• ADN, Wakanim, Crunchyroll : Les animés du 4 au 11 mai

    Les animés du 4 au 11 mai sur ADN, Wakanim, Crunchyroll

    One Punch Man (ADN)

    Si vous n'avez pas encore vu One Punch Man, il est encore temps de vous ruer sur les 2 saisons disponibles sur ADN ! Cet animé haut en couleurs nous conte l'histoire de Saitama. Histoire de passer le temps, il est devenu un héros. Trois années d’un entraînement spécial lui ont donné un pouvoir le rendant invincible. Mais Saitama est devenu si fort qu’un seul coup de poing lui suffit à terrasser chaque adversaire se présentant, aussi puissant soit- il. Aujourd’hui encore, un nouvel ennemi se dresse devant ce héros blasé qui a perdu sa motivation... et ses cheveux ! Parviendra-t-il à retrouver la patate ?

    One Punch Man est devenu un incontournable de l'animation japonaise, notamment grâce à son anti-héros, Saitama. Le personnage est drôle, attachant, émouvant... et aussi très motivant ! Le récit va à 100 à l'heure, enchaînant les retournements de situation et les combats contre d'improbables ennemis, tous plus loufoques les uns que les autres. L'univers est complètement décalé, l'animation fluide et dynamique, les personnages secondaires excellents... De plus, Orelsan double Saitama dans la très bonne VF de l'animé, apportant sa nonchalance naturelle au personnage, ce qui colle parfaitement. Foncez, vous ne le regretterez pas ! À noter qu'un film live vient officiellement d'être annoncé du côté de chez Sony Pictures. L'écriture a été confiée aux scénaristes Scott Rosenberg et Jeff Pinkner, auteurs notamment des scripts de Venom et de Jumanji : next level.

    Erased (Wakanim)

    Erased suit Satoru Fujinuma, un mangaka raté et livreur de pizza par dépit. Il possède la capacité exceptionnelle de pouvoir agir sur le temps. À chaque fois qu’un incident croise sa route, il se retrouve projeté quelques instants dans le passé, implicitement afin d’empêcher que l’inévitable ne se produise. D’un naturel effacé et peu sûr de lui, c’est avec une attitude résignée qu’il aborde son quotidien et son pouvoir qu’il vit comme une malédiction. De rencontres perturbantes en événements dramatiques, Satoru va replonger de plus en plus loin vers une enfance traumatisante qu’il avait fait le choix d’éloigner de sa mémoire.

    Cet animé, qui parvient à distiller un suspense haletant tout au long de ses 12 épisodes, est absolument passionnant. Le thème du voyage dans le temps est très bien géré et ne prend jamais le dessus sur un récit captivant de bout en bout. Produite par le studio A-1 Pictures (Fairy Tail, Black Butler, Blue Exorcist, Seven Deadly Sins), Erased est une petite pépite qui mérite largement le coup d'oeil !

    My Next Life As A Villainess (Crunchyroll)

    Si les oeuvres fantasy ne manquent pas dans l'animation japonaise, l’isekai en est un sous-genre qui a su se démarquer avec les années. Représenté par des grands succès comme Sword Art Online et The Rising of the Shield Hero, il se concentre sur le transport du personnage principal dans un univers parallèle. C’est ainsi que débute l’histoire de la duchesse Catarina Claes qui, après une mort prématurée, se réincarne dans un jeu vidéo, en tant que principale antagoniste. Destinée à finir exilée ou assassinée, la jeune fille va devoir user de ses connaissances du jeu pour échapper à cette terrible fatalité.

    Au même titre que son homologue du genre Re:ZERO, My Next Life as a Villainess est à l’origine une websérie que son auteure, Satoru Yamaguchi, publiait en ligne entre 2014 et 2015. Rapidement licenciée en light novel puis en manga, la série compte aujourd’hui plus d’un million d’exemplaires vendus. Son adaptation en anime dévoile un aspect plus léger et drôle de l’isekai et nous entraîne dans le quotidien noble de personnages aussi différents qu’attachants. L’animation des studios SILVER LINKS enchante par ses couleurs et intensifie cet univers où s’entremêlent romance, magie et aventures.

    Shironeko Project (Wakanim)

    Contrairement à beaucoup d’animes, cette série ne fait pas partie des adaptations de formats littéraires comme les light novels ou les mangas, mais se base sur un jeu vidéo intitulé White Cat Project. Disponible sur mobile depuis 2014, ce RPG de fantasy de l'entreprise Colopl est devenu le jeu à la croissance la plus rapide du Japon, après que son nombre de téléchargements ait atteint les 10 millions un mois seulement après sa mise en ligne. Élu meilleur jeu de 2014 sur le Google Play et l’App Store japonais, et lauréat du titre « Excellence » du magazine numérique Famitsu deux années de suite, il y avait fort à parier que l’univers attirerait l’oeil des studios d’animation.

    La série, rebaptisée Shironeko Project, adapte plus particulièrement le prequel du jeu et se concentre sur le Prince des Ténèbres qui, en dépit du passé houleux et de l’entente plus que fragile entre leurs deux royaumes, tombe amoureux d'Iris, la Reine de la Lumière. L’avantage de ce choix particulier d’adaptation permet aux amateurs du jeu, comme aux petits nouveaux, de comprendre l’histoire. Laquelle ne repose pas uniquement sur cet amour impossible mais s’articule autour d’un univers riche de paysages variés et de légendes guerrières. Ajoutés à cela des dialogues forts et une animation fluide dont on ressent nettement l’influence du jeu vidéo d’origine.

    Sing "Yesterday" For Me (Crunchyroll)

    Inspiré d’une chanson du groupe rock japonais RC Succession, très populaire dans les années 1980, Sing « Yesterday » For Me voit le jour en 1998. Ce manga de Kei Tome, déjà auteure de plusieurs autres oeuvres à l’époque, conte l’histoire de Rikuo Uozumi, jeune diplômé, dont le quotidien se voit bouleversé le jour où il entame une relation amoureuse peu commune avec l’exubérante Haru, malgré ses sentiments pour son ancienne camarade de classe, Shinako.

    Si la thématique du triangle amoureux n’est plus très originale, elle se démarque tout particulièrement dans cette oeuvre où les protagonistes sont majeurs et matures. Au-delà du coeur qui balance entre deux personnes, l’évolution des personnages nous pousse à des réflexions sur la place du travail dans une vie et sur celle des jeunes adultes dans la société stéréotypée japonaise. Une histoire poétique, merveilleusement transposée à l’écran par la grande qualité d’animation des studios Doga Kobo et qui réchauffe les coeurs.

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