Elle avait inquiété ses nombreux fans récem­ment. La belle Selena Gomez semblait être en proie à de nombreux doutes concer­nant son avenir. Quelques heures après la fin de son concert à Jakarta, en Indo­né­sie, le jour de ses 24 ans, la jeune chan­teuse s’était effon­drée en larmes sur scène. Peu après, elle avait posté un message sur Insta­gram anor­ma­le­ment dépri­mant. Or, sa vie senti­men­tale ne serait pas étran­gère à cette tris­tesse perma­nente chez la chan­teuse selon elle.

Céli­ba­taire depuis sa rela­tion en dents de scie et ultra média­ti­sée avec le chan­teur Justin Bieber,Selena Gomez ne semble pas trou­ver chaus­sure à son pied. On lui a prêté de nombreuses rela­tions avec diverses célé­bri­tés qui n’ont jamais été confir­mées : Niall Horan, Orlando Bloom, Char­lie Puth… Pour­tant, l’in­ter­prète de We Don’t Talk Anymore est plus seule que jamais. Une situa­tion pesante qui joue sur le mental de la chan­teuse. "Les mecs qui ont le cran de venir me parler ne sont pas du tout mon genre mais ils pensent qu'ils le sont. Certai­ne­ment parce que je suis une star de la pop, que je chante, que je fais des films et que j'aime me sentir à l'aise et sexy sur scène. Je serais comblée avec un écri­vain, un produc­teur ou même un acteur pas connu. Mais ce genre de mecs sont terro­ri­sés à l'idée de venir me parler. Je crois que les gens trouvent ça naze, l'idée de sortir avec moi. Personne n'a envie d'aller se four­rer dans une telle situa­tion où chacun de vos moindres faits et gestes s'étalent dans les jour­naux", a-t-elle avoué.

Un clin d’œil à sa précé­dente rela­tion avec le chan­teur Justin Bieber. Une idylle qui a long­temps fait de l’ombre à la carrière profes­sion­nelle de l’égé­rie Louis Vuit­ton comme elle l’ex­plique : « Pendant long­temps, personne ne m'a prise au sérieux parce que ma vie privée était la chose dont on parlait le plus à l'époque. Personne ne sait vrai­ment ce qui s'est passé donc ils ne peuvent qu'imagi­ner, spécu­ler. Ce qui fait que j'ai parfois envie de faire des choses, des choses que j'aime mais on ne me prend pas au sérieux parce qu'il y en a d'autres qui viennent leur faire de l'ombre. » Pour­tant, la jeune femme toujours opti­miste prend son mal en patience et ajoute : « Malheu­reu­se­ment, je crois que c'est ainsi que ma vie est faite pour l'instant et je dois l'accep­ter. »