• Braquage à Paris : Kim Kardashian a cru avoir affaire à des terroristes

    Braquage à Paris : Kim Kardashian a cru avoir affaire à des terroristes

    "J'ai compris que j’allais mourir." Quatre mois après avoir été agressée dans son hôtel particulier à Paris lors de la Fashion Week, Kim Kardashian a rencontré la juge d’instruction française chargée de l’enquête, pour lui parler du braquage dont elle a été victime dans la nuit du 2 au 3 octobre dernier. Une audition qui s'est déroulée le 2 février dernier à à New York - la star estime désormais que la capitale française n'est pas un endroit pour elle "sur le plan émotionnel" - et dont Le Monde dévoile ce samedi quelques extraits.

    La vedette américaine, épaulée de deux avocats, confie notamment avoir eu une certaine appréhension avant de quitter Los Angeles, où elle habite avec sa famille, craignant une attaque terroriste.

    "Cela faisait quinze jours déjà que nous avions peur d’être victimes d’un attentat terroriste en sortant du pays, et pas seulement en allant à Paris. Quand Kourtney a eu un problème de passeport, je me suis dit que quelque chose de mauvais allait arriver. J’ai eu ce pressentiment. (...) Tous les soirs, à Paris, je faisais une prière en remerciant que rien ne nous soit arrivé", explique la femme de Kanye West.

    Kim Kardashian raconte ensuite comment, la nuit de son agression, elle a d'abord cru, justement, avoir affaire à des terroristes en voyant débarquer les deux hommes déguisées en policiers et le concierge. Et n'a pas réussi à fuir, de peur de se prendre une balle dans le dos.

    "Ils étaient agressifs (…). Je croyais qu’il s’agissait de terroristes venus pour m’enlever (...) Je me souviens que j’avais un sentiment indescriptible, comme le cœur qui sort de la poitrine. Je comprenais que j’allais mourir", se souvient-elle, encore traumatisée par l'événement.

    Aujourd'hui persuadée qu'il s'agissait d'un "coup monté", Kim Kardashian ajoute toutefois se sentir "soulagée", et assure être "très fière du système judiciaire français".

    "Ça ne m’a pas donné pour autant un sentiment de sécurité dans le monde et cette expérience m’a ouvert les yeux sur le fait que le monde n’était plus un endroit sûr", conclut-elle.

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