Au fur et à mesure que les jours passent, des détails trou­blants autour de l’agres­sion de Kim Karda­shian se dévoilent. Trauma­ti­sée, la brunette s’est vite envo­lée pour New York au lende­main du drame. Mais, alors que la jeune femme tente de retrou­ver ses esprits, les enquê­teurs à Paris veulent y voir plus clair sur les circons­tances de l'événe­ment.

En effet, la fenêtre de tir pendant laquelle les braqueurs ont agi est parti­cu­liè­re­ment courte et précise. Selon le Daily Mail, qui retrace le drame minute par minute, cinq hommes cagou­lés seraient entrés dans l’hô­tel parti­cu­lier Le Pour­ta­lès à 2h25 du matin. Après avoir menotté le gardien, ils lui auraient demandé de leur montrer où rési­dait Kim Karda­shian. L’épouse de Kanye West aurait été enfer­mée dans sa salle de bain sous la menace d’un pisto­let posé sur sa tête. Les braqueurs ont alors volé les 10 millions d’eu­ros de bijoux en quelques minutes et ont ensuite pris la fuite en vélo.

Le garde du corps de la star de la télé-réalité, Pascal Duvier, était absent au moment des faits. Une terrible coïn­ci­dence qui ne serait pas tout à fait anodine selon TMZ. Pour le site améri­cain, le clan Karda­shian serait même persuadé que “quelqu’un a averti les voleurs du moment précis où l’agent de sécu­rité ne se trou­vait pas avec Kim et qu’ils pouvaient donc entrer et sortir sans risques”. TMZ croit d’ailleurs savoir que les poli­ciers français inter­rogent un maxi­mum de témoins suscep­tibles d’avoir eu connais­sance de l’em­ploi du temps de Miss Karda­shian et de son garde du corps pendant la Fashion Week.

Les Britan­niques du Daily Mail pensent eux savoir que les coupables tour­naient déjà autour de leur victime depuis plusieurs jours. Un faux photo­graphe se serait fait passer pour un papa­razzi afin de suivre la nuée qui entoure quoti­dien­ne­ment Kim Karda­shian. Une autre personne suspecte, iden­ti­fiée comme un faux détec­tive privé, aurait tenté de se glis­ser au plus près de la jeune femme pour écou­ter ses conver­sa­tions, notam­ment lors d’un dîner chez Ferdi, .

En atten­dant d’en savoir plus, la police examine les vidéos des camé­ras de surveillance des alen­tours, car Le Pour­ta­lès ne possède pas ce type de système, malheu­reu­se­ment.