Comment gérer l’énorme célé­brité d’une adoles­cente qui souhaite pour­suivre un cursus scolaire à peu près normal? Dans l’école d’Emma Watson, comme le révèle le site The Tab, ses cama­rades étaient soumis à des restric­tions concer­nant leur approche de l’in­ter­prète d’Her­mione Gran­ger dans la saga Harry Potter, mise sur grand écran la première fois en 2001.

Des points de péna­lité étaient distri­bués à ceux qui avaient la mauvaise idée de lui deman­der un auto­graphe, ou même de lui deman­der quoi que ce soit, à la demande de l’ac­trice auprès de la direc­tion. Une jeune femme prénom­mée Lucy révèle au média : “Bien sûr, si vous étiez ami avec elle, vous pouviez lui parler. Mais sinon, nous n’étions pas auto­ri­sés à aller la voir pour lui deman­der un auto­graphe ou quoi que ce soit d’autre.”

Effi­cace. Comme le confie une autre personne ayant effec­tué une partie de sa scola­rité dans les mêmes locaux que celle qui est actuel­le­ment en couple avec Willi­man Knight, un homme d’af­faires origi­naire de New York de 35 ans, soit dix ans de plus qu’elle : “Personne n’a jamais osé lui deman­der un auto­graphe. Je me rappelle avoir été formel­le­ment averti sur le sujet et j’avais très peur de prendre des points de péna­lité. A l’époque, ça aurait été telle­ment gênant.”

Résul­tat, l’une des stars de Harry Potter, que l’on a récem­ment pu voir à l’écran dans This Is The End, Colo­nia, et bien­tôt dans La Belle et la Bête de Bill Condon, a pu vivre un semblant de scola­rité normale, malgré une enfance pas toujours facile à gérer.