Le 20 juillet dernier, Chester Bennington était retrouvé mort, pendu dans sa maison de Palos Verdes en Californie. Cinq mois plus tard, People publie le rapport d’autopsie, qui indique que le chanteur de Linkin Park avait consommé de l’alcool le soir de son suicide.

Le site indique également que les tests sanguins montrent des traces « a priori positives » de MDMA. Le rapport évoque aussi la présence d’une prescription et d’un demi-cachet d’Ambien, un somnifère très puissant ainsi que deux cannettes de bière. Aucune note de suicide n’a été trouvée sur les lieux.

Dans les notes du médecin légiste, on peut aussi lire que « l’autopsie révèle des preuves de suicides par pendaison » et que le chanteur avait un « historique de comportements suicidaires ».

D’après une information de Rolling Stone, le chanteur était en lutte depuis plusieurs années pour rester éloigné de l’alcool et demandait de l’aide à son ami et guitariste Ryan Shuck : « Il m’envoyait des messages en me décrivant heure après heure sa lutte contre l’alcool. Quand je revois ça maintenant c’est horrible ».