...), donnons une chance à ce vampire"

    A ce moment-là, le personnage était également en train de changer dans les comics : Christopher Priest, célèbre auteur qui a fait carrière chez Marvel, a été embauché par la célèbre rédaction pour moderniser Black Panther à la fin des années 1990. Lui aussi a été interviewé dans le cadre de la sortie du blockbuster, par Vulture, et il détaille que le but principal de sa nouvelle série de BD, éditée entre 1998 et 2003, était de faire en sorte que "Black Panther ne soit pas qu'une histoire pour les blacks". Il ajoute que son travail sur cette BD est aujourd'hui reconnu comme capital dans l'évolution du personnage. C'est d'ailleurs principalement sa version qui a influencé l'adaptation actuelle. 

    Aorce de reports, le projet d'adaptation cinématographique n’était toujours pas lancé en 1998, et Wesley Snipes a alors fait le choix d’incarner un autre personnage Marvel : Blade, dans le film éponyme de Stephen Norrington. "Ces deux personnages ont une certaine noblesse, ce sont des combattants. Je me suis dit : ‘Bon, si je ne peux pas être le roi du Wakanda, du Vibranium et de ce royaume caché d’Afrique, donnons une chance à ce vampire." Blade a finalement eu assez de succès pour avoir deux suites : une réalisée par Guillermo del Toro, en 2002, et une autre par David S. Goyer, deux ans plus tard. A ce moment-là, Marvel remontait la pente, grâce aux cartons des X-Men, produits par la 20th Century Fox, et des Spider-Man, financés par Sony. Puis le MCU tel qu’on le connaît, a été inauguré en 2008 par les sorties successives de L’Incroyable Hulk et Iron Man, et Disney a construit un empire super-héroïque les années qui ont suivi. Kevin Feige, à la tête de la branche Marvel du studio, comptait d’ailleurs adapter Black Panther dès le début. Il évoquait ce projet dans la presse avant même la sortie d’Avengers. Finalement, c’est bien le carton de ce super-film, qui a franchi le milliard de dollars sur la planète, qui a permis de concrétiser cette adaptation. Wesley Snipes était malheureusement trop vieux pour incarner le jeune roi, et c’est finalement Chadwick Boseman qui l’a remplacé. Pourtant, l’acteur jure qu’il ne regrette rien. "Même si je ne fais pas partie du projet final, je le soutiens à 100%. Je suis sûr qu’il aura la capacité de changer les choses, d’ouvrir des portes et d’offrir des opportunités. Nous avons besoin de cette diversité. (...) Chadwick est un jeune acteur talentueux, je suis sûr qu’il s’est bien approprié le personnage. J’espère que le studio lui a permis de l’incarner pleinement."

    S’il n’aime pas forcément toutes les super-productions du MCU ("Je trouve que ça marche surtout quand elles sont portées par de vrais acteurs, qui sont capables de créer des personnages nuancés avec une histoire forte, comme Robert Downey Jr.", commente-t-il), Wesley Snipes reconnaît qu’il aimerait réintégrer un film Marvel. Surtout si cela lui permet de poursuivre l’aventure Blade. "Je suis ouvert à toutes les possibilités. Si Blade 4 revient sur le tapis, il faudra qu’on en parle, c’est certain. Il y a aussi d’autres personnages de chez Marvel que je pourrais jouer, s’ils m’invitent à les rejoindre. Je crois que les fans aimeraient que je retrouve Blade, ceci dit, donc ça risque de limiter mon arrivée dans la peau d’un autre personnage." Pas si sûr : Chris Evans a bien joué deux super-héros Marvel différents : la Torche des 4 Fantastiques (pour la Fox, studio qui vient d’être racheté par Disney), et Captain America au sein du MCU…

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  • Quand Oliver Stone tacle violemment Clint Eastwood et Kathryn Bigelow

    Quand Oliver Stone tire des missiles de croisière, ca ne ressemble pas vraiment à des frappes chirurgicales... Invité à Paris au Forum des images pour y livrer une Master Class, accompagnée d'une rétrospective de ses films, le plus politique des réalisateurs américains a accordé un entretien au journal Le Figaro. Il y tacle Clint Eastwood et Kathryn Bigelow, qu'il accuse de faire de la propagande pro-américaine et militaire.

    Un peu marginalisé par Hollywood, en partie en raison de l'échec de ses derniers films, le journaliste lui demande s'il n'envie pas un confrère comme Clint Eastwood, qui parvient à tourner encore, à 87 ans, un film par an ou presque. Réponse de l'intéressé : "Oui, mais il fait des films pro-américains beaucoup plus faciles à réaliser. Si je veux faire un long-métrage sur des soldats américains dans un train, je trouve l’argent sans problème. Clint a gagné des fortunes avec American Sniper mais je ne ferai jamais un film sur un sniper qui tue 150 irakiens sans se poser de questions. "Nous combattons les ennemis de l’Amérique, nous combattons pour la liberté !" Bien sûr. Je pense la même chose de Démineurs, le film de Kathryn Bigelow qui a eu l’Oscar. Zero Dark Thirty ou La Chute du Faucon Noir sont aussi très bien faits techniquement, mais ce qu’ils racontent me dégoûte. Ils ne prennent pas en considération l’autre".

    Le moins que l'on puisse dire, c'est que Stone fait des raccourcis un peu lapidaires... Kathryn Bigelow fait au contraire des oeuvres plutôt critiques vis-à-vis de la politique américaine et de sa société. Il suffit par exemple de voir son dernier film, Détroit, dont le sujet, éminemment douloureux et qui réveille les vieux démons de l'Amérique, a la vigueur d'un uppercut.

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  • Après la diffusion exclusive des deux premiers épisodes en mai 2016 sur TF1 à l'occasion du lancement sur Netflix, la saison 1 de Marseille sera proposée sur TF1 Séries Films à compter du mercredi 21 février à 21h. Les téléspectateurs auront droit lors de cette première soirée à trois épisodes pour se plonger dans les coulisses du milieu politique de la ville phocéenne.

    Gérard Depardieu prête ses traits à Robert Taro, le maire de Marseille depuis pas moins de 25 ans. Les prochaines élections municipales vont l'opposer à l'homme qu'il avait choisi pour lui succéder, un jeune loup aux dents longues interprété par Benoît Magimel. Les deux rivaux vont se livrer un combat sans merci au terme duquel un seul sortira vainqueur. Une lutte sans pitié s'engage, tournant autour de la vengeance et animée par les barons de la drogue, les politiciens, les syndicats et les acteurs politiques de la ville.

    Première série originale française de Netflix, Marseille a très rapidement eu les honneurs d'une 2ème saison qui sera disponible sur la célèbre plateforme à compter du 23 février. Une bonne séance de rattrapage en perspective avant de pouvoir enchaîner avec les inédits.

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  • Canal+ programmera la mini-série britannique Hard Sun à partir du lundi 19 février prochain à 21h. Né de l'imagination de Neil Cross, le créateur de Luther, ce thriller apocalyptique en 6 x 52 minutes nous embarque entre machination politique et folie humaine, dans un univers violent, à l'approche de la fin du monde.

    Portée par Jim Sturgess, Agyness Deyn, Nikki Amuka-Bird et Derek Riddell, l'intrigue de cette série d’anticipation se déroule à Londres. Après avoir survécu à une terrible agression, la détective Elaine Renko rejoint l’équipe de l’inspecteur Charlie Hicks afin de le seconder dans une affaire délicate impliquant des hackers. Les deux flics ne s’apprécient pas, Hicks soupçonnant Elaine de mener une enquête parallèle à son sujet. Leur inimitié s’intensifie lors de la découverte d’une vidéo codée "Hard Sun", émanant du gouvernement britannique, et dont le contenu détaille la destruction de la planète, prévue cinq ans plus tard. Les services secrets, prêts à tout pour tenir la population à distance de cette information, éliminent tout détenteur du secret. Elaine et Charlie vont devoir affronter ensemble la menace

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  • Dans un proche avenir, Leo est barman dans un Berlin en pleine ébullition. A cause d’un accident survenu dans son enfance, Leo perd l’usage de la parole et ne vit plus que pour sa séduisante petite-amie Naadirah. Quand elle disparaît sans laisser de trace, Leo se met à sa recherche et se retrouve dans les bas-fonds de la ville. Deux espiègles chirurgiens américains constituent les seuls indices qui le poussent à affronter ce milieu infernal afin de retrouver son amour. Bienvenue à Berlin en 2052, ville des rêves réalisés et d'un homme défait.

    Après un moins de teasing, le réalisateur Duncan Jones (Moon, Warcraft) dévoile enfin les premières images de son nouveau long-métrage, Mute. Nous découvrons un monde futuriste aux couleurs hypnotiques où évoluent une galerie de personnages singuliers : que ce soit le héros muet joué par Alexander Skarsgård, le moustachu Paul Rudd ou l’intrigant Justin Théroux, méconnaissable en blond… Si la bande-annonce consiste en une succession de plans sans véritable unité, elle a le mérite de nous intriguer. Le film, qui arrive un an après Blade Runner 2049 et Ghost in the Shell, devra pour séduire proposer quelque chose d’innovant, que se soit dans les thèmes abordés que dans l’esthétique.

    Par ailleurs, Mute pourrait bien se dérouler dans le même univers que Moon puisqu’un personnage revient dans ces deux productions, celui de Sam Bell campé par Sam Rockwell. Pour la petite histoire, Mute est le premier scénario écrit par Duncan Jones. A cette époque, il le fait lire à l’acteur qui lui demande alors le rôle principal. Aucune société ne voulant produire le film, le cinéaste met de côté le projet et se penche sur ce qui deviendra son premier long-métrage, Moon, où il offre une place de choix à Rockwell. Ce dernier apparaîtra bien dans le film attendu sur Netflix le 23 février, même si on ne connaît pas encore l’ampleur de son rôle...

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  • Une crise cardiaque plus tard, Robert Taro (Depardieu) est de retour dans le jeu. La saison 2 de Marseille, attendue le 23 février sur Netflix, reprendra là où s’était finie la première comme le révèle la bande-annonce. Alors qu’on pensait que le père et le fils allaient enterrer la hache de guerre, il n’en est rien… Lucas Barres (Benoît Magimel) voit là la possibilité de s'emparer du siège de maire et pour cela, il doit encore recueillir des voix au conseil. Les tractations avec les différents partis commencent, l’extrême droite menée par Natacha Régnier se prépare à manœuvrer dans l’ombre…

    Dans la saison 2 de Marseille il sera encore question de magouilles politiques, de meurtres et de conspirations. Mais aussi de foot puisque Depardieu quitte un temps la politique pour devenir Président de l’OM. Même si on les aperçoit brièvement dans ces images, plusieurs personnages féminins seront bien de retour à l’instar de Géraldine Pailhas, Nadia Farès et de la farouche Stéphane Caillard, révélation de la saison 1.

    Ces huit nouveaux épisodes seront co-réalisés par Florent Siri et Laïla Marrakchi. Dan Franck, scénariste sur la première saison, laisse sa place à Philippe Pujol, un journaliste qui connaît très bien la ville puisqu’il a remporté en 2014 le prix Albert Londres pour sa série de reportages sur les quartiers nord de Marseille.

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