Lorsqu’ils ne tournent pas de documentaire pour lever le voile sur leur vie (ou égratigner Buckingham), le duc et la duchesse de Sussex vont à la rencontre de personnes confrontées aux problèmes de ce monde pour tenter d’apporter des solutions. Ainsi, avec leur fondation Archewell, Harry et Meghan ont organisé un sommet, qui s’est tenu mardi, pour la journée de la santé mentale à New York.

Ils ont relaté leur travail auprès de parents ayant perdu un enfant victime de cyberharcèlement. En parallèle, ils ont discuté avec des entreprises spécialisées dans la tech, afin d’engager le dialogue et trouver une voie commune.

« Il y a un an, nous avons rencontré des familles et il était impossible de ne pas pleurer en écoutant leurs histoires, parce que c’est tout simplement dévastateur », a déclaré Meghan Markle, comme le relaye People.

« Nos enfants sont encore à un âge assez jeune, donc ce n’est pas dans notre futur immédiat, mais je suis effrayée par la façon dont (le Web) continue de changer juste sous nos yeux. Etre parent, c’est avoir des journées longues mais des années courtes, donc ça m’inquiète », a-t-elle expliqué, précisant qu’elle garde espoir dans l’avenir, notamment grâce aux discussions qui ont pu avoir lieu.

Le prince Harry a ajouté : « Tout le monde est concerné par le monde en ligne et les réseaux sociaux. Nous voulons tous nous sentir en sécurité. Je suis persuadé qu’avec plus d’écoute, de sensibilisation et de visibilité sur ce qui se passe réellement, nous pouvons apporter des changements significatifs ensemble. »

En attendant de connaître les solutions concrètes apportées par les Sussex sur le terrain, Meghan et Harry ont une nouvelle fois donné un discours aux accents de campagne, alors que les Américains se rendront aux urnes l’année prochaine pour élire un nouveau locataire à la Maison-Blanche.