La nouvelle du cancer de Kate Middleton s’est abattue comme un coup de massue sur la tête des Britanniques. Comme si les Windsor avaient besoin de ça. Déjà au beau milieu de brouilles familiales qui durent depuis bien trop longtemps, voilà que la maladie vient toquer à leur porte dorée.

Après que le roi Charles III ait annoncé être atteint d’un cancer, le 5 février dernier, c’est sa belle-fille, Kate Middleton, qui a inquiété tout le pays. La femme de William s’était retirée du devant de la scène après une mystérieuse intervention chirurgicale et, depuis, les théories autour de son état de santé ne cessaient de se multiplier. Enfin, jusqu’à ce que la princesse de Galles décide de briser le silence.

Ce vendredi 22 mars, après des semaines d’absence et une photo de famille controversée, Kate Middleton est apparue seule sur un banc pour faire part d’une malheureuse nouvelle. La mère de George, Louis et Charlotte a révélé être en pleine chimiothérapie pour combattre un cancer dont elle a gardé pour elle la nature. Si les aficionados de la Couronne sont restés choqués face à cette annonce, cette dernière a également fait office de piqûre de rappel.

Dans la foulée de la vidéo, de nombreux Britanniques sont allés se faire dépister. À tel point que le site internet du NHS [National Health Service, ndlr] a crashé. Une conséquence pas si étonnante que ça lorsqu’on connaît l’impact de la Firme. Malgré tout, les chiffres restent impressionnants ! Dans les 24 heures qui ont suivi la vidéo de Kate Middleton, plus de 2400 personnes se sont connectées simultanément au site, soit une augmentation de 373 % par rapport à la semaine passée. Selon le service de santé britannique, une personne toutes les trois secondes se serait même renseignée sur les symptômes du cancer. Les vues des sites d’informations de santé auraient elles aussi vu leurs chiffres exploser, atteignant des statistiques aussi élevées que durant la pandémie du Covid-19. À ce rythme là, la princesse de Galles sauvera certainement des vies.